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30 octobre 2011 7 30 /10 /octobre /2011 10:37

 

Il était temps que les journaux comme Marie-Claire, France-soir ou le Figaro dénoncent enfin la dangerosité de ces médicaments que les psychiatres donnent à leurs patients. Il est intéressant de voir que ces produits ont presque tous un effet secondaire en commun, un risque de pensée suicidaire, de dépression, d’hostilité ou d’autres changements du comportement.
De qui se fiche-t-on ? Les psychiatres ne devaient-ils pas soigner ces états de fait chez les gens ? Au lieu de cela ils ne font que créer des morts en puissance.
Je remarque une chose curieuse depuis l’affaire du Médiator, c’est que plus personne actuellement n’ose défendre les psychotropes comme nous pouvions le voir auparavant. Les psychiatres se font petits et aucun ne monte aux créneaux pour dire que ces produits sont de bons produits.
Soit ce sont de fichus trouillards, ce que je pense, soit ils savent que les produits qu’ils vendent sont dangereux et se taisent par peur du bâton, ce que je pense aussi.
Dans un cas comme dans l’autre nous voyons bien là ce qu’est la psychiatrie.
Merci à vous Messieurs les journalistes qui avez eu le courage de dénoncer le danger de ces médicaments.

Le Webmaster

Faites-vous encore confiance aux laboratoires ?

Le scandale du Médiator, les autorités sanitaires deviennent très vigilantes et demandent aux laboratoires de surveiller 59 molécules dont les effets peuvent s’avérer dangereux. Une liste de médicaments jugés dangereux a été établie.
Samedi dernier, Xavier Bertrand, ministre de la Santé, annonçait sans les nommer que 76 médicaments en France étaient particulièrement surveillés. Aujourd’hui, une liste de 59 médicaments contenant des molécules aux effets potentiellement dangereux a été rendue publique. Ils font l’objet d’une procédure spéciale de suivi des effets indésirables appelée «plan de gestion des risques». Les laboratoires qui les fabriquent doivent surveiller tout particulièrement les effets secondaires et les risques de ces produits, et les signaler aux autorités sanitaires. L’affaire du Médiator n’est donc pas un cas isolé !

Les effets secondaires font froid dans le dos : dépressions, cancers, hallucinations, vomissements, diarrhées ou encore malaises… Un sondage CSA, pour Le Parisien publié la semaine dernière, démontre que 35% des Français disent se méfier des médicaments.
Peut-on encore avoir confiance en ces médicaments ?

Pour vous éclairer Marieclaire.fr a sélectionné les médicaments les plus connus de la liste :

Mediator : médicament pour diabétiques en surpoids utilisé aussi par des non-diabétiques et interdit depuis novembre 2009, qui aurait fait environ 500 morts en un peu plus de 30 ans, selon une estimation de la Caisse nationale d’assurance maladie.
Acomplia : produit de traitement de l’obésité ou des patients en surpoids.
Alli : traitement du surpoids.
Gardasil : vaccin préconisé aux jeunes filles contre le papillomavirus, en prévention des cancers du col de l’utérus.
Champix : aide à l’arrêt du tabac.
Ellaone : contraceptif d’urgence.
Intrinsa : patch indiqué en cas de baisse du désir sexuel chez les femmes souffrant de ménopause chirurgicale, le « Viagra féminin ».
Prevenar 13 : Vaccin contre les infections à pneumocoque (méningites, pneumonies…) pour les enfants.
Zypadhera : antipsychotique délivré aux patients adultes schizophrènes.

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