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11 décembre 2012 2 11 /12 /décembre /2012 18:16
1) Les dangers inhérents aux vaccins à virus vivants.

Selon le docteur Gallo, co-découvreur du virus du sida, « l’usage des vaccins à virus vivants peut activer un virus endormi comme celui du sida », mais également d’autres virus ou bactéries à l’image du méningocoque, du pneumocoque... présents à l’état saprophyte dans la gorge d’un pourcentage non négligeable d’enfants et d’adultes.

C’est pourquoi le Pr Luc Montagnier avait déclaré dans Le Monde du 23 mai 1987 : « Peut-être devra-t-on rapidement organiser le dépistage des enfants (et des adultes) séropositifs, avant leur vaccination ».

Dans le même quotidien, le professeur Saliou, directeur scientifique de Pasteur Vaccins ajoutait : « Les problèmes soulevés pourraient effectivement conduire à une remise en question de certains vaccins comme le BCG, le vaccin contre la polio ou le vaccin contre la rougeole. »

De nombreux virologues et scientifiques ont vainement répétés les mises en garde sur les dangers de ces vaccins. C’est le cas du Dr J. Ledeberg, Prix Nobel de Médecine en 1958, qui, après avoir déjà reproché le manque d’études de l’impact des vaccins sur les organismes récepteurs, craignait des risques génétiques ; des Dr K. Pentittem (Université d’Helsinki), H. Ginsburg (Université de Columbia), R.A. Aldrich (Université du Colorado), et J. Salk pour lesquels les vaccins à virus vivants présentent plus de risques que l’absence de vaccin ; de Wendell et Winters, virologues de l’université du Texas, qui évoquent le rôle possible des virus vaccinaux dans la genèse du cancer, de l’arthrite et de la sclérose en plaques ; du Dr R. Bell, pour qui « il y a une corrélation directe entre les vaccinations et le taux croissant des cancers chez les enfants en dessous de 15 ans » ; du Dr M. Guinan du CDC pour qui « il est dangereux d’injecter des virus vivants » ; du Dr S.L. Katz, de l’université d’Harvard, du Dr J.G Stevens, microbiologiste et immunologiste de l’université de Californie, pour qui les vaccins à virus atténués peuvent se recombiner et provoquer des maladies, ce qui été prouvé expérimentalement.... (cf., R. Delong, Live viral vaccines, 1996).

D’autre part, M. Eihl, J. Mannhalter, G. Zlabinger de l’Université de Vienne ont découvert, qu’au lieu de renforcer nos défenses, les vaccins font apparaître un affaiblissement immunitaire comparable à celui observé au cours du sida et amoindrissent ainsi notre capital immunologique !

L’anatoxine tétanique a ainsi été injectée à 11 sujets en bonne santé, âgés de 25 à 50 ans, n’appartenant pas à un groupe à risque pour le sida. Entre 7 et 14 jours après la vaccination, les évaluations moyennes des rapports T4/T8 étaient significativement plus bas chez l’ensemble des sujets qu’avant la vaccination, avec pour certains des taux comparables à ceux observés en cas de sida (Cf. New England Journal of Medecine, vol 310, 1984).

 2) Des cas d’épidémies dans les populations vaccinées.

Après de nombreux cas d’épidémies de poliomyélites survenues, depuis de nombreuses années, lors de campagnes de vaccination contre cette maladie (cf., Darell Salk, université de Washington, pour qui la plupart des cas de polio qui se produisent actuellement sont provoqués par le vaccin à virus vivant, cité par R. Delong), Roland Sutter, directeur du service d’éradication de la polio au CDC d’Atlanta a récemment reconnu après la survenue de cas de polio au cours d’une campagne de vaccination aux Caraïbes : « Il est clair que la sonnette d’alarme a été tirée. Notre problème est de savoir si l’heure est grave ou non. » (Courrier international, n° 536 du 8 février 2001)curieusement ,ces propos inquiétants n’ont jamais été repris par les revues médicales françaises.

 3 ) Le phénomène de commutation

Nous savons que toute bactérie - et sans doute également tout virus - échange en se détruisant son matériel génétique avec les bactéries (et virus) voisines. Or, ainsi que le reconnaît le Dr Mohammed Kheir Taha, directeur adjoint du centre national de référence du méningocoque à l’Institut Pasteur, « Dans l’évolution des infections à méningocoques, il y a un aspect qui nous fait très peur, ce sont les changements dans les types de bactéries apparus à l’occasion des campagnes de vaccination massives.[...]. Ce qui change tout, c’est la sélection, par le vaccin, de nouveaux variants virulents et invasifs. » (Cf, UFC Que choisir, février 2003).

Ce phénomène n’est pas nouveau, il a déjà été observé en 1993 en au Canada, aux USA, en Tchéquie, en Belgique (à la suite de la campagne de vaccination contre les méningites à Haemophilus B, on a observé un doublement de la fréquence des méningites à Haemophilus A, C, D, E et F, ainsi que des méningites à méningocoques), ou encore en Grande-Bretagne (après la vaccination de 13 millions de jeunes en 1999-2000, une chute importante de la mortalité par méningite à méningo de type C tandis que la mortalité globale par méningites à méningocoque n’avait pas baissé selon le Conseil supérieur d’hygiène publique dans son avis du 8 mars 2002).

Ce phénomène ne concerne pas que les méningites et les seules bactéries. Il concerne également les virus ainsi qu’on a pu l’observer notamment avec le vaccin contre la polio ou encore avec le vaccin contre les coranovirus utilisé chez les volailles et les porcs en Asie du sud-ouest, point de départ des « pneumopathies atypiques » chez l’homme dont une forme mutante de coranovirus serait l’un des agents responsables !

 4 ) La contamination d’un vaccin contre la polio par un rétrovirus cancérigène et infectieux
 Entre 1954 et 1963, des millions de doses du vaccin Salk contre la polio avaient été contaminées par un rétrovirus simien, le SV 40.

Dans le cadre d’un débat public sur les OGM, Mr Tibon-Cornillot, conseiller technique de l’ancien ministre de la santé (Bernard Kouchner), avait reconnu que ce virus infectieux avait été transmis par voie sexuelle ou sanguine à plus de 600 millions de personnes (Cf, Science-Actualités, mai 1998). Après avoir rappelé « simplement que le SV40 est cancérigène chez la souris », ce conseiller scientifique osa déclarer que : « Il semble qu’il ne l’est pas chez l’homme mais on n’a jamais eu de travaux sérieux sur le suivi du SV40 chez les hominiens. »

Ignore-t-il réellement que ce rétro-virus est retrouvé dans 35 à 85% des cancers du cerveau - dont la fréquence a plus que doublé en vingt ans jusqu’à 60% dans les mésothéliomes dont la fréquence a été multipliée par 10 depuis trente ans, tuant 2 000 personnes chaque année en France et plus de 1 000 en Grande-Bretagne 35% des cancers des os chez les personnes ayant reçu ce vaccin dans les années 1950 ou dans leur descendance ? C’est du moins ce qu’affirment dans des revues spécialisées des chercheurs sérieux comme Geissler : “ SV40 and human brain tumors Progress ” in Medical Virology, t. 37, p. 211-222, 1990 ; M. Carbone, et al., “ Simian virus 40 like DNA sequences in human pleural mesothelioma ” in Oncogene, T. 9, p. 1781-1790, 1994 ; Carbone et al., SV 40-like sequences in human bone tumors, in Oncogene, t.13, p. 527-535 ; 1996. En outre, le Rapport technique 747 de l’OMS évoque le risque de malignité que pourrait présenter à long terme un ADN contaminant hétérogène par le biais des vaccinations.

 5 ) Des complications post-vaccinales

Des atteintes du système nerveux central, des maladies auto-immunes, des décès ont été rapportés dans la littérature médicale officielle après les vaccins polio Salk et Sabin (cf., Dr Pilette, Nous te protègerons, 1997, faisant état de plus de 120 publications scientifiques).

Aux USA, le très institutionnel VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) dépendant de la F.D.A, a rapporté chez les enfants de moins de six ans pour la seule période 1999-2002 : 16 544 effets secondaires, 631 hospitalisations et 349 décès pour le DTP ; 13 363 effets secondaires, 1 840 hospitalisations et 642 décès pour le vaccin hépatite B ; 22 463 effets secondaires, 3 224 hospitalisations et 843 décès pour le vaccin Haemophilus B ; 18 680 effets secondaires, 1 736 hospitalisations et 110 décès pour le ROR ; 419 effets secondaires, 41 hospitalisations et 11 décès pour le vaccin contre la grippe.

Lorsque le directeur de la FDA reconnaît lui-même qu’un à 10% des effets secondaires sont recensés, on peut imaginer raisonnablement qu’aux USA, ces vaccins ont été en réalité responsables de 5 000 à 50 000 décès par an. (cf., N.Z. Miller, Immunization, page 35, 1996 ; Dayton Daily News, May 28, 1993, p. 15A ; 20-20 Newcast, jan.26, 1990).

A moins de considérer que les vaccins gagneraient en virulence en traversant l’Atlantique, on peut tout autant avancer 1 250 à 12 500 décès chaque année en France, ce que l’on ne peut malheureusement pas confirmer pour la simple raison qu’il n’y a pas d’équivalent du VAERS dans notre pays protégé il est vrai remarquablement par ses frontières et la célèbre ligne Maginot (Tchernobyl est déjà oublié !)....

Il ressort de ces chiffres catastrophiques que tout acte de vaccination systématique et aveugle nuit gravement à la santé et que le rapport BÉNÉFICES/RISQUES des vaccins - qui n’a jamais été évalué de manière scientifique et rigoureuse - ne profite qu’aux « appétits meurtriers des fabricants de vaccin » ainsi que le soulignait déjà en 1955 sa Sainteté Pie XII.

Les conseillers techniques des ministères, de même que les experts de l’Afssaps, n’ignorent pas ces faits scientifiques et ces décisions juridiques : ils savent et sont parfaitement renseignés (1). Ainsi, lorsque l’OMS a informé l’ensemble des pays de l’abandon du BCG, jugé inefficace et dangereux, au profit d’une stratégie basée sur le suivi des patients (programme DOTS), la France a été le seul pays à ne pas y souscrire ; en réponse aux interrogations d’une association, Mr Jean Le Garrec, à l’époque président de la commission des affaires sociales a cru bon reconnaître que ce silence « était dommageable d’autant que le problème était urgent et grave ».

Car nos décideurs préfèrent comme lors de l’affaire du sang contaminé, masquer et minimiser la réalité médicale et scientifique. Est-il nécessaire de rappeler que lors du procès du sang contaminé, Louis Schweitzer, l’ancien directeur de cabinet de Laurent Fabius devenu ensuite Pdg de Renault, avait reconnu que « tous les quotidiens nationaux et internationaux arrivaient à Matignon, mais personne n’avait le temps de les lire » ?

En attendant que la législation française se mette en conformité avec le devoir d’information et le respect du consentement mutuel par la levée de l’obligation vaccinale, comme elle vient de le faire pour la procréation médicale assistée ainsi que pour les sapeurs-pompiers, serions-nous condamnés à prôner d’ici-là la désobéissance civile, « forme suprême de responsabilité qui appelle à davantage de responsabilité » ainsi que le soulignait André Glücksmann dans la Fêlure du monde ?

Dr Marc VERCOUTERE

P.S : En annexe, analyse du récent arrêt de la Cour de cassation annulant deux décisions de la Cour d’appel de Versailles, laquelle vient en septembre 2003 de condamner à nouveau le vaccin hépatite B, tandis qu’en avril 2003 la chambre civile de la Cour de cassation retenait la notion d’accident de travail pour une sclérose en plaques survenue plusieurs années après un vaccin hépatite B imposé.

(1) A l’évocation devant l’Assemblée nationale en juin 1998 d’une étude de l’INSERM et du Haut Comité de santé publique sur les taux de décès comparatifs par âge et par sexe, au Royaume-Uni, en Suède et en Italie, par rapport à la France, Laurent Dominati, député de Paris à l’époque, puis Jacques Barrot, ancien ministre de la santé et actuel président de l’UMP à la dite assemblée, ont fourni la même réponse : - « Oui je connais, oui c’est la faillite de notre politique de santé publique » ; l’ancien ministre ajoutant même « Si je comprends bien, vous ne devez pas être partisan de la politique vaccinale ! »

(2) Diabète et vaccins : A la suite d’une campagne de vaccination massive anti-Hépatite B réalisée en Nouvelle-Zélande de 1988 à 1991, au cours de laquelle 70 % de jeunes de moins de 16 ans ont été vaccinés, l’incidence du diabète est passée de 11,2 cas pour 100 000 enfants avant le programme de vaccination en 1982 à 18,2 cas pour 100 000 enfants après la campagne de vaccination. (cf., Pr. Barthelow Classen, New Zealand Medical Journal, 24 mai 1996).

En Italie, où on a comparé l’état de santé de 400 000 enfants de 12 ans vaccinés contre l’HB, à un nombre égal d’enfants non vaccinés, l’incidence du diabète de type 1 était presque trois fois plus élevée chez les vaccinés.

(3) Asthme et vaccins : Selon une étude publiée dans le magazine Science reprise par l’AFP du 3 janvier 1997, la nette augmentation des cas d’asthme dans les pays développés pourrait être due au développement des vaccinations contre d’autres maladies, notamment respiratoires. Soulignant que les cas d’asthme aux Etats-Unis ont doublé en 20 ans, ce rapport établit un lien entre l’augmentation des allergies provoquant l’asthme, le rhume des foins ou l’eczéma, et la protection des enfants contre la tuberculose, la coqueluche ou la rougeole. Le principal auteur de l’étude, le Pr T. Shirakawa, du Churchill Hospital d’Oxford (Grande-Bretagne), estime que la vaccination des enfants contre ces maladies les empêche de développer un système immunitaire qui les protégeait autrefois de l’asthme. Dans les Highlands d’Ecosse, sur 446 enfants nourris au sein jusqu’à 6 mois, 243 avaient été vaccinés contre la coqueluche. Les 203 enfants non vaccinés ont présenté 5 fois moins d’asthme et 2 fois moins d’otites que les autres, alors que les Highlands ont le taux d’asthme le plus élevé du Royaume-Uni avec un taux de pollution le plus bas (cf., Dr M. Odent, M & al., Jama, 1994).

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