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28 octobre 2011 5 28 /10 /octobre /2011 13:42
Des troubles mentaux sont diagnostiqués chez des enfants à l'aide de tests informatisés. La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme dénonce cette pratique visant à étiqueter et à droguer les enfants.
Une manifestation aura lieu le samedi 29 octobre à Paris pour alerter les citoyens sur les risques des dépistages psychiatriques.



Dépistage de troubles psychiatriques chez les enfants

Aujourd'hui nous parlons de plus en plus de dépister les troubles mentaux chez les enfants afin de prédire des comportements à risques.

Une nouvelle mode s'est installée dans plusieurs pays du monde, y compris en France : étiqueter les comportements des enfants.
Des tests sont effectués sous différentes formes. Dès qu'ils ont appris à lire et à écrire, les élèves peuvent être soumis à des questionnaires. Des questions variées peuvent être posées, concernant leurs expériences ou leur opinion sur la vie.

Ce serait absurde de s'attendre à des réponses certaines et concluantes de la part d'un enfant. Comment serait-il possible de prédire leurs comportements ?
Aucun examen médical n'est même proposé.

Pourtant à l'issu de ces tests, des diagnostics psychiatriques sont établis, et des traitements sont prescrits.

Des médicaments comme la Ritaline ou le Zoloft peuvent être prescrits à des enfants dès l'âge de 6 ans. Et pourtant ces drogues peuvent entraîner de l'agressivité, de l'anxiété, des psychoses, des hallucinations ou le suicide.

Ce système de dépistage, certes lucratif pour l'industrie du médicament, représente un réel danger.
Ces tests ne sont pas fiables, et leurs résultats peuvent détruire l'avenir de l'enfant. Des milliers de jeunes peuvent être faussement étiquetés et soumis à des traitements dangereux à vie.

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27 octobre 2011 4 27 /10 /octobre /2011 19:10

 

Depuis peu, la France a légalisé les paris hippiques et sportifs, ainsi que le poker, sur Internet. Quelques semaines après, les « spécialistes » de l'addiction s’inquiètent car le nombre de joueurs pathologiques en France est évalué à 600 000 personnes.



Claude Olievenstein, qui avait fondé le centre médical Marmottan à Paris, était très réservé sur la question de l’addiction sans drogue.

Mais selon son successeur, le psychiatre Marc Valleur, comme pour d’autres psychiatres addictologues, les jeux en ligne vont créer de vraies pathologies.

Toujours d’après les « spécialistes », on sait que l’on est devenu «accro» quand on se dit «c'est plus fort que moi», et alors il faudrait consulter. Le traitement consisterait à découvrir les troubles psychiques sous-jacents (dépression, addiction à l'alcool ou au tabac) pour les traiter, notamment, par une psychothérapie comportementale.

Et c’est là que ça devient inquiétant : en effet, le traitement des troubles psychiques par les psychiatres étant un échec reconnu depuis longtemps, on sait très bien que, lorsque la psychothérapie comportementale aura échoué, le patient se verra prescrire des psychotropes pour « l’aider » à combattre son addiction. Or c’est aussi un fait reconnu depuis longtemps que ces « médicaments » vont au contraire diminuer la volonté du patient, et donc l’enfoncer davantage : peut-être qu’effectivement il ne sera plus « accro » aux paris sur Internet, mais c’est parce qu’il n’aura plus d’intérêt à quoi que ce soit…

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27 octobre 2011 4 27 /10 /octobre /2011 17:46



Dans un autre rapport mis à jour en avril 2003, le GTNDO souligne la carence des professionnels de la santé mentale dans la détection des adultes hantés par les idées suicidaires qui viennent les consulter. Les individus qui se font hospitaliser en psychiatrie ne sont pas mieux lotis : "L’hospitalisation en psychiatrie, précise le document, est aussi une période à risque élevé ainsi que les 4 semaines qui la suivent. Environ 5% des suicides ont lieu à l’hôpital. Dans les 4 semaines qui suivent une hospitalisation en psychiatrie, le risque relatif est multiplié par 100 pour les femmes et par 200 pour les hommes. Ces décès représentent 10 à 15 % de l’ensemble des suicides."
Il est surprenant de constater, à la lecture de tels rapports, qu’en dépit de prescriptions massives de psychotropes, les spécialistes de la dépression et des troubles mentaux sont impuissants à enrayer le fléau du suicide, alors qu'il s'agit de l'une de leurs missions essentielles. On nous dira qu’il est généralement trop tard pour sauver ces malheureux quand ils viennent consulter ou se faire hospitaliser. Sans doute, mais les antidépresseurs et les anxiolytiques qu’on leur prescrit avant qu’ils ne se suppriment n’étaient-ils pas justement destinés à les aider à surmonter leur souffrance psychique et à éviter qu’ils n’en arrivent à cette extrémité ? Au contraire, il apparaît, comme nous l’avons vu plus haut dans les conclusions d’une étude de l’UNPS, que le nombre d’actes suicidaires se trouve augmenté par l’usage de la pharmacopée psychiatrique.

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25 octobre 2011 2 25 /10 /octobre /2011 15:35


Argent, mensonges et psychiatrie : quand la psychiatrie et les laboratoires s’entendent à nos dépens…
La grippe H1N1 un scandale ? A peine une peccadille, une broutille par rapport
au gigantesque système mis en place par l’industrie pharmaceutique et
la psychiatrie pour extorquer des milliards d’euros chaque année aux gouvernements
et aux assurances sociales. Un système bien rôdé qui sévit depuis
des dizaines d’années mais dont on commence seulement à prendre
conscience. Quel est ce système qui permet à l’industrie psychiatrique mondiale
d’engranger 330 milliards de dollars chaque année ?
Pour Philippe Even, ancien doyen de la faculté de médecine de l’hôpital Necker,
les choses sont claires. Tout d’abord, avant de promouvoir un médicament,
il faut le mettre sur le marché, et donc obtenir les autorisations des agences du médicament, comme l’AFSSAPS en
France. Les experts qui travaillent pour les laboratoires et les experts qui doivent décider si un produit pourra être mis en vente sont souvent les mêmes. Aux Etats-Unis, au sein de l’organisme en charge de l’autorisation de mise sur le marché des médicaments, la Food and Drug Administration (FDA), la totalité des experts d’un comité d’évaluationdes neuroleptiques, une catégorie de drogues psychiatriques puissantes, était liée à l’industrie pharmaceutique.
Est-ce différent en France ? Le professeur Even n’hésite pas à mettre en cause directement les experts de l’AFSSAPS,
l’équivalent français de la FDA. 70% des experts reconnaissent explicitement ouimplicitement des liens avec l’industrie pharmaceutique. 5% possèdent des actions dans ces entreprises. Comment dès lors s’étonner que des produits qu se révèlent nocifs à l’usage passent facilement les tests d’approbation. En plus
de la corruption des experts, les résultats des études réalisées par les laboratoires
avec des psychiatres afin d’évaluer la dangerosité des médicaments sont souvent
faussés. Plusieurs stratégies permettent de fausser les études d’évaluation des psychotropes.
Une de ces stratégies consiste à tester les médicaments uniquement
sur des hommes d’âge moyen en pleine forme physique. Cette catégorie étant
peu sensible aux effets secondaires, les résultats apparaissent positifs alors que les
mêmes médicaments une fois prescrits vont avoir des effets négatifs importants
sur des enfants, des personnes âgées ou des personnes physiquement affaiblies.
Une autre stratégie consiste à occulter des résultats les cas d’effets secondaires
observés sur des personnes n’ayant pas terminé l’étude. Ainsi, un ancien employé
d’un grand laboratoire affirme que lors d’une étude sur un antidépresseur, près
de 30% des personnes testées avaient cessé de prendre leur pilule à cause des
effets secondaires ressentis. Dans les conclusions, les effets secondaires officiellement
rapportés ne tenaient pas compte des personnes ayant abandonné, ce qui
faussait complètement le résultat. Enfin, il existe un moyen couramment utilisé
pour tromper les agences de médicaments. Cette méthode consiste simplement
à occulter complètement les études négatives. Le laboratoire américain Ely Lilly
a par exemple caché des études montrant la dangerosité de son antidépresseur
vedette, le Prozac. Le psychiatre David Healy, directeur du département de médecine
et de psychologie à l’université de Galles du Nord, a montré que la firme était
au courant des risques suicidaires avant que le Prozac ne soit mis sur le marché
(1987 aux USA et 1989 en France). En 2002, David Healy affirmait que 25 000
personnes s’étaient suicidées à cause du Prozac. Combien d’autres ont-elles commis
l’irréparable depuis, sans compter les nombreux crimes imputés aux effets de
ces molécules ?
Ainsi se dessine l’anatomie du pacte du diable entre les psychiatres et les laboratoires
pharmaceutiques : mensonge et corruption, du développement à la commercialisation
de produits dangereux. Résultat, 76 000 morts attribuées aux effets
secondaires des psychotropes depuis 10 ans, d’après une étude statistique de la
Commission des citoyens pour les droits de l’homme réalisée à partir du pourcentage
de décès connus par rapport à la totalité des prescriptions effectuées.
Il existe un autre aspect dans ce pacte du diable, un aspect encore bien plus dangereux
et inquiétant pour l’avenir de notre société : cet aspect se résume par une
formule bien connue : pour vendre un médicament, il faut vendre une maladie. La psychiatrie et l’industrie
pharmaceutique ont compris que si chaque comportement pouvait être redéfini comme maladie mentale, il serait alors possible de vendre des quantités considérables de psychotropes censés modifier les comportements.
C’est ainsi que l’on a vu se multiplier le nombre de « troubles mentaux ». Ces derniers sont répertoriés
depuis 1952 dans le DSM, le
Diagnostic Statistical Manual, un ouvrage publié par l’Association Américaine de Psychiatrie, véritablebible mondiale de la psychiatrie.
En 1952, la première version du DSM recensait 112 troubles. En 1968, une nouvelle édition comptait 182 troubles. Aujourd’hui, nous en sommes à la quatrième édition et à 374 troubles mentaux recensés.
Ainsi, par exemple, la timidité est devenue le trouble d’anxiété sociale (SAD) et il existe bien sûr un antidépresseur supposé le traiter.
Ce n’est qu’un début. En 2012 va sortir la cinquième édition du DSM. De nouveaux troubles devraient y faire leur apparition. Ainsi, le trouble de l’acheteur compulsif, le syndrome d’aliénation parentale, le trouble explosif intermittent (colère), le trouble d’alimentation excessive et le trouble relationnel devraient tous faire partie des maladies mentales à traiter. Les laboratoires pharmaceutiques et les psychiatres s’associent pour promouvoir ces nouvelles « maladies » et proposer un « traitement » psychotrope lucratif. Un psychiatre américain a touché 1,6 million de dollars de la part d’un grand laboratoire pour avoir promu le diagnostic de trouble bipolaire. Considéré comme très rare dans le DSM 3, avec 1 personne touchée sur 1000, il est bizarrement devenu très courant avec désormais 1 personne sur 10 qui en souffrirait. On peut être amené à penser qu’il y a une épidémie de maladie mentale. Il y a en fait une épidémie de psychiatrie. Les maladies sont inventées, promues, les médicaments sont testés et mis sur le marché dans la corruption et la dissimulation, d’autres psychiatres assurent la promotion de la maladie et de son traitement. Tel est le pacte du diable au complet qui se traduit par des milliers de morts chaque année pour les plus grands profits des laboratoires et des psychiatres. Un système diabolique qu’il va bien falloir un jour démanteler
si l’on ne veut pas que la vie elle-même devienne un trouble mental et que nous
nous retrouvions tous sous camisole chimique. Un cauchemar qui pourrait vite
devenir une réalité.

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24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 21:01



Les personnes souffrant de troubles émotionnels devraient subir un examen médical approfondi pour éliminer la possibilité d’une condition médicale sous-jacente non traitée. Des études médicales approfondies montrent que des maladies physiques peuvent se manifester sous forme de symptômes « psychiatriques » et on devrait alors les soigner avec un traitement médical, pas un traitement psychiatrique.
CCDH a travaillé avec des médecins sur un programme pilote en Californie dans les années 1980 qui a montré qu’au moins 40% des personnes admises dans des établissements psychiatriques ont une condition médicale diagnosticable que les psychiatres n'ont pas vue.
En se basant là-dessus, le Département du Domaine de l’Évaluation Médicale de la Santé Mentale de Californie indique que les praticiens de santé mentale ont l’obligation professionnelle et légale de reconnaître que des maladies physiques peuvent provoquer ou aggraver la condition mentale d'un patient. On doit d'abord les écarter. Par exemple:
A la mauvaise nutrition, aux maladies cardiaques, aux troubles oculaires ou auriculaires, aux déficiences en zinc ou autres, à l’anomalie thyroïdienne, au déficit immunitaire, etc. sont associés des symptômes comportementaux que l’on pourrait à tort qualifier de « trouble mental ».
Il est bien connu que l'exposition au plomb peut se manifester avec les mêmes symptômes que le TDAH.
L’épuisement des glandes surrénales, la maladie de Lyme (une infection bactérienne grave qui attaque le système nerveux, suite à une morsure de tique) peuvent provoquer une dépression ou des états psychotiques.
Certains médicaments peuvent même induire des comportements suicidaires, tels les antidépresseurs.
En outre, si un enfant est très intelligent ou créatif et s’ennuie avec le programme scolaire, on peut également l’étiqueter du TDAH. Certains enfants ont besoin d'un programme plus difficile, de sorties artistiques ou de sport.
En règle générale, une bonne nutrition, un environnement sain, et du travail pour remonter le moral peuvent aider les gens.
Ce dont les individus perturbés n'ont pas besoin c’est que l’on blesse ou que l’on viole leurs droits humains, c'est-à-dire qu’on les force à se soumettre à des méthodes psychiatriques qui nuisent sous le prétexte d’aider.

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24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 21:00



La responsabilité première d'un médecin est « tout d'abord de ne pas nuire. » Pour le consommateur, la première solution est une meilleure information. Prenez conscience que vous ne souffrez pas de déséquilibre chimique dans le cerveau.
Quand quelqu'un vous prescrit un antidépresseur, par exemple, assurez-vous que vous en connaissez tous les dangers et les risques. Avant de prendre une décision, trouvez un médecin compétent qui peut faire un examen médical complet pour éliminer les conditions médicalement légitimes, celles-ci pouvant être à l'origine de problèmes affectifs ou comportementaux indésirables. De cette façon, on peut traiter médicalement toute condition physique, sans s’exposer aux risques d’un médicament psychotrope.

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24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 20:57



Le dépistage des troubles mentaux représente une atteinte grave à la famille et aux droits individuels des élèves, des femmes enceintes, et autres; il consiste à poser des questions subjectives avec lesquelles on pourrait qualifier n'importe qui de «malade mental » et lui recommander des médicaments psychotropes.
Aux États-Unis, le « dépistage de la dépression » a eu une influence sur les centaines de millions de prescriptions d’antidépresseurs. Environ 10% de la population américaine, dont 1,5 millions d'enfants, sont sous antidépresseurs.
Un programme de dépistage de la dépression, appelée TeenScreen (dépistage des adolescents), est tellement subjectif et arbitraire que son auteur, le psychiatre David Shaffer de l'université de Columbia, admet qu’il y a 84% de possibilités de nommer quelqu'un déprimé à tort. Depuis quand un taux d'échec de 84% correspond à un test scientifique fiable ?
L'utilisation du dépistage des troubles mentaux et de programmes psychologiques dans les écoles mettent les élèves dans un environnement psychologiquement contrôlé, où on peut utiliser la contrainte pour les amener à croire certaines choses, notamment qu'ils souffrent d'un trouble mental nécessitant une « aide » psychiatrique. Cette « aide » étant généralement la prescription de médicaments pouvant provoquer l'hostilité, le suicide, des hallucinations, du diabète, et des irrégularités cardiaques.

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24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 20:56



Il n'existe aucun test organique ou médical capable de diagnostiquer le Trouble de l'Hyperactivité avec déficit de l'attention (TDAH) ni aucun « trouble mental. » Tout scientifique vous le dira. La conférence de l’Institut national américain sur le TDAH à la fin des années 90 fit même la conclusion : «  ... les chercheurs ont vigoureusement tenté de trouver la preuve que le TDAH est causé par un déséquilibre chimique, mais ils ne sont arrivés à rien. "
On peut révéler l'existence de vraies maladies lors de l'autopsie ou par des tests médicaux. Les troubles psychiatriques sont une liste de symptômes comportementaux. Ils ont été votés par les psychiatres et ont été intitulés «maladies» de façon à pouvoir facturer la Sécurité Sociale et les mutuelles.
Les symptômes du TDAH sont des comportements normaux de l’enfance, par exemple : montrer de l'impatience, se tortiller sur son siège, perdre des crayons et des jouets, ne pas faire attention et interrompre les conversations des autres. Ce n'est pas une maladie neurobiologique ; c'est un terme de marketing inventé pour qu’il semble médicalement légitime de droguer des millions d'enfants.

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24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 20:55



Qu'est-ce que vous entendez par « aide » rendre plus calme et conciliant ? Les médicaments psychiatriques ne sont pas une solution aux problèmes de l'enfant, pas plus que les drogues. Certains des médicaments prescrits aux enfants, tels que la Ritaline, sont plus puissants que la cocaïne, comme l'indique l’administration fédérale américaine de lutte contre les stupéfiants (DEA). D'autres, comme les antidépresseurs, provoquent précisément les symptômes qu'ils sont censés soulager : la dépression et le suicide.
Ces médicaments masquent le vrai problème, ils ne guérissent rien. Une personne pense que c’est utile de prendre de la cocaïne ou l'héroïne, car cela change temporairement les pensées ou les sentiments. Mais à long terme, solutionner le problème avec des médicaments ne fonctionne pas et c’est nocif.
Si un enfant a des difficultés en classe, c’est peut-être parce qu’il est créatif ou très intelligent ou simplement qu’il s’ennuie. Les toxines et allergies dues à l'environnement peuvent également affecter l'enfant. Une grande majorité des parents préfèreraient une solution différente qui fonctionne plutôt que de droguer leurs enfants. Les parents doivent avoir le droit de choisir, mais ils doivent aussi disposer de toutes les informations sur les risques des médicaments psychiatriques. Aucun trouble psychiatrique de l'enfance ne peut être médicalement prouvé. C'est à peu près aussi logique et aussi dangereux que la distribution de cocaïne dans une salle de classe pour améliorer la compétence à écrire des enfants.

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24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 20:54



Les psychiatres utilisent le marketing, pas la science, pour convaincre les consommateurs, les parents et même les médecins généralistes et les pédiatres, que la «maladie mentale» est tout aussi réelle que le diabète et les cardiopathies. Cela permet également aux psychiatres d'obtenir des milliards d'euros des gouvernements et des assurances-maladies.
Cependant pour le diabète, un test concluant montre le déséquilibre biochimique, le haut niveau de glycémie dans le sang. Le traitement pour les cas graves est l’injection d'insuline rétablissant l'équilibre en sucre. L'efficacité est probante au vu de l'amélioration de l'état de santé du diabétique, avec un taux de glycémie revenu à la normale. Rien de similaire n’existe pour la dépression ni pour aucun autre trouble psychiatrique.
Le déficit de l'attention avec hyperactivité (TDAH) n'est pas similaire au diabète, et la Ritaline n'est pas similaire à l'insuline. La Ritaline est une amphétamine qui a été créé chimiquement et n'est pas nécessaire pour vivre. Le diabète est une carence en insuline. L’attention et les problèmes de comportement ne sont pas une carence en Ritaline.

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