ANTIDÉPRESSEURS FACE AUX ÉTOILES

 

Cette histoire m’attriste au plus haut point car si on lit entre les lignes de l’article ci-dessous, on y voit plusieurs choses.
Cinq antidépresseurs pour cette jeune fille… mais ils sont complètement fous ! Ils ont décidé de la tuer, ce n’est pas possible autrement.
De plus, j’imagine assez bien ce qui a dû se passer. Elle se fait tatouer des étoiles sur le visage, c’est son goût et elle est majeure, seulement elle habite chez ses grands parents et son oncle ! Ils doivent lui faire plein de reproches sur ses tatouages alors elle en a marre et écrit une lettre où elle explique sa volonté « de ne plus vivre » et hop ! direct à l’hôpital psychiatrique.
J’ai vécu le même style de problème il y a 40 ans alors je peux comprendre ce qui s’est éventuel-lement passé.
Pourquoi ne communique-t-on pas réellement dans ces cas-là au lieu d’accuser et de pousser l’enfant ou l’adolescent à des gestes de désespoir pour se faire entendre et respecter ?
Si elle le désire, plus tard elle pourra se faire enlever ses tatouages mais en attendant on la détruit avec des antidépresseurs qui ne font et ne feront rien de positif. Le seul résultat de cette situation c’est qu’elle va s’enfermer encore plus dans son envie de réagir et d’enquiquiner sa famille, au péril de sa vie !
Je suis tellement désolé pour elle qui doit se sentir bien seule ! (Webmaster)

Kimberley internée en psychiatrie

La jeune Belge de 18 ans, qui s’était fait tatouer 56 étoiles sur le visage alors qu’elle prétendait n’en vouloir que trois, a été admise dans la division psychiatrique de la clinique Sint-Maarten de Courtrai.

Kimberley a été admise en psychiatrie. (Photo: Keystone)
Kimberley Vlaeminck y suivra une thérapie jugée indispensable, d’une durée de 15 jours et éventuellement prolongeable. La raison de cette mesure? Mardi soir, la jeune fille, qui vit pour l’instant avec ses grands-parents et son oncle, aurait laissé une lettre sur le lit de ce dernier dans laquelle elle évoquait sa volonté «de ne plus vivre», relate La Dernière Heure. Sa famille inquiète a alors décidé de faire interner Kimberley après que cette dernière ait littéralement craqué.
Depuis le 14 juin, date à laquelle l’affaire très médiatisée est survenue, la célèbre tatouée aux étoiles suivait un traitement médical incluant la prise de cinq antidépresseurs, d’après le journal belge. Un traitement qui n’aura apparemment pas suffi.