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19 novembre 2011 6 19 /11 /novembre /2011 10:47

 

Le tour de vis budgétaire décidé cette semaine par le gouvernement sur l'indemnisation des arrêts maladie, centré sur l'allongement des jours de carence, est une mauvaise réponse tant sur le plan de la santé publique que de l'abstentéisme, selon médecins et experts.

«Ce n'est pas un bon calcul sur le plan sanitaire et de la productivité au travail», estime le Dr Claude Leicher, président de MG France, le plus gros syndicat de médecins généralistes.

En effet, note-t-il, le passage de trois à quatre jours du délai de carence, période non remboursée par l'assurance maladie, va frapper de plein fouet les très petites structures (20% des entreprises) qui n'ont pas de contrats de complémentaire santé pour couvrir les arrêts de travail de leurs salariés.

Ces travailleurs exercent souvent des métiers pénibles et vont être doublement pénalisés: financièrement car ils ne seront pas indemnisés et sur le plan de la santé car ils hésiteront à s'arrêter alors que leur état l'exige, selon lui.

«Il ne faut pas oublier que lorsqu'on a mis en place ce système de remboursement des arrêts maladie, un des objectifs était de permettre aux gens de reprendre leur activité le plus vite possible», rappelle-t-il.

«Il y a un certain nombre de situations dans lesquelles si vous vous arrêtez deux ou trois jours, vous allez pouvoir reprendre une activité dans des conditions bien meilleures et avec une productivité améliorée», explique le Dr Leicher.

«L'exemple le plus simple est celui de la lombalgie aiguë: quand vous avez un bon lumbago, vous n'êtes pas obligé de vous arrêter pendant quinze jours: très souvent un arrêt bref de deux à trois jours permet de passer la phase de douleur intense et de reprendre une activité dans de meilleures conditions», ajoute-t-il.

Absentéisme et démotivation

«Les personnes réagissent de façon très différente devant la maladie», indique pour sa part le Dr Claude Bronner, qui dirige la branche généraliste de (...) Lire la suite sur Liberation.fr

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 19:33

Des biberons, tétines et téterelles utilisés dans des maternités françaises auraient été stérilisés avec de l'oxyde d'éthylène , un gaz considéré cancérogène pour l'Homme. « Informé hier (mercredi) de ce problème », le ministère de la Santé ouvre une enquête.

L'oxyde d'éthylène est un gaz doté de propriétés bactéricides, virucides et fongicides. Il est utilisé dans les établissements de santé pour stériliser « du matériel thermosensible qui ne supporte pas la stérilisation à la vapeur », lit-on sur le site du Centre de coordination de la lutte contre les infections nosocomiales et associées aux soins (CCLIN) de la région Sud-Est. Il doit être manipulé avec précaution en raison d'un risque de toxicité par inhalation. De la même façon, lorsqu'il est mis en « en présence d'eau, (ce gaz) peut entraîner des réactions irritatives de la peau et des muqueuses ».

Le ministère de la Santé précise que le procédé de stérilisation utilisant l'oxyde d'éthylène « n'est pas autorisé pour les matériaux au contact des denrées alimentaires. Car ce produit est considéré comme cancérogène pour l'Homme. Pourtant il semblerait que des biberons tétines et téterelles stérilisés avec ce procédé soient utilisés dans les établissements de santé ».

Retirer au plus vite les produits concernés

En lien avec le ministère des Finances, le ministre de la Santé, Xavier Bertrand a ordonné l'ouverture d'une enquête « pour comprendre comment un tel dysfonctionnement a pu se produire ». Aussi bien « de la part des entreprises qui commercialiseraient des produits en contact direct avec des denrées alimentaires, stérilisés avec de l'oxyde d'éthylène », que des « établissements hospitaliers qui les auraient achetés ».

Pour le ministre « la priorité est que les biberons, tétines et téterelles stérilisés avec de l'oxyde d'éthylène soient retirés dans les délais les plus brefs ». Les conclusions de l'enquête devraient être rendues dans les semaines qui viennent. « Avant la fin de l'année »

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 19:27

 

 

 

Comme toute mère de famille ayant des enfants, je suis vigilante voire très vigilante quant aux progrès de la médecine, de la recherche pour prévenir, soigner, et pourquoi pas guérir de façon définitive ce fléau, ces fléaux devrais-je dire que sont les cancers, toutes formes de cancer.

Et comme beaucoup de personnes j'attends le traitement miracle, voire la vaccination qui ferait reléguer ces maladies à des souvenirs archaïques, de ceux qui nous font sourire lorsque l'on revoit des affiches de campagne de santé publique, pour la prévention de la tuberculose ou de la variole, via la vaccination obligatoire ...

C'est ainsi, que comme bien d'autres mères d'enfants et de filles en particulier, j'ai été interpellée par ces spots diffusées dès 2008 par un laboratoire pharmaceutique.

Spots censés nous informer qu'il existerait désormais un moyen efficace de prévenir le cancer du col de l'utérus au moyen d'une vaccination à destination des jeunes filles, dès l'âge de 14 ans .



Et bien évidemment, croyant bien faire, ma Gazelle a eu droit à la première injection de ce vaccin dès 2008. Mais pas les suivantes.

Entretemps, des premières interrogations se sont faites jour quant à l'efficacité, l'innocuité du vaccin. Et bien sur, me sont revenues en mémoire toutes les polémiques autour de la vaccination dès la 6ème contre l'hépatite B et bien entendu tous les cas de scléroses en plaques qui se sont déclarés à la suite, mais pas seulement cette maladie.

La lecture de ce site à ce propos est éclairante.

On se souvient plus récemment du scandale du médiator et " Des méthodes de l'ombre du labo Servier ", comme le titrait LibéOrléans en décembre 2010, alors qu'il semblerait que ce même Labo tente aujourd'hui de se disculper en rejetant en partie sa faute sur les médecins prescripteurs.

Tout cela ne semble donc pas très clair entre intérêts des laboratoires, risques réels, éfficacité et innocuité vaccinale ou pharmaceutique.

Contre le cancer du col de l'utérus, de nombreuses voix s'élèvent à l'heure actuelle contre cette vaccination et posent de judiceuses questions quant à son AMM ( autorisation de mise sur le marché).



C'est ainsi qu'en France, aucune véritable étude n'a été faite, et que nous n'avons par conséquent aucun véritable recul vaccinal.

Pourtant, de nouveaux spots sont actuellement diffusés sur nos chaînes publiques ou privées pour inciter à la vaccination.

Pour être l'une de ces femmes qui a pris du distilbène en début de grossesse pour mes deux premiers enfants, en connaissant depuis peu les conséquences sur la fertilité de ma fille aînée, ses difficultés à avoir des enfants,  ainsi que les risques qu'elle a encouru lors de la naissance de ses deux filles, aujourd'hui, je frémis, oui je frémis pour Ma Gazelle, et les conséquences éventuelles de cette première injection de Gardasil, même si pour l'instant, elle n'a développé aucun symptôme.

Les effets du distilbène pourraient encore éventullement se faire sentir sur mes deux petites filles, même s'il est vrai que j'ai eu cette "chance" de ne pas avoir ce traitement tout au long de ma grossesse, mais juste les trois premiers mois.

Toujours cette responsabilité envers ses enfants, toujours cette interrogation : et si, et si...

Doit-on vraiment encore faire courir des risques, doit-on encore voir des listes de victimes s'agrandir ?
Pourquoi ces nouveaux spots alors que les interrogations n'ont pas été suivies de recherche réelle, ni même de bilan ?

Aura-t-on encore d'ici quelques années un nouveau scandale sanitaire ?
Qui en paiera encore le prix fort ?
Questions qu'il serait peut-être temps de se poser réellement avant que de faire courir de nouveaux risques sous couvert de préventions ?

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 18:21

C'est ce qu'affirme le groupe pharmaceutique allemand qui fournit la matière première du médicament, le Thiotepa. Une plainte pour faux et usage de faux va être déposée. Un nouveau scandale sanitaire? Le laboratoire français Genopharm est accusé d'avoir sciemment commercialisé du Thiotepa périmé, révèle Le Parisien. Le reproche est formulé par le fournisseur de la matière première du médicament, le groupe pharmaceutique allemand Reimser. D'après les éléments recueillis par le groupe allemand, cet anticancéreux se trouvait encore sur le marché début 2011 alors que sa date d'utilisation arrivait à expiration... en mars 2009.

Or, au bout de dix-huit mois, le Triotepa - utilisé principalement dans la recherche et le traitement des cancers de l'enfant, notamment ceux du sang, et le traitement des tumeurs solides - "perd beaucoup de son efficacité, détaille le quotidien régional. Et risque même de "fausser gravement les traitements".

Reimser va plus loin. Selon le groupe pharmaceutique allemand, Genopharm aurait confectionné un faux certificat de péremption courant jusqu'à août 2011.

Quel risque représente l'administration de Thiotepa périmé? "Aujourd'hui rien ne prouve que des cancers auraient pu être aggravés pour cette raison", relève le quotidien.

"S'il y a falsification, c'est gravissime"

Reimser affirme avoir alerté l'Agence du médicament (Afssaps) dès mars. Cette dernière a d'ailleurs procédé au rappel de deux lots, le 12 octobre dernier, pour cause de "sous-dosage". "Je veux savoir ce qui s'est passé entre le dépôt de cette information et le retrait des lots, je veux savoir s'il n'y a pas eu la moindre perte de chance pour les enfants concernés", a ajouté le ministre.

"On me dit, notamment l'Afssaps, qu'il y avait toujours la substance active, mais s'il y a falsification, c'est gravissime, et là, il faut en répondre, pas seulement devant les autorités sanitaires, mais devant la justice", a poursuivi Xavier Bertrand.

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 10:45

Le monde d’aujourd’hui est confronté à un stress permanent. La tradition est bien trop souvent remplacée par des moyens « modernes » pour répondre aux exigences de la vie. Un exemple : les personnes âgées. Autrefois, parents et grands-parents étaient soutenus par l’Église, la famille et la communauté. Aujourd’hui la situation est tout autre. La plupart d’entre eux sont placés dans des foyers pour personnes âgées ou des maisons de retraite. Nous faisons confiance à ces établissements puisqu’ils disposent d’un personnel qualifié et que nous sommes convaincus qu’on prendra soin d’eux comme nous le ferions nous-mêmes.

La femme et la famille de Pierre Charbonneau, âgé de 67 ans, y croyaient, après l’avoir transporté en urgence à l’hôpital en raison d’une importante crise d’anxiété liée à la maladie d’Alzheimer. Étant sujet à une « agitation aiguë », on lui prescrivit un tranquillisant. Dix jours plus tard, il fut transféré dans une maison de retraite où l’on doubla immédiatement la dose et la tripla trois jours après. Sa femme Lucette le trouva affalé dans sa chaise roulante, le menton sur la poitrine. Il était incapable de marcher et ne pouvait avaler que quelques cuillères à café de nourriture en bouillie.

Un pharmacien informa Lucette que son mari souffrait probablement de dégâts irréversibles du système nerveux provoqués par de forts tranquillisants. La famille a alors appelé la maison de retraite, exigeant l’arrêt des médicaments. C’était trop tard. Un médecin a dit plus tard que la langue de M. Charbonneau était définitivement paralysée et qu’il ne pourrait plus jamais avaler. Neuf jours plus tard, M. Charbonneau décédait. La cause de sa mort étant officiellement une attaque cardiaque.

Pour ceux envisageant le placement de parents ou grands-parents, il est important de savoir que ce cas n’est pas une exception dans les maisons pour personnes âgées.

Lorsque Wilda Henry a placé sa mère, Cécile, âgée de 83 ans dans une maison de retraite, « elle marchait aussi bien que vous et moi ». En l’espace de deux semaines, après avoir reçu de l’Haldol, un médicament psychiatrique, Cécile a commencé à bredouiller au lieu de parler, à baver constamment, est devenue violemment agitée et incapable de contrôler ses fonctions intestinales. Le dosage, tel que ce fut découvert ultérieurement, était 100 fois supérieur à la quantité recommandée. Il fut établi par un médecin, que l’Haldol avait provoqué ces symptômes ainsi que des dommages irréversibles au foie.

La réalité des maisons de retraite et des foyers pour personnes âgées est souvent très éloignée de l’image stéréotypée de résidents communicatifs, actifs et intéressés, vivant dans un environnement idyllique. Au contraire, le plus souvent, les personnes âgées qui vivent dans des institutions aujourd’hui paraissent dociles, tranquilles, en quelque sorte absentes, sans intérêt pour la vie. Elles affichent un regard vide et fixe ou sont profondément introverties et retirées. Si ce n’est de l’effet des drogues, cet état peut aussi provenir de l’utilisation d’électrochocs ou simplement de la menace d’être soumis à une contention physique douloureuse et dégradante.

Plutôt que de précipiter l'échec des maisons de retraite et du personnel de soins aux seniors, cette situation a introduit à grande échelle, au cours des dernières décennies, des traitements psychiatriques dans les soins aux personnes âgées.

Examinons les faits suivants concernant les « traitements » infligés aux personnes âgées :

• Les tranquillisants, aussi appelés benzodiazépines, peuvent provoquer une dépendance après 14 jours d’utilisation.

• En Australie, on prescrit des psychotropes aux personnes âgées dans des maisons de retraite parce qu’elles sont « bruyantes », « veulent quitter la maison de retraite » ou « font les cent pas ».

• Au Canada, entre 1995 et mars 1996, un tranquillisant conduisant à une forte dépendance a été prescrit à 428 000 personnes, dont plus de 35 % étaient des patients de 65 ans et plus.

• Des rapports de médecins légistes britanniques montrent que les benzodiazépines contribuent davantage aux morts non naturelles chaque année que la cocaïne, l’héroïne, l’ecstasy et toutes les autres drogues illicites.

• Des antipsychotiques tels que le Zyprexa, Risperdal et Seroquel augmentent les risques d’attaque et de décès chez les personnes âgées. Une mise en garde qui met l’accent sur ce risque figure sur la boîte.

• Les Inhibiteurs Sélectifs de la Recapture de la Sérotonine (ISRS) — les antidépresseurs actuels — sont source de pensées et comportements suicidaires. Selon une étude norvégienne, le Paxil (paroxetine), par exemple, présente sept fois plus de risques d’induire le suicide chez ceux qui le prennent que chez ceux qui prennent un placebo (pilule de sucre).

• Aux États-Unis, les personnes âgées de 65 ans reçoivent 360 % plus de traitements de choc que celles de 64 ans. En effet, à partir de 65 ans, la couverture sociale pour ces traitements par Medicare (l’assurance maladie) prend effet.

De tels mauvais traitements infligés à grande échelle aux personnes âgées ne résultent pas de l’incompétence médicale. En fait, la littérature médicale déconseille clairement la prescription de tranquillisants aux personnes âgées en raison de leurs nombreux effets secondaires dangereux. Des études montrent que les électrochocs raccourcissent significativement la vie des personnes. Les chiffres spécifiques ne sont pas gardés car les causes de décès mentionnent généralement une crise cardiaque ou autres maladies.

Cet abus est le résultat des manœuvres de la psychiatrie elle-même, pour occuper une position d’autorité dans le secteur des soins aux personnes âgées. Grâce à cette position, la psychiatrie a largement diffusé le canular tragique mais lucratif prétendant que le vieillissement est un trouble mental qui demande des soins psychiatriques importants et onéreux.

De plus, plutôt que d’être entourées et respectées, les personnes âgées voient leur dignité bafouée par la perte de leurs capacités mentales dues aux traitements psychiatriques ou encore, leur vie tragiquement et prématurément interrompue.

Cette publication a été réalisée afin d’exposer cette triste réalité qui fait que dans le monde entier de telles tragédies ne cessent de se produire, souvent dans le silence et l’indifférence. Cette trahison des personnes âgées et de leurs proches ne doit pas être tolérée dans une société civilisée.

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 10:44

Avec le développement rapide des programmes gouvernementaux de « santé mentale communautaire » destinés aux individus présentant de graves troubles mentaux et qui coûtent aujourd’hui des millions de dollars, n'est-il pas temps de se demander combien la santé mentale coûte-elle à notre société actuelle ?

Aux États-Unis, la nouvelle Commission-Liberté sur la Santé Mentale a publié un rapport qui prétendait que « des traitements de pointe efficaces, vitaux pour la qualité des soins et la guérison sont maintenant disponibles pour la plupart des maladies mentales graves et des troubles émotionnels sérieux. » Emphase ajoutée]

Pour ceux qui ne connaissent pas grand chose à la psychiatrie et aux centres publics de santé mentale, cela semble être une grande nouvelle. Cependant, que sont exactement ces « traitements » que l’on dit si vitaux ?

Ils consistent principalement en la prescription systématique, sans exception aucune, de médicaments appelés neuroleptiques (du grec : « saisir le nerf », le nom indiquant bien que ces médicaments ont la même action qu’une lobotomie chimique).

Le recours aux neuroleptiques dans les traitements de patients soi-disant schizophrènes représente un coût de plus de 10 millions de dollars (8,2 millions d’euros) par jour, pour l’ensemble du territoire américain seulement. Le traitement est généralement à vie.

Mais alors, quel devrait être le prix à payer pour des soins de qualité permettant la guérison et le retour à une vie productive pour ces personnes ?

Selon des recherches expérimentales indépendantes menées hors du cadre psychiatrique, la réponse à cette question est : « très faible ». En effet, des soins de qualité ayant pour résultat la guérison et la réintégration peuvent être très bon marché. Ils peuvent aussi être rapides, stables et, ce qui est encore plus important, ne pas impliquer de médicaments.

Dans une étude portant sur huit années, l’Organisation mondiale de la santé, a mis en évidence que dans trois pays sous-développés — l’Inde, le Nigeria et la Colombie — dont les traitements ne reposent pas sur les drogues, les patients présentant des troubles mentaux sévères étaient en bien meilleur état que les patients souffrant de pathologies similaires aux États-Unis et dans quatre autres pays développés. Une enquête complémentaire a conforté ces conclusions.

Dans les années 1970, aux États-Unis, l’expérience menée à Soteria House par le docteur Loren Mosher, aujourd’hui décédé, reposait sur l’idée que la « schizophrénie » peut être soignée sans drogue. Les patients de Soteria qui ne prenaient pas de neuroleptiques étaient en fait ceux qui se portaient le mieux, comparés aux sujets sous contrôle hospitalier et sous traitement psychotrope. Des chercheurs suisses, suédois et finlandais ont refait cette expérience et l’ont validée. Ils utilisent toujours cette méthode aujourd'hui.

En Italie, le Dr Giorgio Antonucci a démantelé quelques-uns des services psychiatriques les plus oppressifs en traitant des patients souffrant de profonds troubles mentaux avec compassion, respect et sans médicament. En quelques mois, le service le plus violent devint le plus calme.

Qu’est-ce que tout cela signifie ?

Ainsi que vous le dira tout scientifique qui se respecte, une théorie n’est bonne qu’aussi longtemps qu’elle marche. Il sait que lorsqu’il rencontre des faits qui s’éloignent de sa théorie, il se doit de poursuivre sa recherche afin de la modifier ou la rejeter sur la base des preuves alors découvertes.

Depuis de nombreuses années, la psychiatrie a promu sa théorie que le seul « traitement » des « maladies » mentales graves est la prescription de neuroleptiques. Pourtant, cette idée est fausse. La vérité est que non seulement il n’y a aucune nécessité à droguer les malades souffrant de troubles mentaux sévères, sans parler du fait que ce soit coûteux, mais cela provoque des effets secondaires qui endommagent le cerveau et la vie.

Nous souhaitons exposer dans ce rapport les failles existantes dans les arguments de la psychiatrie — les fraudes, mensonges et tromperies dont elle est l’auteur. Cette information aide à comprendre les raisons pour lesquelles les psychiatres attaquent toutes les meilleures solutions alternatives aux problèmes des troubles mentaux.

La vérité, c’est que nous ne nous trouvons pas face à un manque de compétence scientifique ou de méthode ou même, d’une soi-disant science. En fait, les déclarations apparemment anodines telles que « Il est prouvé scientifiquement que les nouvelles catégories de médicaments apportent de grandes améliorations dans le traitement des symptômes de la schizophrénie et de la dépression avec des effets secondaires nettement amoindris » ne sont soutenues par aucune preuve, et constituent tout simplement une fraude médicale.

La pratique psychiatrique des traitements des malades mentaux les plus atteints — partie la plus importante fonctionnelle, « scientifique » et « fondée sur des preuves », du domaine de la santé mentale et les autres programmes psychiatriques — est une science erronée et une médecine nuisible, mais c’est une affaire très rentable pour la psychiatrie.

La vérité, c’est qu’il existe des alternatives qui marchent pour remplacer les traitements nuisibles de la psychiatrie qui détériorent le mental, le cerveau et le corps. Actuellement, la psychiatrie cherche à imposer partout le dépistage des maladies mentales sur les adultes et les enfants. Il est urgent que tous ceux qui ont un intérêt dans la préservation de la santé mentale, de la santé physique et de la liberté pour leur famille, leur communauté et leur nation, lisent cette publication. Quelque chose doit être fait afin de mettre en place une véritable aide pour ceux qui en ont besoin.

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 10:43

Les médias vantent souvent les « progrès » de la recherche psychopharmaceutique actuelle dans le traitement des « problèmes » émotionnels, d’apprentissage ou d’incapacité chez l’enfant.

Ils semblent logiques. Ils semblent persuasifs — la science progresse une fois de plus dans sa conquête de l’univers, pour le bien de l’humanité. Qui pourrait s’opposer à ce qu’on rende la vie aussi normale que possible pour les gens en difficulté ?

Les parents de Daniel s’y opposeraient. Ceux de Cory aussi. Ils s’y opposeraient avec véhémence et détermination. Si l’on considère que le monde compte près de 20 millions d’enfants en âge scolaire, déclarés atteints de trouble mental et qui nécessitent des médicaments psychiatriques puissants, alors ces parents sont loin d’être les seuls.

Qui sont Daniel et Cory ? Pourquoi leurs parents réagissent-ils de la sorte ? Il y a certains enfants qui ne sont pas seulement incapables de vivre une vie normale à cause de ses supposées drogues « miracles », mais qui en sont morts.

Je vous demande d'analyser de plus près les exemples ci-dessus, avec le point de vue d’un enfant, parce que la réalité et les étiquettes ne veulent plus dire la même chose lorsqu’arrivent les « drogues psychiatriques du moment ».

Regardons de quelle manière certains mots sont utilisés. Prenez le mot « normal » par exemple. Vous avez certainement votre propre idée de ce qu’est une vie normale. Est-ce qu’elle implique la consommation de médicaments psychiatriques créant la dépendance, altérant l’esprit et mortels ? Est-ce qu’elle implique une totale confiance en de telles drogues pour rester « normal » ?

Qu’en est-il du mot « médicament » ? Est-ce que cela vous rassure d’évoquer l’image d’un petit sirop pour la toux prescrit par un médecin de famille bien intentionné ? Rien ne saurait être moins vrai. Les drogues psychiatriques sont très puissantes et provoquent la dépendance.

Puis vient le terme « scientifique », que la psychiatrie utilise souvent pour donner un caractère légitime à ses déclarations. Dans le dictionnaire World Book, ce mot suppose : « systématisme, précision et exactitude ». Ces caractéristiques n’ont rien à voir avec la psychiatrie ou, en l’occurrence, sa cousine la psychologie.

Voici quelques autres exemples de mots déformés par les psychiatres : « valeurs », « juste », « faux », « sécurité » et même « éducation ».

La redéfinition des mots est une propagande subtile que les psychologues et les psychiatres utilisent. D’une manière ou d’une autre, entre leurs mains, les choses sont déformées pour finalement s’effondrer.

Le problème est que leur propagande à l’échelle mondiale au sujet des enfants et de l’éducation a trompé les parents, les enseignants et les politiciens bien intentionnés. En ayant redéfini le sens du mot « normal », ils ont fait du comportement habituel d’un enfant une maladie mentale. De plus, ce n’est que grâce à une prise de drogues continuelle et lourde dès le plus jeune âge, que l’enfant « atteint » pourra mener une vie acceptable.

Qui aurait imaginé il y a quarante ans de cela que nous en arriverions à cette situation ? Peu importe, nous y sommes. Et la triste réalité, c’est que pour cela, la vie d’enfants est sérieusement menacée, altérée et parfois perdue.

Contrairement à l’opinion psychiatrique, les enfants ne sont pas « des animaux de laboratoire ». Ce sont des êtres humains qui ont chacun le droit d’être protégé, soigné, aimé et d’avoir toutes leurs chances d’atteindre pleinement leur potentiel dans la vie. Une chance qui leur est refusée par l’étiquetage et la camisole chimique de la psychiatrie.

Nous rendons disponible ce rapport, Enfants sous drogues psychiatriques — des vies détruites, afin de dévoiler les mensonges et la propagande de la psychiatrie, de donner un point de vue et des informations, volontairement cachées, aux parents et à d’autres adultes concernés. Et le plus important est en outre d’aider à ramener bon sens et contrôle dans les soins et l’éducation de nos enfants.

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16 novembre 2011 3 16 /11 /novembre /2011 19:07

Un généraliste écope de deux ans de prison avec sursis pour des faux auprès de la CPAM.

 Le médecin généraliste facturait à la CPAM des consultations imaginaires. archives « so »

L'abus de consultations médicales est dangereux pour le porte-monnaie et peut conduire devant le tribunal. On pourrait résumer ainsi le dossier de Jean-Marie Bresque, médecin généraliste de Ribérac, condamné hier à deux ans de prison avec sursis et une amende de 20 000 euros d'amende.

Il a été reconnu coupable, par le tribunal correctionnel de Périgueux, « d'escroquerie, faux et usage de faux en écriture ». Une décision conforme aux réquisitions faites par le procureur de la République de Périgueux, Yves Squercioni, lors de l'audience du 2 mars dernier (lire « Sud Ouest » du 3 mars).

Le médecin a facturé, entre 2004 et 2007, à la Caisse primaire d'assurance-maladie de la Dordogne (CPAM), 1 731 actes et 635 consultations fictives, dont une grosse partie concernait des patients sous le régime de la couverture maladie universelle (CMU).

Consultations fictives

L'affaire avait débuté avec des signalements d'assurés à la CPAM qui avaient noté des anomalies dans leurs relevés comme des visites de nuit qui n'avaient jamais eu lieu ou encore des consultations chez des gens du voyage qui n'étaient pas dans la région à cette période-là.

Des tableaux très détaillés de la CPAM avaient démontré que 95 % des anomalies étaient issues des passages de Carte vitale.

Autre détail troublant, alors que le médecin avait une patientèle moins nombreuse que ses autres confrères du cabinet médical, il facturait un nombre d'actes bien supérieurs à eux. Enfin, entre 2004 et 2005, les revenus du praticien avaient fait un bon de 46 %, puis de 13 % en 2006, autant d'arguments pour caractériser l'escroquerie, bien que Jean-Marie Bresque s'en soit toujours défendu. Son avocat, Me Benoît Ducos-Ader avait plaidé la relaxe pour son client.

Une lutte organisée

Pour Christian Groppo, directeur de la CPAM en Dordogne qui était partie civile dans ce dossier, « cette décision est un signe qui montre que nous sommes de plus en plus vigilants sur les arnaques et fraudes à la sécurité sociale. »

Ce n'est pas la première fois que la CPAM de la Dordogne obtient une condamnation de la justice pour ces fraudes.

L'an dernier, un Périgourdin avait été sanctionné par deux mois de prison avec sursis pour avoir falsifié les dates de ses arrêts de travail et, il y a deux ans, un fournisseur de matériel médical avait été condamné pour la facturation de lits médicalisés qu'il ne livrait jamais chez les malades mais que la CPAM payait.

« Il y a une véritable stratégie nationale pour la lutte contre les fraudes depuis quelques années et c'est devenu une priorité, souligne Christian Groppo. Nous avons de plus en plus de dossiers mais c'est une tendance générale. »

Un service dédié à la lutte contre les fraudes a même été créé comprenant des enquêteurs, un statisticien et un juriste. Le service travaille en réseau avec d'autres administrations publiques et parapubliques dans le cadre du Codaf.

« Nous avons une trentaine de dossiers qui concernent à 50-50 les assurés comme les professionnels de santé. Le montant des fraudes des assurés est moins important car pour les praticiens, c'est tout un mécanisme qui se met en place et les montants sont forcément élevés. »

Outre les 78 990,19 euros de préjudice matériel que Jean-Marie Bresque devra rembourser à la sécurité sociale, il devra lui verser 3 500 euros de dommages et intérêts pour le temps passé à décortiquer cette longue fraude.

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16 novembre 2011 3 16 /11 /novembre /2011 19:03

Depuis des années, d’aucuns dénoncent une pratique qui laisse des experts reconnus signer des articles scientifiques sur des recherches qu’ils n’ont ni conçues ni conclues eux-mêmes. Médecins et patients peuvent ainsi être induits en erreur sur l’efficacité, par exemple, de certains médicaments.<br />

Photo : Agence Reuters Lucas Jackson

Depuis des années, d’aucuns dénoncent une pratique qui laisse des experts reconnus signer des articles scientifiques sur des recherches qu’ils n’ont ni conçues ni conclues eux-mêmes. Médecins et patients peuvent ainsi être induits en erreur sur l’efficacité, par exemple, de certains médicaments.

Le diagnostic que vous craigniez tant tombe: vous souffrez d’un mal qui vous rendra la vie insupportable. Mais, ô miracle, une revue médicale le confirme — sous la signature d’un expert —, un médicament vous soulagera bientôt de ce dont vous souffrez. Sitôt compris, sitôt prescrit. Une vie nouvelle commence. Vous prenez fidèlement le produit. Or, quelques années plus tard, on vous déclare atteint d’un problème sérieux, qui risque d’abréger vos jours. Vous en parlez aussitôt à un professionnel de confiance.

Votre oncle, vieil omnipraticien d’expérience, se demande si votre médecin traitant n’a pas été victime d’un coup de publicité d’une pharmaceutique. L’auteur de l’article sur le produit miracle était-il vraiment le chercheur qui l’a mis au point? Le texte prometteur n’a-t-il pas plutôt été préparé par un rédacteur anonyme à la solde du fabricant? Les tests cliniques étaient-ils concluants? Bref, la revue qui a publié la «percée» scientifique n’aurait-elle pas été dupée par la renommée de l’«auteur»?

Vous tombez des nues. Or, depuis des années, d’aucuns dénoncent une pratique qui laisse des experts reconnus signer des articles scientifiques sur des recherches qu’ils n’ont ni conçues ni conclues eux-mêmes. Certes, pour contrecarrer un tel manque d’éthique, des journaux médicaux ont parfois établi une procédure déclaratoire sur l’intégrité des textes. Néanmoins, si les auteurs fictifs ne manquent pas, les vraies sanctions à leur égard s’avèrent plutôt rares.

Il faut dire que la tentation est forte. Outre des «honoraires» non négligeables, un pareil auteur ajoute à sa renommée, laquelle ouvre la voie aux promotions, subventions et autres reconnaissances. Ce n’est pas son commanditaire qui va le dénoncer, ni le rédacteur anonyme, qui écrit pour le même employeur. Il aura fallu des procès pour que cette vérité éclate. Tel fabricant osera plaider que son produit n’était pour rien dans le malheur du plaignant. Mais on ne peut plus cacher l’arnaque promotionnelle.

Les victimes d’une telle pratique sont plus nombreuses qu’on est porté à le croire. Le médecin qui se fie aux revues scientifiques est ainsi induit en erreur. D’autres patients risquent alors de souffrir d’un même traitement déficient. La recherche elle-même est contaminée par ces évaluations qui ne respectent pas les critères d’une validation indépendante. Un journal médical, convoité pour sa crédibilité, publiera ces informations tendancieuses au prix de sa propre réputation. Sans parler des gens et des organisations qui font les frais de semblables «coûts» de santé.

Pourquoi ?

Or, deux professeurs de l’Université de Toronto, Simon Stern, de la Faculté de droit, et son collègue Trudo Lemmens, qui enseigne aussi en médecine, se sont demandé pourquoi les journaux médicaux, les universités, les ordres professionnels semblaient le plus souvent impuissants à enrayer la pratique des auteurs fictifs et des rédacteurs cachés. Crainte d’être entraînés dans un scandale? de perdre du prestige? de risquer de commettre une injustice?

Au terme d’une étude de procès aux États-Unis, ces juristes ont trouvé une décision de la Cour suprême qui a tranché une affaire de «ghostwriting». Une compagnie avait gagné une contestation judiciaire grâce à un article «prouvant» qu’elle était bien l’inventeur d’un procédé qu’elle avait breveté. Or, bien qu’une sommité l’ait signé, l’article «scientifique» était de son cru. La Cour suprême n’a pas apprécié qu’on trompe ainsi les tribunaux. La compagnie (Hartford Empire) et ses avocats perdirent leur cause. C’était en 1944.

Dans la même affaire, la compagnie avait prétendu que le contenu de l’article était vrai, indépendamment de son attribution controversée. La Cour américaine n’en a fait qu’une bouchée. «La vérité n’a pas besoin de déguisement, a-t-elle statué. Même vrai, l’article aurait dû tenir ou tomber sous le seul titre qu’on aurait honnêtement dû lui donner, soit un sommaire préparé pour Hartford par ses agents, ses avocats et ses collaborateurs.» On ne saurait trouver plus clair principe de publication scientifique.

Stern et Lemmens croient avoir trouvé dans cette jurisprudence le moyen de rendre plus efficace la prévention de cette malhonnêteté intellectuelle. Quand les complices de ce genre de communication — auteurs fictifs, rédacteurs complaisants, commanditaires cupides — seront traités comme les fraudeurs qu’ils sont, ils y penseront peut-être à deux fois avant de s’engager dans une voie devenue plus périlleuse. Dès lors, ni la vérité scientifique ni le service du public ne sauront plus masquer ni excuser un tel mépris du devoir professionnel.

Un double enjeu

Des commentateurs ont trouvé que les juristes de l’Université de Toronto poussent leur analyse trop loin. Peut-on, en effet, suggérer que cette pratique pourrait aussi être attaquée en vertu d’une loi comme celle qui permet, aux États-Unis, de réprimer le crime organisé? Le Globe and Mail en doute. Pourtant, dans le cas présent, la comparaison avec cette honorable criminalité est frappante. Une telle tromperie n’a rien d’une peccadille ni d’une incartade individuelle. Des entreprises et des professionnels l’ont érigée en système aux dépens d’institutions vitales pour le progrès scientifique et la santé publique.

On s’étonnera, au contraire, que ce double enjeu d’intégrité scientifique et de santé publique ne retienne pas davantage l’attention des médias. Rarement la maladie et la santé auront été si grossièrement exploitées, à grand renfort de publicité, précisément sous le couvert de l’approbation médicale. Quand un pont tombe, le mal est public. Mais si un médicament vous tue, c’est «le style de vie» qui serait en cause? Cherchez l’erreur.

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16 novembre 2011 3 16 /11 /novembre /2011 17:03

La police est intervenue dans une maison de retraite des Yvelines après avoir été alertée par des résidents se plaignant de ne pas avoir de personnel pour la nuit

(photo d'illustration - Philippe Bataille)

La police est intervenue dans la nuit de mardi à mercredi dans une maison de retraire de Carrières-sous-Poissy (Yvelines) après avoir été alertée par des résidents se plaignant de ne pas avoir de personnel pour la nuit. La maison de retraite accueille 71 personnes âgées.

"L'équipe de nuit n'est pas venue pour une raison que nous ne connaissons pas encore", a déclaré une source policière.

Le directeur de la maison de retraite, qui se trouvait alors en séminaire en province avec son adjoint, a été contacté et a fait appel à des vacataires qui ont assuré le service de nuit.

Des résidents ont dit envisager de porter plainte, selon une seconde source policière, mais aucune plainte n'a été enregistrée ce mercredi matin.

Le directeur de cet établissement pour personnes âgées dépendantes (EPAD), géré par l'association ACPPA, Florian Lacroix a annoncé l'ouverture d'une enquête interne. Il a reconnu un "dysfonctionnement", qui n'a eu "aucune conséquence sur les résidents". "Il y a sûrement eu un problème de communication entre l'équipe de jour et l'équipe de nuit, il faut savoir ce qui s'est passé et des sanctions seront prises".

Une aide-soignante a confié sous couvert d'anonymat que "cela n'était jamais arrivé" dans cette maison de retraite où il y a "une bonne ambiance". La jeune femme, qui a précisé ne pas avoir travaillé la veille, a déploré que ce matin "la faute retombe" sur elle et ses collègues.

Le maire (PRG) de Carrières-sous-Poissy, Eddie Aït, a dénoncé un incident "intolérable". "C'est très ennuyeux car il n'y avait jamais eu de difficulté, c'est un très bon établissement, inauguré en juillet après une restructuration complète à hauteur de trois millions d'euros", a-t-il ajouté. 

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