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21 janvier 2013 1 21 /01 /janvier /2013 20:32

La lubie d'un vaccin anti-alzheimer se précise: vraie fausse solution qui consiste en fait surtout à permettre aux labos de  continuer à s'engraisser plutôt qu'à oser voir les vraies causes en face et à y remédier, cette piste nous offre surtout l'occasion de tester notre bon sens et nos facultés logiques.

 

Exactement comme avec les allergies, les cancers ou des maladies auto-immunes, largement favorisés par les vaccins, on envisage à présent un vaccin contre un des effets secondaires graves possible des autres vaccins déjà sur le marché... quel non sens!

 

Evidemment, pour les labos, ça s'appelle "faire coup double" mais pour le public, cela signifie s'enfoncer encore un peu plus dans le marasme, la dépendance, et aller d'effet secondaire en effet secondaire!

 

Ainsi, au lieu d'arrêter de vacciner annuellement les seniors contre la grippe et de cesser de recourir à des vaccins à base d'aluminium tout au long de la vie et de constater ainsi le net déclin de l'incidence de la maladie d'Alzheimer auquel on assisterait alors immanquablement, on s'obstine à faire croire que LA cause (en réalité très secondaire) de la maladie à laquelle il faut s'attaquer, ce sont les plaques amyloïdes entre les neurones!!

 

Il faut dire que le marché est juteux: déjà 35 millions de gens atteints dans le monde et combien de gens seront en outre englobés facilement dans le segment des "individus à risque", histoire d'accroître la cible marketing des futurs vaccins préventifs anti-Alzheimer?!

 

Sur le site Futura-sciences.com, on peut lire des affirmations aberrantes sur ce vrai faux vaccin- miracle futur!

 

Extraits choisis:

 

« Les recherches continuent donc pour trouver le moyen de pousser les défenses de l’organisme à détruire ces plaques présentes entre les neurones. Le problème ne vient pas de la synthèse des bêta-amyloïdes, mais plutôt d’un déficit dans leur élimination. Les cellules du système immunitaire du cerveau, les cellules microgliagles, ne parviennent pas à s’en débarrasser comme il faudrait.

 

Des plaques séniles en net recul

 

Après avoir essayé 25 molécules différentes pour stimuler la microglie, des scientifiques de l’université Laval (Québec), épaulés par le laboratoire GlaxoSmithKline (GSK), ont peut-être trouvé le composé qu’ils cherchaient. Leur expérience est décrite dans les Pnas.

 

Ce traitement repose sur une molécule appelée MPL, pour monophosphoryle lipide A. Elle est connue, car elle joue le rôle d’adjuvant dans certains vaccins développés par GSK, ce qui implique que son innocuité a déjà été prouvée chez l’Homme.

 

Les cobayes n’étaient cependant pas humains. Des souris présentant une neurodégénérescence semblable à la maladie d’Alzheimer ont reçu par injection une dose hebdomadaire de MPL durant 12 semaines consécutives. À la fin du traitement, 80 % des plaques séniles avaient été éliminées. Les souris avaient aussi retrouvé la mémoire et obtenaient de meilleurs tests que les rongeurs non traités lors d’exercices d’apprentissage.

 

De faibles effets secondaires chez les souris avec le MPL

 

Les biologistes supposent que le MPL agirait à deux niveaux. D’une part, il augmenterait le nombre de cellules souches sanguines, celles qui se différencient en cellules de la microglie, élevant ainsi les effectifs du système immunitaire dans le cerveau. En plus, la molécule, en se fixant sur ces cellules, augmente leur appétit pour les plaques séniles, qui se trouvent mieux phagocytées.

 

Si d’un point de vue biologique les progrès sont incontestables, il faut prendre en compte en plus les effets secondaires lorsqu’on compte développer un vaccin. Contrairement aux précédents essais qui s’étaient montrés trop lourds de conséquences, l’inflammation constatée semble cette fois nettement plus modérée. De quoi supposer que le traitement serait bien supporté par les sujets humains à des doses équivalentes.

 

[…]L’idée serait de l’utiliser de deux façons différentes. Le MPL constituerait d’une part un vaccin thérapeutique pour les patients atteints par la maladie d’Alzheimer en augmentant la réponse des cellules de la microglie aux plaques séniles, permettant de ralentir la progression de la neurodégénérescence. D’autre part, il pourrait aussi constituer un bon vaccin préventif pour les personnes à risque de déclarer la démence par stimulation de la réponse immunitaire contre les bêta-amyloïdes. »

 

Nous y voilà : ou comment rentabiliser un produit déjà incorporé dans de précédents vaccins ! Le MPL figure en effet déjà dans la composition d’un vaccin comme le Cervarix (papillomavirus), un vaccin qui a déjà fait beaucoup de victimes : décès, paralysies, épilepsie, etc

 

Dans l’étude Patricia, financée par GSK, au sujet de son vaccin Cervarix, on retrouve 9% d’effets secondaires GRAVES dans le groupe Cervarix contre 8,9% dans le groupe Havrix (vaccin hépatite A du groupe qui contient aussi de l’aluminium, comme le Cervarix). Bien sûr, GSK a eu tôt fait de prétendre que seul 0,1% de ces effets secondaires étaient attribuables à l’un de ses deux vaccins… comment s’en étonner ?!

 

Mais malgré cela, un site comme Futura-Sciences ne craint pas de se ridiculiser en affirmant que cette molécule (le MPL bactérien) « est connue, car elle joue le rôle d’adjuvant dans certains vaccins développés par GSK, ce qui implique que son innocuité a déjà été prouvée chez l’Homme. »

 

Par ailleurs, il est aussi question des effets inflammatoires du MPL… troquer une future maladie d’Alzheimer que des vaccins aluminiques et antigrippaux auront favorisée chez vous, par une future maladie auto-immune inflammatoire, ça vous tente ? Parce que c’est clairement ça le pseudo « progrès » qu’on vous vend ici !

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