lundi, 12 mars 2012
(photo AFP)
En mars 1991, une semaine après sa naissance, cette jeune femme, aujourd’hui âgée de 21 ans, avait dû être amputée de trois doigts, à sa main droite, après avoir été brûlée par des lampes à infrarouge au CHU de Saint-Étienne (Loire).
Ce lundi, le tribunal de grande instance de Paris a reconnu notamment "l’existence d’une perte de chance d’exercer certains métiers" par la victime.
Cette dernière aurait souhaité, alors qu’elle était adolescente, devenir esthéticienne.
La compagnie GAN Assurances Iard qui assurait le CHU de Saint-Etienne est condamnée à verser à la victime 199.250 euros, au titre des dommages et intérêts.
Le Gan devra également verser 10.000 euros de dommages et intérêts à la mère de la victime.
(Source : L'Est Républicain)