Je suis outrée et très en colère contre les psychiatres pour avoir osé enfermer un petit gamin en psychiatrie.
Dans cet article ils expliquent que depuis l’âge de cinq ans il est considéré comme dépressif puis hyperactif tiens tiens ! Qu’est-ce que les psychiatres lui ont donné comme médicaments pour le réduire à piquer sa crise?
C’est un scandale de voir cela et de ne rien faire pour que les choses changent. Heureusement il y a des journaux comme « la Provence » pour dénoncer ce genre de fait !
A quand une enquête approfondie sur la psychiatrie et ses « grands prêtres » pour mettre de l’ordre et pour que la LOI soit enfin respectée ?
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Un enfant interné avec des adultes
Par Europe1.fr avec AFP
A 9 ans, il a été interné plus de 3 jours dans une unité psychiatrique pour adultes à Marseille.
L’affaire suscite déjà une vive émotion, dans la communauté hospitalière et en-dehors. Un enfant de 9 ans a été interné plus de trois jours cette semaine à Marseille, dans une unité psychiatrique pour adultes, rapporte La Provence vendredi.
Diagnostiqué dépressif à 5 ans
Le petit garçon a été emmené en début de semaine aux urgences pédiatriques, a indiqué le secrétaire général de l’AP-HM Christian Rossi. Diagnostiqué dépressif à 5 ans, puis hyperactif, l’enfant peut se montrer violent et a déjà fait plusieurs fugues.
Très agité, il était sanglé sur un brancard : il a fallu alors trouver « une solution en urgence » pour le prendre en charge. Il a donc été envoyé vers le pôle psychiatrique adulte de la Conception, où il a été placé en cellule. Cause invoquée, le petit aurait » eu besoin d’un adulte en permanence ».
« Des conditions quasi-indignes »
« Cet enfant ne relève pas d’un enfermement psychiatrique. Son sort pathétique a ému tout le monde. C’était des conditions quasi indignes, quelque chose de pas normal, mais nous n’avions pas d’autre solution », a déclaré Christian Rossi, disant qu’il n’y avait « aucune structure adaptée dans la région ». À Marseille, il n’existe en effet aucune structure pour l’hospitalisation psychiatrique des moins de 12 ans.
Une solution a été trouvée vendredi : une association suivra le petit garçon dans un établissement privé, avec cinq personnes à temps plein financées par l’Assistance publique. Une solution mise en place à la suite d’une réunion convoquée par l’AP-HM.