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23 novembre 2011 3 23 /11 /novembre /2011 13:08

 

meteorites.jpegDes enfants étiquetés comme « débiles mentaux » et utilisés comme cobayes pour des expérimentations psychiatriques.

Dans les années ’40, ’50 et ’60 plusieurs dizaines de milliers de jeunes enfants Québécois, certains estiment qu’il y en aurait eu jusqu’à 100’000, furent placés dans des orphelinats avec la promesse qu’ils seraient bien traités et qu’ils recevraient une bonne éducation. Suite à diverses pressions de l’industrie de la santé mentale canadienne et québécoise, ces enfants tombèrent ensuite sous la coupe de psychiatres qui les déclarèrent « débiles mentaux » et leur imposèrent des conditions de vie carrément inhumaines.

Il a été rapporté que jusqu’à 50’000 d’entre eux, tous des enfants normaux et innocents, seraient morts ou auraient disparu dans des hôpitaux psychiatriques du Québec. Des dizaines de milliers de ces jeunes enfants furent maltraités et torturés et un pourcentage important d’entre eux devinrent des cobayes pour des expérimentations psychiatriques au moyen de drogues expérimentales, d’électrochocs et de lobotomies.

Selon Mme Christine Hahn, une journaliste d’investigation canadienne dont les recherches et les reportages sur le drame des Orphelins de Duplessis ont été publiés dans le Magazine Freedom, «…au cours des sept dernières années, j’ai pu découvrir une quantité scandaleuse d’actes criminels faits à ce groupe [les orphelins] et les révélations continuent. En plus des actes d’abus physiques bien documentés, j’ai été capable de documenter que ces enfants innocents furent utilisés au cours d’expériences illégales faites avec de la chlorpromazine, un médicament mieux connu sous le nom de Largactil.» Mme Hahn trouve révoltant et inacceptable qu’aucun des psychiatres ayant « traité » ces orphelins n’ait jamais été blâmé, accusé ou discipliné par le Collège des médecins ou par les Associations canadienne ou québécoise de psychiatrie.

La conférence de presse tenue à la Librairie Atwater de Montréal, lundi le 5 février, a permis de comprendre davantage l’ampleur des crimes commis contre ces dizaines de milliers d’Orphelins. Pour ceux-ci, il s’agit de rien de moins que du crime du siècle commis en Amérique du Nord. Et ils veulent obtenir des réponses à des questions pressantes. Par exemple, ils veulent savoir comment il a pu être possible qu’une telle quantité d’enfants normaux et innocents aient pu tout à coup être plus maltraités que des animaux ? Combien d’enfants sont morts ou ont souffert des dommages irréparables dans chaque institution psychiatrique ? Quels « traitements » tels que l’utilisation de drogues débilitantes, d’électrochocs et de lobotomies ont été utilisés contre ces enfants, sur combien et par qui ? Quelles expérimentations ont été menées, par qui et qui exactement les finançait ? Qui était au courant de ces crimes et de ces violations des droits humains et qui a cherché à dissimuler l’affaire ou qui n’a rien fait ? Qui en a tiré profit ?

Selon M. Rod Vienneau de la Commission pour les victimes des crimes contre l’humanité, « Les orphelins demandent depuis 1992 que ces étiquettes de troubles mentaux soient effacés de leurs dossiers médicaux. Ils réclament également qu’une enquête publique indépendante soit mise sur pied avec le mandat de faire toute la lumière sur cette affaire et que des poursuites soient intentées contre les responsables. »

L’histoire se répète

La sombre histoire des Orphelins de Duplessis n’est pas sans rappeler toute la controverse actuelle qui entoure les diagnostics et les médicaments psychiatriques. Alors que la majorité des médecins, des médias et de la population ont jusqu’à récemment toujours fait confiance AVEUGLÉMENT aux affirmations de la psychiatrie et à ses médicaments psychiatriques, les 24 derniers mois ont vu un nombre sans précédent de mises en garde sérieuses contre les drogues psychiatriques s’abattre sur l’industrie pharmaco-psychiatrique.

Non seulement ces médicaments ne seraient pas plus efficaces qu’un simple placebo (petite pilule de farine) mais ils auraient énormément d’effets secondaires volontairement cachés ou minimisés par les compagnies pharmaceutiques et leurs représentants. Les psychiatres et les compagnies pharmaceutiques sont maintenant accusés de coucher dans le même lit, d’inventer des troubles mentaux et de médicaliser tous les aspects normaux de la vie dans un but de profit et au détriment de la santé physique et mentale de millions d’adultes et d’enfants.

Selon M. Denis Côté,  « l’horrible histoire des Orphelins de Duplessis se répète présentement au Québec dans ses nouveaux orphelinats, les foyers d’accueil t les Centres jeunesse. Selon des statistiques récentes, plus de 40% des enfants qui y sont hébergés seraient sur plus d’un médicament psychiatrique en même temps. Lorsque le premier psychotrope produit ses effets secondaires connus comme des hallucinations, de l’hostilité, des pensées suicidaires ou des problèmes cardiaques, le psychiatre va traîtreusement utiliser ces effets secondaires pour apposer sur l’enfant d’autres étiquettes de troubles mentaux et il va hausser la dose ou encore ajouter un deuxième, puis un troisième, puis un quatrième psychotrope, chacun ayant ses propres effets secondaires importants. Ces enfants coupés de leur famille sont transformés en zombies sans que personne de l’extérieur ne s’en rende compte. Ils ne sont pas aidés, ils sont trahis. »

Le Magazine Freedom, Mme Hahn et la Commission des citoyens pour les droits de l’homme invitent toute personne ayant connaissance de crimes ou de violations de droits humains à communiquer avec eux. Leur travail d’investigation va se continuer jusqu’à ce que toute la lumière ait été faite.

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22 novembre 2011 2 22 /11 /novembre /2011 19:57
le 22/11/2011
INFO LE FIGARO - L'agence du médicament a annoncé à ses employés la promotion d'une experte du Mediator, issue des laboratoires Servier. Un choix très critiqué en interne.

Les promesses n'engagent que ceux qui y croient. Après le Mediator, il fallait absolument nettoyer les écuries d'Augias et éviter, disait-on, la reproduction d'un nouveau scandale sanitaire. Il était urgent de réformer l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), qui avait été créée en 1993 après l'affaire du sang contaminé pour éviter la survenue de nouveaux événements du même genre.

Or, selon nos informations, l'une des médecins de l'Afssaps qui a été chargée, entre autres, de l'évaluation du Mediator depuis 1998 jusqu'à son retrait du marché en 2009 vient d'être promue. Catherine Rey-Quinio est désormais directrice produit en oncologie, hématologie, immunologie et néphrologie. Cette nomination fait grincer des dents et jaser dans les couloirs de l'Afssaps car tous ont en mémoire la façon dont Catherine Rey-Quinio a surveillé les bénéfices du Mediator pendant des années.

Catherine Rey-Quinio a travaillé chez Servier avant de rejoindre l'Afssaps

Mais tous ne savent pas qu'avant de rejoindre l'Afssaps à la fin des années 90, elle a travaillé chez les laboratoires Servier où elle a occupé le poste de médecin produit en charge de l'Isomeride. C'est ce qu'elle avait confié au printemps dernier au docteur Irène Frachon en quittant le plateau télé de Public Sénat. L'Isoméride, retiré du marché en 1997 est en réalité le cousin germain du Mediator en raison de sa proximité chimique. Les deux médicaments se transforment dans l'organisme en norfenfluramine, substance toxique pour les vaves du coeur. Autrement dit, quand Catherine Rey-Quinio a pris en charge pour l'Afssaps le dossier du Mediator, elle connaissait parfaitement la molécule de Servier. Dans le mail adressé aux salariés de l'agence par son directeur et que Le Figaro s'est procuré, les quelques lignes qui reviennent sur son parcours professionnel évoquent pudiquement «plusieurs postes de chef projet dans différentes sociétés de l'industrie pharmaceutique». Sans plus.

Et pourtant, Dominique Maraninchi avait voulu faire bien les choses. Lundi, à 13 heures 30, dans la grande salle Jean-Paul Cano du rez-de-chaussée, il avait réuni ses troupes pour annoncer les nomminations au personnel de l'agence. «Je vous annonce aujourd'hui le résultat de la campagne de recrutement des préfigurateurs qui a démarré le 10 octobre dernier, a-t-il notamment dit. Toutes les candidatures ont été examinées avec la plus grande attention. Le cabinet de recrutement a reçu chaque candidat». En tout, 62 personnes ont candidaté dont 39 en interne et 13 nominations ont été annoncées. Mais celle de Catherine Rey-Quinio est celle qui concentre le plus de critiques acerbes en interne. «Quelle réforme ! ironise par ailleurs un expert de l'Afssaps. Sur 13 nommés, 10 viennent de l'agence !».

Deux anciennes cadres avaient déjà été recasées

En février dernier, le tout nouveau patron de l'agence, commencait le ménage en suspendant Anne Castot (ancienne chef du service de la gestion des risques et de l'information sur les médicaments), et Carmen Kreft-Jaïs (ancienne chef du département de pharmacovigilance). Problème : quelques mois plus tard, on apprenait que ces deux recalées avaient trouvé des points de chute à l'Agence régionale de santé (ARS) Ile-de-France en tant que responsable de la coordination des vigilances pour la première, et chargée de mission à l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (INPES) pour la seconde.

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22 novembre 2011 2 22 /11 /novembre /2011 16:40

 

   


Pour vendre des produits chimiques qui prétendent traiter la grippe H1N1, l’industrie pharmaceutique n’a que deux options : les vaccins et les anti-viraux. Le Tamiflu est l’antiviral de loin le plus populaire. C’est en fait un médicament dérivé d’une plante médicinale chinoise traditionnelle, appelée anis étoilé.

Mais le Tamiflu n’est pas une plante. C’est une concentration potentiellement mortelle de composants chimiques qui ont essentiellement été bio-piratés à partir de la médecine chinoise. Et quand vous isolez et concentrez des produits chimiques spécifiques de ces plantes, vous perdez la valeur (et la sécurité) de la phytothérapie de spectre complet.

Cela n’a pas empêché Roche, le fabricant du Tamiflu, d’essayer de développer un marché de plusieurs milliards de dollars pour son médicament. Cependant pour conquérir ce marché, Roche a du rassembler les preuves que le Tamiflu était à la fois sûr et efficace.

 

 

L’antiviral Tamiflu se révèle être une grossière supercherie Les études de Roche sont basées sur une fraude scientifique

Un article de Mike Adams, de Natural News - 14 décembre 2009 Traduction Jean-Luc Guilmot - 17 décembre 2009

Roche s’engage dans une fraude scientifique

Roche prétend qu’il existe dix études prouvant que le Tamiflu est sûr et efficace. Selon la société, le Tamiflu présente toutes sortes d’avantages, y compris une réduction de 61% des hospitalisations des personnes grippées soignées au Tamiflu.

Le problème de ces assertions est qu’elles ne sont pas vraies. Elles ont simplement été inventées de toute pièce par Roche.

Un article dévastateur récemment publié par le British Medical Journal accuse Roche de tromper les gouvernements et les médecins sur les avantages du Tamiflu. Sur les dix études citées par Roche, il s’avère que seules deux d’entre elles ont été publiées dans des journaux scientifiques. Et que sont devenues les données originales de ces deux études ? Perdues.

Les données ont disparu. Des dossiers ont été jetés. Le chercheur d’une étude dit qu’il n’a même jamais vu les données. Roche a pris soin de tout cela, explique-il. Ainsi la Collaboration Cochrane, chargée d’examiner les données sur le Tamiflu, a décidé de mener l’enquête. Les demandes répétées à Roche pour obtenir les données originales des études sont restées lettre morte. Le seul ensemble de données complet qu’elle ait reçu était une étude non publiée de 1.447 adultes qui a prouvé que le Tamiflu n’était pas meilleur que le placebo. Les données des études montrant l’efficacité du Tamiflu ont apparemment été perdues pour toujours.

Comme l’indique le magazine The Atlantic, c’est à ce moment-là que d’anciens employés de Adis International (essentiellement une société de relations publiques de Big Pharma) ont choqué le monde médical en annonçant qu’ils avaient été mandatés pour écrire anonymement les études pour Roche.

Mais le meilleur reste à venir : Roche a dit à ces chercheurs ce qu’ils devaient écrire !

Comme l’a indiqué un de ces rédacteurs fantômes au British Medical Journal :

« Les dossiers du Tamiflu proposaient une liste de messages clé que vous deviez inclure. Cela avait été préparé par le département marketing [de Roche] et votre mandat était de suivre ces lignes directrices. Dans l’introduction… je devais dire à quel point la grippe était un problème majeur. Je devais également arriver à la conclusion que le Tamiflu en constituait la réponse."

En d’autres termes, le département marketing de Roche a produit la science et a indiqué à des chercheurs quelles conclusions tirer des tests cliniques. Des chercheurs engagés pour conduire une recherche scientifique ont été contrôlés par des commerciaux tireurs de ficelles. Quelles que soient leurs découvertes scientifiques, les chercheurs avaient déjà été contraints d’aboutir à la conclusion que « le Tamiflu constituait la réponse. »

Alors, je ne sais ce qu’il en est pour vous, mais chez moi on appelle ça de la « fraude scientifique ». Et comme l’ont montré de nombreuses investigations sur NaturalNews, c’est plutôt la règle que l’exception dans l’industrie pharmaceutique.

[Personnellement, je] ne peux faire confiance à pratiquement aucune « étude scientifique » conduite par les entreprises pharmaceutiques parce que ce n’est pas de la vraie science. [Pour moi] c’est essentiellement de la propagande prenant les habits de la science pour y ressembler.

Tristement, même le Centre pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) a été dupé par cette escroquerie de test clinique.

Comme l’indique l’auteur Shannon Brownlee dans le magazine The Atlantic : « … le centre pour le contrôle et la prévention des maladies semble fonctionner dans une sorte d’univers alternatif, où la science de qualité n’importe plus pour les affaires publiques. Les recommandations pour la grippe se confondent avec les arguments avancés par Roche que le médicament peut sauver des vies – en dépit des résultats de la FDA et du manque d’études pour prouver une telle assertion. Qui plus est, ni la CDC ni la FDA n’ont exigé les études scientifiques qui pourraient déterminer de façon univoque que les assertions de la société sont valides, à savoir que le Tamiflu réduit le risque de complications sérieuses et permet de sauve des vies. Nancy Cox, qui dirige le programme grippe du CDC, nous a dit il y a quelques mois qu’elle s’oppose à une étude avec contrôle placebo (dans laquelle la moitié des patients recevrait le Tamiflu et l’autre moitié un placebo), parce que les avantages du médicament avaient déjà été prouvés. »

Avez-vous bien compris cette dernière phrase ? Le CDC n’est pas intéressé par une étude sur le Tamiflu parce que « les avantages du médicament sont déjà prouvés ». Sauf qu’ils ne le sont pas. Mais c’est la façon dont fonctionne l’industrie pharmaceutique :

É tape 1) Fabriquer des preuves que votre médicament fonctionne. Etape 2) Utiliser des preuves frauduleuses pour faire approuver votre médicament. Etape 3) Utiliser la peur pour créer une demande des consommateurs pour votre médicament (et encourager les gouvernements à faire des stocks. Etape 4) Eviter tout essai scientifique réel en affirmant qu’il a déjà été prouvé que le médicament fonctionne (et citer vos études frauduleuses originales en guise de preuve).

C’est la recette que la CDC suit pour le moment avec le Tamiflu. C’est bien sûr une recette de stupidité scientifique et de la logique circulaire, mais cela semble de nos jours être étrangement commun au sein de la communauté médicale.

Même la FDA dit que le Tamiflu de marche pas

De façon assez remarquable, la FDA n’est pas complètement tombée dans la supercherie du Tamiflu. Ils ont exigé de Roche que le démenti suivant soit imprimé sur les notices de Tamiflu – un démenti qui admet ouvertement qu’il n’a jamais été prouvé que le médicament fonctionne :

« Il n’a pas été démontré que le Tamiflu avait un impact positif sur les conséquences potentielles (telles que hospitalisations, mortalité, ou impact économique) sur la grippe saisonnière, aviaire ou pandémique. »

Mieux encore. Un porte-parole de la FDA a dit au British Medical Journal, « Les tests cliniques… n’ont démontré aucune différence significative dans les taux d’hospitalisation, de complications ou de mortalité chez les patients recevant du Tamiflu ou un placebo. »

C’est toujours le même sempiternel message, comme un disque rayé : le Tamiflu ne marche pas. Et la "science" qui affirme que le Tamiflu fonctionne a apparemment été fabriquée depuis le départ.

Le scandale du stockage du Tamiflu

De la science pourrie, mais suffisamment bonne pour le gouvernement états-unien. Sur base de preuves en grande partie fabriquées et de la propagande de Big Pharma, le gouvernement des États-Unis a dépensé $1.5 milliards pour stocker du Tamiflu. Cela s’est avéré être une bonne opération pour Roche, mais un piètre investissement pour les citoyens des États-Unis qui ont donc consenti une dépense énorme pour un médicament qui ne marche pas.

Comme énoncé dans le magazine The Atlantic :

« Pour recommander et stocker le Tamiflu, les gouvernements, les agences de santé publique, et les agences internationales telles que l’Organisation mondiale de la santé, ont tous basé leurs décisions sur les études qui avaient semblé indépendantes, mais qui en fait avaient été financées par la société [Roche] et avaient été écrites presque entièrement par des employés de Roche ou des consultants universitaires rétribués.

(...)

Le résultat du tout ceci, c’est que les gouvernements de par le monde dépensent des milliards de dollars en stockant un médicament qui essentiellement ne fonctionne pas – un médicament promu par de la propagande et par de la fraude scientifique.

Ce n’est bien sûr pas la première fois que votre gouvernement gaspille l’argent du contribuable, mais cet exemple est particulièrement préoccupant étant donné que tout ceci a été fait avec l’excuse que les remèdes normaux sont inutiles et que seuls les vaccins et le Tamiflu peuvent vous protéger contre une pandémie virale.

Mais il s’avère que les vaccins et le Tamiflu sont inutiles et que seuls les remèdes normaux fonctionnent vraiment. C’est la raison pour laquelle tant de personnes informées dans monde avaient stocké de la vitamine D, de l’ail, des teintures antivirales et des compléments alimentaires pour se protéger contre une pandémie potentielle que la plupart des gouvernements du monde n’ont aucune manière d’enrayer.

Je trouve fascinant que les gouvernements du monde stockent des médicaments qui ne marchent pas, alors que les personnes informées en matière de santé naturelle stockent des remèdes normaux qui fonctionnent. Si une véritable pandémie frappe jamais notre monde, il n’y a aucun doute sur ceux qui seront les survivants (NB : ce ne seront pas les gens naïfs qui stockent des pilules de Tamiflu…).

Quels sont les remèdes qui fonctionnent vraiment pour amplifier la fonction immunitaire et pour protéger le corps contre la maladie infectieuse ? J’ai publié un rapport révélant mes cinq meilleurs remèdes recommandés. Je recommande également la vitamine D3 à haute dose (...)

A propos, je n’ai aucun lien financier avec les sociétés dont les produits sont cités. À la différence de l’industrie pharmaceutique, je ne fonctionne pas purement pour le profit. Mon travail consiste à transmettre de l’information valable aux gens – de l’information qui peut aider à sauver des vies et à réduire la souffrance. C’est le travail que la FDA et la CDC devraient faire mais qu’ils ont abandonné depuis longtemps en trahissant le peuple états-unien.

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22 novembre 2011 2 22 /11 /novembre /2011 16:24

Histoire secrète. Des molécules actives contre l’odème cérébral, la cirrhose du foie, le sevrage des toxicomanes, l’acné, la calvitie sont abandonnées, estimées pas assez rentables par le groupe pharmaceutique HMR.

Le prix de la nouvelle concentration pharmaceutique, la fusion HMR-Rhône Poulenc, frôle l’insoutenable. Jamais le divorce n’a été aussi flagrant entre la soif de profits et les besoins sociaux.

Pas assez rentables... 169 molécules en cours de développement et codées RU (Roussel UCLAF) vont être abandonnées ou bradées par le groupe HMR (Hoechst-Marion- Roussel) dans la perspective de sa fusion avec Rhône-Poulenc - Rorer, pour accoucher d’Aventis, un mastodonte de la pharmacie. Arrêts de recherches, suppressions d’emploi, fermetures de sites. C’est le prix de la course absurde au gigantisme, au mépris des missions de santé publique. Au mépris des malades et de leurs familles.

Abandonnée, la molécule RU 51599. Elle annonce la création de médicaments inédits pour lutter contre les odèmes cérébraux. Actuellement, on ne sait guère contrer l’odème qui se forme sous le crâne, à la suite d’une lésion, d’une tumeur ou d’une opération. L’issue s’avère souvent fatale. Le RU 51599 permet l’évacuation du liquide comprimant l’encéphale. Cette molécule semble également prometteuse pour résorber l’ascite qui gonfle le ventre des malades atteints de cirrhose du foie. Les études ont été stoppées en phase 2, l’avant dernière avant la commercialisation. Motif : les médicaments issus de cette molécule innovante ne seraient pas assez rentables, leur usage restant limité aux centres hospitaliers.

Abandonnée l’ingénieuse molécule RU 58841, un anti-androgène en pommade, qui ouvre la voie à de nouveaux traitements de la calvitie et de l’acné. HMR préfère renoncer aux années de recherches effectuées, plutôt que de finaliser le produit. Il met en avant d’éventuels effets secondaires. En réalité le groupe a décidé de liquider toutes ses activités en endocrinologie. Décision catastrophique. Le site de Romainville (ex-Roussel UCLAF) spécialisé dans ces recherches est reconnu dans le monde entier. Tout un savoir-faire, une capacité d’expertise en ce domaine, sont menacés de disparaître. Cette frénésie de fusions a déjà fait rétrograder la France du deuxième rang à la dixième place mondiale, pour la mise au point de molécules.

Abandonné également, un projet précurseur pour faciliter le sevrage des toxicomanes en s’attaquant aux phénomènes de dépendance. L’exploitation d’un hasard, au détour d’une autre recherche. À base hormonale, les traitements issus de cette découverte ne substitueraient pas une dépendance à une autre. Espoir inédit. Ce projet inaugure une nouvelle stratégie pour lutter contre les dépendances. Stoppé. HMR ne veut pas associer son sigle au traitement des toxicomanies. Pudibonderie anglo-saxonne oblige...

La même hypocrisie avait conduit Roussel UCLAF à brader, en 1996, la première molécule anti-hormone, le RU 486 (mifépristone), dite pilule abortive, sous la pression du Vatican et des groupes intégristes aux USA. À l’époque le président de Roussel UCLAF, le Dr Édouard Sakiz, n’avait pas accepté le diktat américain. Depuis, Il a claqué la porte et créé un petit laboratoire privé, Exelgyn, pour fabriquer cette pilule " propriété morale des femmes ". Un pied de nez au gigantisme.

HMR persévère dans la logique inverse. Déjà, l’Humanité avait révélé, le 12 juin 1996, l’abandon de la RU 58668, un anti-estrogène très prometteur dans le traitement des cancers du sein, issus de dérèglements hormonaux. Deux cent cinquante mille femmes affrontent, chaque année dans le monde, cette maladie hautement mortelle. Mais pour la direction, le RU 58668 n’était pas susceptible de générer suffisamment de profits. Jean-Pierre Godard, le président de Roussel UCLAF nous avait avoué à l’époque que la " question fondamentale " pour lui, c’était : " Où en est le besoin médical non satisfait, qui a un potentiel suffisamment attractif pour que je mette mon argent dessus ? " Pas attractif, le RU 58668 ? Il dispose pourtant de hautes potentialités pour faire régresser les tumeurs, mais aussi pour réduire les métastases.

Jamais le divorce n’avait été aussi flagrant entre les besoins de santé et la course aux profits. Désormais, la seule obsession des dirigeants d’HMR, c’est de satisfaire l’appétit des fonds de pension américains. Objectif avoué, un taux de profit de 20 % à 30 % annuel ! C’est d’autant plus scandaleux qu’en France, HMR réalise 80 % de son chiffre d’affaires avec la Sécurité sociale. Hier, les laboratoires étaient dirigés par des scientifiques et/ou des capitaines d’industrie. Voici venue l’ère des financiers, tenanciers de molécules. Pourtant, sur 40 000 maladies identifiées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), seules 15 000 bénéficient de traitements.

Écouré, un chercheur de HMR nous confie : " Arrêter une molécule n’a rien de scandaleux, si c’est sur des critères scientifiques, en cas de toxicité, par exemple. Mais actuellement, les recherches sont stoppées sur des critères économiques. HMR estime qu’un produit doit être abandonné s’il ne rapporte pas au minimum 2,4 milliards de francs. " Tous les hypergroupes pharmaceutiques adoptant la même logique, ils se ruent sur les productions les plus rentables, destinés aux pays riches. Un autre scientifique de HMR déplore cette concurrence désastreuse : " On vend des médicaments comme des aspirateurs. Les coûts de marketing deviennent dix fois plus élevés que ceux de la recherche. Il y a dix ans, si un produit n’était pas au " top ", il passait à la poubelle. On lance désormais un produit même s’il n’est pas tout à fait au point, même s’il y a déjà dix médicaments identiques sur le marché. Cela se résume à une guerre à coups de pub. Il y a une perte de l’éthique. Je ne comprends pas l’intérêt de ce gigantisme. Il existe des petits laboratoires qui vivent bien. " Avec d’autres chercheurs et salariés d’HMR, il réfléchit à une solution alternative à la vente programmée du site de Romainville .

Cette logique du tout profit mène à une catastrophe planétaire. Les pays pauvres sont livrés à eux mêmes. Le prix Nobel de la paix 1999, Médecins sans frontières dénonce cette dérive : sur plus de 1 200 médicaments nouveaux, commercialisés depuis 1975, onze seulement servent à soigner une maladie tropicale. Ainsi la maladie du sommeil, transmise par la mouche tsé-tsé. L’OMS estime à 55 millions les personnes exposées dans la seule Afrique de l’ouest ; 300 000 cas par an. Sans traitement, la mort est inéluctable. Il en existait un, très risqué. Le médicament contient de l’arsenic, un poison qui achève jusqu’à 5 % des personnes traitées. Les chercheurs ont mis au point un médicament non toxique, l’Eflornithine. HMR qui a récupéré le produit, l’a finalement estimé trop coûteux et l’a retiré du marché ! L’allemand Hoechst (le H de HMR) et Rhône-Poulenc ont annoncé qu’ils renonçaient à la recherche d’un vaccin contre le sida. Parce qu’il est plus rentable de soigner lorsque la maladie est déclarée ? Il y a des crimes qui mériteraient d’être inscrits dans le Code pénal.

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22 novembre 2011 2 22 /11 /novembre /2011 12:05

 

L’Assemblée nationale et le Sénat ont enregistré en 2005 deux propositions de résolution tendant à la création d’une commission d’enquête sur la nature et la qualité des informations fournies par l’industrie pharmaceutique sur les médicaments. Cette commission d’enquête parlementaire avait pour dessein d’examiner les solutions et les réformes qui peuvent être apportées par le législateur sur la nature de ces informations afin d’améliorer la sécurité sanitaire en France.

Parmi l'exposé des motifs invoqués dans la proposition de résolution du Sénat, on peut lire :

  1. « La dissimulation par les laboratoires d’études négatives sur le médicament incriminé. Ainsi, la firme Bayer […] aurait délibérément voulu tromper les autorités sanitaires en minimisant les dangers constatés dès 1991 de la cerivastine, soit dix ans avant son retrait. Il est de même établi que les risques liés à la prise d’antidépresseurs étaient connus des laboratoires mais gardés secrets. »
  2. « […] Aucun organisme public indépendant n’est sollicité pour effectuer éventuellement une nouvelle expérimentation de contrôle ou une comparaison du nouveau médicament avec un traitement de référence. […] beaucoup d’essais [sont] mal conçus, biaisés, voire falsifiés. »
  3. « […] Les prescripteurs dont l’industrie pharmaceutique finance la formation médicale continue et la presse professionnelle, sont conditionnés par une information à sens unique. L’absence des agences sur ce terrain, combinée à l’inertie des autorités sanitaires rendent compte du fait que de nombreux médicaments, notamment les antidépresseurs (Observatoire National des Prescriptions, 1998) sont prescrits en dehors des indications préconisées par la commission de l’AMM. »
  4. • « […] En 2003, les ressources de l’AFSSAPS provenaient pour 83% de l’industrie pharmaceutique et pour seulement 6,4% de l’État. […] Comment dans ces conditions, s’étonne le Sénat, ne pas redouter que les agences ne soient devenues au fil des années les instruments dociles de ceux qui fournissent la majorité de leurs subsides alors qu’elles n’ont pas pour seule vocation de rendre un service aux industriels ? »
  5. « […] Même la Food and Drug Administration (FDA), pourtant régulièrement citée comme modèle, n’échappe pas à ce type d’interrogations : 18% de ses experts déclaraient en 2002 avoir ‘’subi des pressions pour approuver ou recommander l’approbation’’ d’un médicament ‘’en dépit de réserves concernant la sécurité, l’efficacité et la qualité du médicament’’. »
  6. « […] Les experts de l’AFSSAPS […] sont rémunérés de fait par les laboratoires pour lesquels ils effectuent des prestations. »
  7. « […] Il est étrange que, devant ce qu’il convient bien d’appeler par son nom : une véritable épidémie d’effets secondaires dus aux médicaments, qui fait chaque année en France environ 18 000 morts et provoque 3% du nombre total des hospitalisations, rien de sérieux n’ait jamais été entrepris. »
  8. « La France est le pays au monde où la consommation de médicaments est la plus élevée mais nous ne possédons pas le moindre élément de leur impact réel sur la santé publique […]. Notre système national de pharmacovigilance est défaillant, l’épidémiologie d’évaluation est pratiquement inexistante […]. »
  9. La proposition du Sénat concluait : « Les impératifs de santé publique nous imposent d’apporter une réponse claire à la question que tout le monde se pose : peut-on encore faire confiance aux agences qui ont pour mission d’évaluer la sécurité d’emploi, l’efficacité et la qualité des produits de santé ? »

 

A quand l’ouverture d’une commission d’enquête parlementaire sur la prétendue efficacité du "traitement" de la dépression par la psychiatrie et son arsenal de drogues dangereuses ?

 

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22 novembre 2011 2 22 /11 /novembre /2011 11:21

 

Les psychotropes sont cause de la plupart des maladies mentales

 

      Tout d'abord, quelques faits :

      - Jusqu'à l'avènement des médicaments psychiatriques de Big Pharma, la plupart des gens qui souffraient d'un épisode psychotique (schizophrénie) guérissaient.

      - Jusqu'à l’arrivée du Lithium, le trouble maniacodépressif était si rare qu’à peine une personne sur cinq à dix mille en était atteinte, et presque toutes se rétablissaient. De nos jours, un Zunien sur 20 à 50 est diagnostiqué de cela et drogué pour. C’est désormais considéré comme une affection permanente.

      - En 2007, le nombre d'enfants handicapés mentaux était 35 fois plus élevé que le nombre de 1990.

      - Jusqu’à ce que les gens soient drogués pour la schizophrénie, leur espérance de vie était identique à celle des autres. De nos jours, toute personne diagnostiquée peut s’attendre à voir son espérance de vie réduite de 25 ans. Cela signifie qu’un homme qui aurait pu espérer avoir une durée de vie typique, aujourd'hui de 78 ans en Zunie, est susceptible de vivre seulement 53 ans s'il est traité avec des antipsychotiques.


      Ce sont des faits abasourdissants, mais ils sont tous fidèlement et minutieusement confirmés dans le brillant ouvrage de Robert Whitaker, Anatomy of an Epidemic [Anatomie d'une épidémie] (1), ainsi que dans plusieurs livres du docteur Peter Breggin. Ce problème me touche directement. Il m’a été difficile d'écrire sur ce sujet, car la personne atteinte n'est pas moi, mais quelqu'un bien-aimé, qui a été changé par Big Pharma, la psychiatrie et la médecine moderne.


      Mais ce qui arrive aux gens doit être dit, surtout maintenant, pour nos enfants. Bien trop de vies sont totalement brisées par des traitements médicaux qui, à mon avis, peuvent être seulement qualifiés de malveillants.



Vérité sur les drogues psychiatriques


      La psychiatrie s’est ingéniée à se faire passer pour une vraie médecine, à l'instar des autres professions médicales, comme la gastro-entérologie et la neurologie. Pour parvenir à cet objectif, la décision fut prise de soutenir que la maladie mentale a des causes physiques et est soignable avec des médicaments. L'American Psychiatric Association (APA), le National Institute for Mental Health (NIMH), et la National Alliance for the Mentally Ill (NAMI), s’associèrent avec Big Pharma pour convaincre le monde que le haut est en bas et que le noir est blanc.


      En dépit du manque absolu de preuve, ils affirmèrent que les gens souffrent de problèmes mentaux parce qu'ils ont le cerveau malade – leur cerveau détraqué souffre de déséquilibres chimiques. Des années et des années de recherches, certaines brillantes, tentèrent de prouver que le cerveau des malades est à l'origine des troubles mentaux. Ils ne purent jamais le faire, mais ça ne fit aucune différence. Les études prouvant le contraire furent manipulées pour donner l'impression qu'elles montraient des différences physiques ou chimiques dans le cerveau des gens atteints de maladies mentales.


      Ce n'était rien d'autre qu'un mensonge. Il n'y avait pas une once de vérité. Pas le moindre indice ne montrait que les gens avaient une anomalie cérébrale lors des premiers diagnostics de maladie mentale. Il importait peu que le diagnostic soit dépression, psychose maniacodépressive, schizophrénie, ou la foule de nouveaux diagnostics dont il fut fait étalage comme excuses pour prescrire des psychotropes.


      Seulement, à présent, il y a du vrai en cela. C’est la véritable tragédie du crime de la psychiatrie : Aujourd'hui, dès que les gens commencent à prendre des psychotropes, le mensonge initial devient vérité. Les drogues endommagent le cerveau, et tout indique que c'est permanent. Ces dommages cérébraux donnent d’authentiques troubles du cerveau, qui engendrent ces mêmes symptômes pour lesquels les drogues sont prescrites.


      La psychiatrie est à l'origine de l’immense majorité des maladies mentales.


      L'ampleur de cet holocauste iatrogène, médicalement induit, était quasi-inconcevable avant que Big Pharma et la psychiatrie ne décident de s'en prendre aux enfants. Aujourd’hui, nous ne savons pas encore exactement le degré de calamité cela atteindra. Si l'on considère les énormes dommages fait au cerveau adulte, que doit-il arriver au cerveau des enfants ? De combien sera réduite leur vie, après que sa qualité ait été quasiment détruite ?



Maniaco-dépression : Antidépresseurs et antipsychotiques


      La psychose maniacodépressive est un excellent exemple des changements dans le cours naturel perçu de la maladie mentale. Il y a exactement 50 ans, avec à peine un cas sur cinq à vingt mille personnes, la psychose maniacodépressive était extrêmement rare. La plupart des victimes, vraisemblablement pas moins de 80%, connaissaient un seul incident et retournaient à la vie normale. Or, aujourd’hui, pas moins d’un individu sur 20 à 50 est diagnostiqué maniacodépressif, et, comme Whitaker le démontre clairement dans Anatomy of an Epidemic, la seule explication possible implique l’action des drogues données pour la dépression et la psychose. Le pronostic désormais avancé pour la psychose maniacodépressive, c’est qu'elle est permanente. Les psychiatres ne donnent généralement pas l’espoir d'y échapper !


      Considérez que les enfants sont maintenant livrés à cette magouille de drogue mentale. De combien sera réduite leur vie, et dans quel état la passeront-ils ? Merci aux semblables du Dr Joseph Biederman, qui, selon Whitaker, « ont spécifié le cadre du diagnostic qui a rendu possible [le diagnostic des enfants atteints de psychose maniacodépressive]. » Nous avons un très grand nombre d'enfants diagnostiqués à tort, puis droguée avec les psychotropes les plus puissants et nocifs imaginables – et pire, avec des cocktails de ces drogues.


      Ces enfants deviennent inévitablement de plus en plus malades. Parfois à peine à l’âge de deux ans, à cause d'un diagnostic bidon, leur vie est brisée. Ils deviennent juste du fourrage pour l’industrie mercantile du gros business pharmaceutique et médical.


      La psychiatrie couvre bien sûr d’une manière retorse ce qu'elle fait à ces enfants. Ils changent simplement la description de l'évolution naturelle de la « maladie » qu'ils ont définie. Au lieu de reconnaître que la plupart des gens se rétablissent, ils disent à présent qu'il n'y a aucun espoir de guérison. Ils disent maintenant naturel ce qu'ils ont créé.


      Voilà le vrai terrorisme. Le système médical moderne a décidé que les gens qu'il est censé servir sont sans valeur, que leur but est de servir de pâture à l'insatiable machine à produire des bénéfices qu'il est devenu.


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19 novembre 2011 6 19 /11 /novembre /2011 20:26

Oui, le Tamiflu, le fameux médicament phare pour lutter contre la Grippe A. est en fait UNE ARNAQUE... Ce médicament ne fait rien d'un point de vue médical et en plus il cache de nombreux effets indésirables qui sont passés sous silence.

Ceci, ce n'est pas moi qui le dit, mais de nombreux chercheurs dont ceux de la prestigieuse université d'Oxford. Et ce depuis de nombreuses années.

Roche, le laboratoire produisant ce médicament a même été condamné pour publicité mensongère aux Etats Unis.

 

tamiflu

Alors pourquoi sommes nous abreuvés de Tamiflu et autres vaccins contre la grippe A ? Réponse : Merci aux différents lobbies pharmaceutiques qui ont corrompu les gouvernements, qui ces derniers leurs sont devenus redevables.

Quant au Tamiflu, lui c'est tout au plus un placebo. Par contre ses effets indésirables sont réels, cela va du simple mal de ventre à des effets hallucinatoires (certains étudiants se sont défénestrés aux USA après en avoir pris) en passant par des crises de vomissements, asthme, toux, fièvre jusqu'à 39°C...

Bref ! Maintenant que tous les gouvernements ont acheté des centaines de millions de doses de vaccins. Il faut que leur population respective soit à tout prix vaccinée d'où la campagne actuelle basée sur la peur.

Peur de mourir ; cette grippe tue moins que la grippe saisonnière. Mais l'accent est mis sur le fait qu'elle tue des personnes jeunes (en effet les vieux ont déjà vu le H1N1 durant leur jeunesse).

Et forcing du gouvernement via Madame Roseline Bachelot, n'oublions pas en passant, qu'elle a travaillé à la solde de l'industrie pharmaceutique (SoguiPharm, Ici-Pharma, Astra-Zaneca) durant 12 ans. A-t-elle gardé quelques contacts ? Y a-t-il conflit d'intérêt ?

Et enfin combien tout ce ramdam (achat des vaccins + pub + vaccination + Gel Hydro (une autre arnaque) + Médecins + Infirmiers + locaux + logistique de transport +...) va-t-il coûter à la Sécurité Sociale ? Donc à nous les contribuables.

Un demi milliard d'euros ? Plus peut-être !... Et au final pour éponger cette dépense supplémentaire qui n'a vraiment aucune justification, ce sont nos cotisations qui vont augmenter.

Cette pandémie grippale est tout simplement un ENORME BUSINESS orchestré par l'industrie pharmaceutique pour leur propre profit. C'est tout simplement révoltant surtout que l'état qui devrait avoir un rôle de contrôle et de critique, ne fait qu'ajouter désinformations et doutes sur la réalité de l'infection causée par le virus H1N1.

Donc Merci aux gouvernements de tous les pays de plier aux intérêts des laboratoires mais en aucun cas aux intérêts de leur population.

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19 novembre 2011 6 19 /11 /novembre /2011 20:14






 - Les principes importants gouvernants les "affaires" pharmaceutiques.





Il n'est pas dans l'intérêt financier de l'industrie pharmaceutique de prévenir les maladies courantes - la maintenance et l'expansion des maladies est une pré-condition à la croissance financière de cette industrie.




- 1 -

L'industrie pharmaceutique est une industrie d'investissement dirigée par les profits de ses actionnaires. Améliorer la santé humaine n'est pas la ligne directrice de cette économie.



- 2 -

L'industrie de l'investissement pharmaceutique a été artificiellement créée et stratégiquement développée sur une période d'un siècle entier, par les mêmes groupes d'investissement qui contrôlent globalement les industries pétrochimiques et chimiques.



- 3 -

Les énormes profits de l'industrie pharmaceutique sont basés sur la mise sous brevets des nouveaux médicaments. Ces brevets permettent essentiellement aux manufacturiers de médicaments de définir de façon arbitraire les profits pour leurs produits.



- 4 -

Le "marché" de l'industrie pharmaceutique est le corps humain - mais seulement tant et aussi longtemps que le corps est porteur de maladies. Ainsi, maintenir et faire progresser les maladies est une pré-condition à la croissance de l'industrie pharmaceutique.



- 5 -

Une stratégie clé pour accomplir ce but est le développement de médicaments qui ne font que masquer les symptômes tout en évitant la guérison ou l'élimination des maladies. Ceci explique pourquoi la plupart des médicaments sous prescriptions mis sur le marché de nos jours n'ont pas d'efficacité prouvée mais simplement des symptômes cibles.



- 6 -

Pour étendre davantage leur marché pharmaceutique, les compagnies de médicaments sont continuellement à la recherche de novelles applications (posologies) pour l'utilisation de médicaments qu'ils commercialisent déjà. Par exemple, les pilules pour la douleur Aspirine de Bayer sont maintenant consommées par 50 millions de citoyens Américains en santé, sous l'illusion que cela préviendra les attaques cardiaques.



- 7 -

Une autre stratégie clé pour étendre les marchés pharmaceutiques est de causer de nouvelles maladies avec les médicaments. Tout en masquant simplement les symptômes à court terme, la plupart des médicaments pris par des millions de personnes de nos jours causent une multitude de nouvelles maladies qui résultent de leurs effets secondaires à long terme, d'ailleurs connus. Par exemple, tous les médicaments réduisant le taux de cholestérol actuellement sur le marché sont reconnus pour augmenter le risque de développement du cancer - mais seulement après que le patient ait consommé le médicament pendant plusieurs années.



- 8 -

Les effets secondaires connus et mortels des médicaments sous prescriptions sont la quatrième cause principale de décès dans le monde industrialisé, surpassés seulement par le nombre de décès dus à des crises cardiaques, des cancers, et des embolies (Journal de l'Association Médicale Américaine, 15 avril 1998). Ce fait n'est pas surprenant non plus, puisque les brevets sur les médicaments sont émis d'emblée pour les nouvelles molécules synthétiques. Toutes les molécules synthétiques ont besoin d'être détoxifiées et éliminées du corps, un phénomène qui échoue fréquemment et résulte en une épidémie d'effets secondaires sévères et mortels.



- 9 -

Alors que la promotion et l'expansion des maladies fait augmenter le marché de l'industrie de l'investissement pharmaceutique - la prévention et le traitement des maladies à la racine diminuent la rentabilité à long terme; par conséquent, ces derniers sont évités ou même souvent obstrués par cette industrie.






- 10 -

Pire encore, l'éradication des maladies est dans sa nature même incompatible avec, et diamétralement opposée, aux intérêts de l'industrie de l'investissement pharmaceutique. L'éradication de maladies maintenant considérées comme des marchés pharmaceutiques détruirait des investissements de milliards de dollars et éliminerait éventuellement cette industrie entière.



- 11 -

Les vitamines et d'autres thérapies de santé naturelles et efficaces qui optimisent le métabolisme cellulaire menacent les "affaires" que l'industrie pharmaceutique fait avec les maladies puisqu'elles ciblent la cause cellulaire de la plupart des maladies communes d'aujourd'hui - et ces substances naturelles ne peuvent être brevetées.



- 12 -

Au cours des plus de cent ans d'existence de l'industrie pharmaceutique, les vitamines et les autres éléments nutritifs essentiels, avec des fonctions définies comme co-facteurs du métabolisme cellulaire, ont été les plus solides compétiteurs et la plus grande menace au succès à long terme de l'industrie de l'investissement pharmaceutique.



- 13 -

Les vitamines et d'autres thérapies de santé naturelles qui préviennent efficacement les maladies sont incompatibles avec la nature même des "affaires des maladies".



- 14 -

Pour protéger les développements stratégiques de son entreprise d'investissement contre les menaces des thérapies naturelles, efficaces, et non brevetables, l'industrie pharmaceutique a - au cours d'une siècle entier - utilisé les méthodes les moins scrupuleuses, telles que :


(1) Rétention d'informations de santé qui auraient pu sauver la vie à des millions de gens. Il est simplement inacceptable qu'aujourd'hui si peu de gens savent que le corps humain ne peut pas produire de vitamine C et de Lysine, deux molécules clé pour la stabilité des tissus connectifs et la prévention des maladies.


(2) Discréditer les thérapies naturelles. La façon la plus commune est à travers les campagnes de relations publiques globales, organisées par le cartel pharmaceutique, qui répandent des mensonges sur les soi-disant effets secondaires des substances naturelles - des molécules qui ont été utilisées par la nature depuis des millénaires.


(3) Bannir par la loi la dissémination d'informations sur les thérapies de santé naturelles. À cette fin, l'industrie pharmaceutique a placé ses lobbyistes dans des positions politiques clés dans les marchés principaux et les nations en tête des exportations de médicaments.




- 15 -

Les "affaires" pharmaceutiques sont la pire arnaque et fraude commerciale dans l'histoire humaine. Le produit "la santé" promis par les compagnies de médicaments n'est pas livré à des millions de patients. À la place, les "produits" les plus souvent livrés sont l'opposé : de nouvelles maladies et des morts fréquentes.



- 16 -

La survie de l'industrie pharmaceutique est dépendante de l'élimination de toute méthode de thérapie naturelle efficace. Ces thérapies naturelles et non brevetables sont devenues le traitement choisi par des millions de gens en dépit des oppositions économiques, politiques et médiatiques combinées de la plus grande industrie d'investissement au monde.



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19 novembre 2011 6 19 /11 /novembre /2011 20:05
Savez-vous que l’éjaculation précoce et la frigidité seront bientôt considérées comme des maladies ? Bientôt, pourquoi pas, l’infidélité conjugale en sera une également. On subodore que derrière la grippe A/H1N1 se cache un faramineux business. Mais savez-vous que le cancer de l’utérus ou le cholestérol sont des marchés également très juteux ?

En quinze ans, 200 nouvelles maladies ont été répertoriées dans le monde. 300 médicaments nouveaux ont été lancés sur le marché générant pour l’industrie pharmaceutique un chiffre d’affaire de 500 milliards de dollars. Notre santé les intéresse. Qui ? Les laboratoires pharmaceutiques, bien sûr

Les nouveaux jackpots des laboratoires pharmaceutiques, la passionnante enquête de Sophie Bonnet , fait le point sur les techniques marketing mises au point par les multinationales de la santé pour nous faire avaler la pilule.


« Nous consommons de plus en plus de médicaments » explique ce documentaire qui évoque d’entrée de jeu le Viagra. Lancée sur le marché en 1998, à dix euros pièce, la petite pilule bleue a rapporté 1,7 milliards de dollars par an à son propriétaire, le laboratoire Pfizer.
Un miracle ? Oui, mais économique. Depuis, les laboratoires planchent sur de nouveaux médicaments sensés guérir de pseudo maladies. Ne dite plus « frigidité féminine », mais « dysfonctionnement sexuel féminin ». Le laboratoire Boehringer-Ingelheim s’apprête à mettre sur le marché son « viagra féminin » en 2012.
Jackpot assuré. « Quand ils parlent de dysfonctionnement féminin c’est une façon de créer un marché explique Leonore Tiefer, sexologue à l’école de médecine de New York. Ils inventent une maladie ».

Des congrès médicaux sont organisés partout dans le monde par ces géants de l’industrie pharmaceutique. Les médecins y sont bien sûr conviés. Certains d’entre eux sont payés pour faire l’article dans des salles remplies de confrères. Quoi de mieux qu’un médecin pour convaincre de l’utilité d’un nouveau médicament ?

La tactique est sûre : on parle d’un nouveau remède avant qu’il obtienne son autorisation de mise sur le marché. On créé un bruit médiatique chez les professionnels de santé afin d’en faire un produit indispensable. On s’appuie également sur de prestigieuses revues scientifiques.

Le Journal of the American Medical Association a publié en 1999 un article expliquant que 43% des femmes américaines seraient touchées par le nouveau syndrôme du dysfonctionnement sexuel. Cette étude qui a fait grand bruit à l’époque, était menée par trois experts. Deux d’entre eux étaient « très liés » avec l’industrie pharmaceutique.

Les labos espèrent aussi classifier l’éjaculation précoce comme une pathologie. Le médicament est déjà prêt. Il s’appelle le Priligy. Problème : aux Etats-Unis il n’a pas été homologué car les autorités compétentes considèrent que son utilité n’a pas été prouvé, explique l’enquête de Sophie Bonnet qui cite deux études indépendantes menées en Europe en 2009.
Selon elles ce médicament serait inefficace à 70% et, pire, provoquerait des effets secondaires importants comme l’anxiété, des nausées, des syncopes, etc.

Ejaculation et frigidité féminine. Ces deux troubles sont étiquetés maladie mentale depuis 1994 dans le DSM, le manuel diagnostique de référence des maladies mentales qui en répertorie plus de 300. Vous êtes timide ? Le DSM donc la médecine, considère que vous êtes malade. Donc il faut vous soigner et prendre des médicaments.
DSM cela signifie Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders. « Dans ce volume de cinq cents pages, explique Christopher Lane, auteur de Comment la psychiatrie et l’industrie pharmaceutique ont médicalisé nos émotions » (Flammarion, 2009), l’individu introverti se trouve mécaniquement transformé en psychotique léger ; se montrer distant ou indifférent, ou tout simplement « être seul », sont au nombre des symptômes ».
Le DSM est régulièrement remis à jour avec de « nouvelles maladies ». Jeffrey Lieberman, psychiatre à l’Université new yorkaise de Columbia, dirige la rédaction du DSM dont il prépare la nouvelle édition pour 2012.
Pour lui, bien sûr, c’est « un outil formidable ». Ce qu’il ne dit pas c’est que les psychiatres qui rédigent ce manuel ont le droit de percevoir jusqu’à 10 000 dollars par an des laboratoires pharmaceutiques.

Pour Ray Monihan (lire ici également), journaliste au British medical Journal qui dénonce depuis longtemps ces relations dangereuses entre médecins et labos, « en élargissant les critères des maladies on fait en sorte que les hauts et les bas de la vie quotidienne deviennent les symptômes d’une maladie dans le but de prescrire plus largement des médicaments ».
Le rêve des labos, souligne-t-il : vendre des médicaments à tout le monde, pas juste aux malades. Car le marché des gens bien portants est bien plus large...

Le travail qu’a mené Sophie Bonnet avec ces Nouveaux jackpots des laboratoires pharmaceutiques est remarquable. Elle dresse un panorama complet du cynisme des laboratoires autant que des médecins, experts et politiques.

Elle évoque le cas de la fameuse pilule amaigrissante Alli. Cette dernière est en réalité un médicament recyclé, le Xenical, dont le brevet a été racheté par le laboratoire GlaxoSmithKline. Les pilules sont maintenant colorées, la dose contenue dans chacune d’entre elles est divisée par deux ce qui permet de l’acheter sans ordonnance.
Elle a été lancée à grands renforts de campagnes de pub qui ne parlent plus d’obésité mais de "solution pour maigrir". 140 000 boîtes ont été vendues en un mois après sa sortie. Chiffre d’affaire : huit millions d’euros.

Les laboratoires disposent d’une véritable armée pour conquérir les médecins : les visiteurs médicaux. Ils sont 20 000 en France. L’une d’elle, qui n’exerce plus, est interrogée par Sophie Bonnet dans son reportage : "le bon visiteur médical doit savoir décoder les signaux d’achats du médecin : hochement de tête, prise de l’échantillon, expression du visage, etc."
Ce n’est pas exactement ce que préconise la charte des visiteurs médicaux. Cette visiteuse parvenait à prescrire pour plus de deux millions d’euros de médicaments chaque année.

Seuls 3% de médecins, en France, refusent de recevoir les visiteurs médicaux. L’un d’eux confie que « l’industrie pharmaceutique c’est sûr que c’est intéressant pour eux, mais pas pour nous ». Il précise que cette industrie s’est immiscée partout dans le système médical français : dans les hôpitaux et chez les médecins de ville, dans les revues". Voire ailleurs.

Martin Winckler, médecin, écrivain (et même auteur sur Agoravox) tenait une chronique sur France Inter. Un jour il dénonce la campagne de communication de Pfizer à propos du cholestérol.
En France, cette maladie fait florès. Pourtant, en 1985, un million de personnes en souffrait. Aujourd’hui il y en a sept millions. Bigre, une épidémie ? Non. En 1985 le taux de cholestérol « admissible » était de 3 grammes. Aujourd’hui il est de 2 grammes. Avec la bénédiction des autorités sanitaires.

En 2003, Martin Winckler a été remercié de France Inter, par Jean-Luc Hees, pour avoir abordé le la campagne de Pfizer destinée à faire peur aux malades du cholestérol qui s’ignoraient.
Aujourd’hui il constate « Si on vous fait peur c’est qu’on a quelque chose à vous vendre. C’est intéressant de faire prendre des médicaments à des gens qui n’ont rien parce qu’ils vont vivre très longtemps et donc ils vont les prendre très longtemps ». La majorité des gens qui prennent des anti-cholestérols aujourd’hui les prennent pour rien.

Le problème c’est que ces médicaments provoquent des effets secondaires, voire peuvent tuer. Bayer a été ainsi condamné par des malades. En France souligne un avocat proche d’une association de victimes de médicaments il manque de l’arsenal judiciaire des actions judiciaires collectives

Autre jackpot : les vaccins qui « permettent de soigner toute la population, des bébés aux vieillards ».
Le cas de la grippe A est bien sûr évoqué. Mais en ce moment est diffusé un spot destiné à promouvoir un vaccin contre le cancer du col de l’utérus qui touche chaque année 3500 femmes et en tue environ un millier.
Le Gardasil, ce vaccin, n’est pas encore autorisé. Pour l’heure il s’agit d’inquiéter les populations avec des pubs qui ressemblent à des spots gouvernementaux mais qui sont en réalité entièrement financées par un laboratoire.
Sauf au Canada ou une étude indépendante est en cours, aucune étude d’ampleur n’a été menée sur les effets indésirables de ce médicament qui coûte une fortune (il nécessite trois injections coûtant chacune 120 euros et remboursées à 65%) et surtout produit des effets secondaires graves (paralysie, thrombose, etc.).
Trente huit personnes seraient mortes après la vaccination. Mais le directeur des affaires médicales de Sanofi ne croit pas à ces décès.

Le Gardasil a été mis sur le marché en France en 2006 par l’Institut Pasteur. Il a bénéficié d’un soutien actif du ministère de la santé. Pour qu’il soit remboursé il fallait que le comité technique des vaccination (composé de vingt médecins dépendants du ministère de la santé et dont certains ont des liens avérés avec le laboratoire Sanofi) rende un avis positif.
Cet avis devait être rendu en avril 2007, mais deux mois avant, en février, Xavier Bertrand, alors ministre de la santé, court-circuite tout le monde et donne son accord en urgence. Il partira un mois plus tard...

Que dire de Roselyne Bachelot qui remet à Sanofi/Pasteur le prix de la recherche scientifique pour son vaccin Gardasil. Roselyne Bachelot qui oublie de mentionner dans son CV qu’elle fut pendant douze ans visiteuse médicale pour le compte du laboratoire Astrazeneca...
Vous avez dit collusions ?
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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 10:59

 

Tous les soignants savent que les choses sont un peu plus compliquées : traiter l’angoisse avec un médicament, c’est toujours abaisser le niveau de vigilance, donc utiliser un médicament sédatif (c’est bien pourquoi les benzodiazépines sont prescrits à la fois comme anxiolytiques et comme hypnotiques, et cela permet de comprendre pourquoi, dans la tradition pharmacologique américaine, on parle de « tranquillisants » en général, en précisant « majeurs » quand il s’agit des neuroleptiques). Il est tout aussi évident que calmer un patient angoissé c’est, du même coup, soulager l’environnement du patient (sa famille ou les autres patients internés, le personnel soignant) en essayant de rendre plus gérables des comportements ingérables.

Les témoins des premières utilisations de la chlorpromazine à l’hôpital Sainte-Anne, rappellent toujours leur surprise devant des services jusqu’alors peuplés de patients extrêmement agités, soudain devenus calmes.

La mise « en ordre » d’un service ne relève pas seulement d’une stratégie disciplinaire au sens étroit du terme, mais vise aussi à garantir la sécurité du patient et de la collectivité dans laquelle il vit. Plus les services hospitaliers ont des problèmes d’encadrement et plus les patients gênants risquent d’être sédatés pour de mauvaises raisons. Dans un livre où Philippe Clément raconte son expérience d’infirmier psychiatrique, ce genre de situation fait partie du quotidien de l’hôpital :

« Je jette un œil à l’intérieur de la chambre d’isolement (…). Je devine son visage quand il tourne la tête dans notre direction. Un visage blanc comme un linge, aux traits ravagés par l’angoisse et probablement les hallucinations. Le seau hygiénique a été renversé, urine et excréments sont répandus sur le sol. L’homme est nu, accroupi dans un coin de ce qu’il faut bien appeler une chambre, faute de mieux et parce qu’elle c’est ainsi qu’elle est officiellement considérée. En proie à une sorte de frénésie, il gratte le bas du mur avec ses ongles pour détacher des morceaux de peinture jaunâtre qui s’écaille visiblement avec une grande facilité, puis il les porte à sa bouche et les mastique quelques secondes avant de les avaler (1). »

Dans ce cas précis, la prescription de médicaments sédatifs ayant due être arrêtée pour des raisons médicales, il faudra recourir à la contention physique…

Pour faire parler ou pour faire taire ?

Un psychiatre psychanalyste pourrait opposer son mode de prescription à celui d’un psychiatre classique, en expliquant qu’il prescrit « pour faire parler les patients, alors que ses collègues prescrivent pour les faire taire ». Là encore, cette vision des choses est un peu trop simple. Il est à peu près certain que les psychiatres de formation psychanalytique ne prescrivent généralement pas les médicaments comme les psychiatres de tendance biomédicale. Pour les psychanalystes, le point de départ est la détermination de la structure du patient : névrotique, psychotique ou perverse. Et la prescription d’un neuroleptique dans le cas d’une structure psychotique semble souvent aller de soi. La « forclusion du Nom-du-Père », qui serait au cœur de toutes les psychoses, n’est pas ce qui permet de déterminer au premier abord, ce dont souffre un patient. C’est une notion qui vient toujours après que l’on ait déjà posé un diagnostic, et celui-ci n’est finalement possible qu’en recourant aux descriptions phénoménologiques de la psychiatrie la plus classique. La psychanalyse se trouve dans la situation paradoxale de défendre la vieille psychiatrie à défaut d’avoir pu la réinventer. On ne trouve pourtant pas beaucoup d’autres raisons de le faire : cette psychiatrie dite classique a très vite épuisé ses effets positifs, si elle en a eu, et a été à l’origine d’un des derniers grands épisodes de barbarie médicale avec les lobotomies. On ne trouve nulle part ailleurs d’éloges aussi flamboyants de la « psychiatrie classique » que dans les textes des psychanalystes lacaniens. Cette question de la primauté de la structure a de nombreuses conséquences. Quand la psychiatrie nord-américaine était encore sous l’influence dominante de la psychanalyse, elle voyait des schizophrènes partout. Une fameuse étude menée en 1972 a été un révélateur : deux groupes de malades hospitalisés à Londres et à New York sont examinés par une équipe mixte de psychiatres américains et britanniques. Il en ressort qu’un malade a deux fois plus de chance d’être diagnostiqué schizophrène par un psychiatre américain que par un psychiatre anglais et deux fois plus de chance d’être diagnostiqué déprimé quand il est examiné par un psychiatre anglais.

Or, le diagnostic de schizophrénie implique la prescription d’un neuroleptique… dont les effets secondaires font que le patient ressemble de plus en plus à un schizophrène ! C’est aussi un diagnostic qui défavorise le patient : l’équipe soignante attend beaucoup moins d’un patient diagnostiqué « schizophrène » que d’un patient diagnostiqué « déprimé » et cela n’est pas sans conséquences sur son devenir et son mode de réinsertion sociale.

On a beaucoup accusé la psychiatrie biologique d’être réductionniste, de ne pas prendre en compte le patient dans sa totalité, dans toute son humanité. Ici, le compliment pourrait être retourné : la psychiatrie biologique, dans l’incapacité d’identifier une origine biologique ou génétique aux différents troubles mentaux, a plutôt fait proliférer les diagnostics depuis qu’elle a abandonné les notions de névrose et de psychose. Et les patients pourraient bien ne pas avoir à se plaindre d’une situation où un nouvel optimisme thérapeutique a été le résultat de cet abandon et de la rupture avec la psychiatrie classique rendue possible par les médicaments inventés dans le sillage de la chlorpromazine à partir de 1952 (trop souvent considérée par les psychanalystes comme de « la science », ce qui en est fait fort peu comme nous avons essayé de le montrer ailleurs mais ce qui ne peut que réjouir les ennemis mêmes de la psychanalyse qui voient leur propre discours pris au mot) (2).

Un patient atteint d’un trouble bipolaire peut parfois être diagnostiqué schizophrène. La prescription d’un neuroleptique est souvent, dans un tel cas, un désastre. A l’inverse, le prescripteur qui tâtonne, qui va d’abord poser le diagnostic le plus favorable au patient (en matière de pronostic) et faire une prescription qui lui permettra de valider ou d’invalider ce premier diagnostic, n’a rien d’un « réductionniste » mais pourrait, au contraire, correspondre à une nouvelle définition du bon prescripteur.

L’idée qui a porté la psychiatrie biologique, toutes ces dernières années, est celle de la « spécificité » : des médicaments précis pour des troubles précis. Mais tous les espoirs de pouvoir poser les diagnostics grâce à des tests basés sur de nouvelles connaissances génétiques se sont révélés vains. Loin de condamner les psychotropes et les usages dont on est toujours en train de faire l’apprentissage, cet échec ne devrait pas empêcher un nouveau savoir psychiatrique de se déployer.

On pourrait objecter que désormais tout le monde est d’accord pour combiner psychothérapie et médicament. Pourtant, il se pourrait bien que les médicaments ajoutés à une psychothérapie ne soient pas du tout l’équivalent d’une psychothérapie ajoutée aux médicaments. Ni la psychothérapie, ni les médicaments prescrits ne sont les mêmes dans ces deux situations.

La gestion autonome des médicaments

Le savoir psychiatrique apparaît donc bien fragile : ni un background psychanalytique, ni les connaissances issues des neurosciences ne nous donnent la garantie d’un usage des psychotropes qui se fasse uniquement dans l’intérêt des patients et non pas dans celui des équipes soignantes ne voulant pas être trop perturbées.

Qui peut mieux en décider que les patients eux-mêmes ?

L’expérience faite au Québec sous le nom de « Gestion autonome des médicaments » est tout à fait passionnante. J’ai pu assister au début de l’année 2007 à un congrès à Montréal qui a réuni plus de 500 personnes (à l’échelle française, cela aurait représenté plus de 2 500 personnes…), dont la moitié était des intervenants en santé mentale et l’autre moitié des patients. Pendant plusieurs jours, tout le monde a travaillé en commun en assemblées plénières et en commissions. Il ne s’agissait pas de patients souffrant de troubles psychologiques légers mais de patients atteints des pathologies considérées comme graves. L’idée qui s’élaborait là, c’est qu’il appartient au patient, en dernière instance, de décider quels sont ses objectifs et de pouvoir exiger le changement de son traitement, ou du dosage, sans que le médecin prescripteur n’ait le droit de réagir en lui demandant « d’aller voir quelqu’un d’autre s’il n’est pas content ».

C’est là la garantie ultime que les médicaments psychotropes dont on sait qu’ils ne sont jamais prescrits pour des raisons biologiquement fondées, ne soient pas utilisés pour se débarrasser des patients encombrants.

Cette irruption du patient sur la scène de la prescription change l’environnement qui est celui du médecin prescripteur. Cet environnement est actuellement extrêmement pauvre : il est pour l’essentiel constitué par les données fournies par les laboratoires pharmaceutiques. Même les échanges entre psychiatres se font pour l’essentiel sous l’égide de l’industrie pharmaceutique. Dans un tel cadre les psychiatres savent bien que les médicaments dont ils disposent sont insatisfaisants, mais ils n’ont d’autre ressource que d’attendre la mise au point du nouveau neuroleptique ou du nouvel antidépresseur qui promet d’être meilleur que les prédécesseurs. Et ainsi, de toujours essayer la dernière molécule proposée.

L’irruption des patients pourrait bien blesser le narcissisme médical en faisant de la connaissance sur le médicament une connaissance partagée. Encore faut-il que les patients soient en mesure de produire des connaissances sur les médicaments et ne soient pas, à leur tour, instrumentés par les laboratoires qui ne rêvent que de publicité directe vers des patients transformés en consommateurs.

L’exemple québécois montre qu’il faut remplir plusieurs conditions pour rendre cela possible. Il faut d’abord des associations de patients qui soient un cadre d’élaboration et d’échange sur ce que font les différents médicaments. Pour cela il faut des investissements financiers importants. Cela passe aussi par la création de filières professionnelles d’encadrement des patients en milieu ouvert par d’anciens patients. C’est ainsi que la connaissance des patients peut vraiment être valorisée et utilisée par le système de soins.

Ainsi, les patients moins sédatés ne seront pas « encombrants » pour les soignants mais des auxiliaires indispensables à l’invention de bonnes pratiques de prescription.

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