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19 novembre 2011 6 19 /11 /novembre /2011 18:11

Pour tous ceux qui sont trop fauchés pour se payer une psychothérapie...

 

Pour tous ceux qui sont trop timides, trop inhibés, pour pousser la porte d'un cabinet...

 

Pour tous ceux qui sont trop fiers pour reconnaître qu'ils ne s'en sortent pas...

 

Pour tous ceux qui ont déjà essayé trop de thérapeutes avec de trop mauvais résultats et qui n'ont plus le courage de chercher de ce côté là...

Pour tous ceux-là, j'ai une bonne nouvelle : vous pouvez suivre une thérapie sans thérapeute, chez vous, à votre rythme. Comment ?

En faisant une blogothérapie, combinée à une bibliothérapie.

La blogothérapie consiste à lire chaque jour au moins un article de ce blog (vous avez de quoi faire, la bibliothérapie

Bibliothérapie : le mot est moderne, mais le concept est extrêmement ancien. Sur le frontispice de la bibliothèque d'Alexandrie, il était déjà écrit : "Remèdes de l'âme".

Les livres empoisonnent ou soignent... tout dépend du livre.

 

 

Une bibliothérapie ne consiste pas seulement à lire quelques livres, puis à les ranger pour passer à autre chose. Elle consiste à lire, à relire, à souligner avec un crayon, à réfléchir sur ce qu'on a lu - et finalement à appliquer dans sa vie, d'une manière ou d'une autre, ce qu'on a compris.

 

Pour une bonne bibliothérapie, il faut non seulement des bons livres, mais des chefs d'œuvres utiles, transformateurs, catalyseurs de changements.

 

J'ai lu, sur amazon.com, le témoignage d'un ex-dépressif qui, grâce aux livres, s'est non seulement sorti de sa dépression mais est devenu un chef d'entreprise prospère, d'employé malheureux et opprimé qu'il était. Qui dit mieux ?

 

Un thérapeute professionnel vous aidera (peut-être) à écraser votre cafard, à dissiper votre spleen, mais il ne vous rendra pas fort et riche... Les livres ont ce pouvoir.

 

Vous en doutez ?

 

C'est que vous n'avez pas encore lu les bons livres, les livres utiles.

 

 

 

 

 

Vous voulez faire une bibliothérapie ? Les meilleurs livres que je puisse vous conseiller sont ici - en particulier dans les rubriques :

 

Trois livres absolument essentiels

 

Triomphez de vos états d'âme dépressifs

 

Soyez reconnaissant, c'est le secret du bonheur

 

Découvrez qui vous êtes et adoptez une attitude positive

 

Identifiez et réalisez vos rêves

 

Regardez votre passé en face

 

Soyez logique

 

Devenez riche
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19 novembre 2011 6 19 /11 /novembre /2011 17:15

Hopital psychiatrique de Clermont Des malades maltraites et des pratiques defaillantesSuite à une inspection faite en 2010 au sein de l’Hôpital psychiatrique de Clermont par l’inspection générale des affaires sociales (Igas), il a été constaté plusieurs dysfonctionnements qui viennent de faire trembler l’opinion public. Cet établissement, qui est considéré parmi les plus grands dans sa spécialité en France, vient d’être mis au centre d’un scandale de maltraitance et de conditions déplorables envers les patients internés. Il a été relevé que la directrice des lieux privait les malades de leurs droits les plus simples comme les sorties dans les cours et les promenades dans le jardin sachant que l’établissement possède un très grand espace vert.

Le document confidentiel, qui n’a jamais été publié de peur de créer la panique et le scandale, vient d’être procuré par nos confrères du quotidien Le Parisien. Selon le rapport rédigé par les inspecteurs de l’Igas, il a été relevé que les malades étaient maltraités et ne jouissaient d’aucune prise en charge adéquate. Il a été noté aussi, selon la même source, que les lumières dans les chambres restaient tout le temps allumées chose qui est complètement opposée aux droits de l’homme.

Les chambres sont sans sanitaire, chose qui oblige les patients à utiliser un seau hygiénique. La chose la plus déplorable dans tout cela est l’enfermement permanent de ces malades sans aucune possibilité de sortie. Les pratiques de soins ont aussi été mises en cause par l’Igas qui considère cette situation comme un abandon des patients. Il a été soulevé aussi que les médecins ne respectaient pas leurs engagements et ne se souciaient pas du bien être des malades. Après avoir constaté ces dysfonctionnements, la directrice de l’établissement a été remerciée et forcée à quitter ses fonctions et c’est un directeur Interim qui a pris sa place pour assurer les erreurs de l’ancien responsable. Selon les déclarations du nouveau directeur : " pour l’instant tout va bien et nous sommes en train de reprendre les choses en main pour une meilleure prise en charge ".

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 19:51

 

 

Il est intéressant de lire cet article car à part les deux lignes qui relatent à peine le suicide par pendaison d’une jeune fille, tout le reste se perd dans des « Ce n’est pas de notre faute mais celle de l’Etat français ».
Ce que j’aimerais savoir c’est ce que les psychiatres donnaient comme médicaments à cette jeune ado et comment elle était logée dans l’établissement psychiatrique.
De tout cela on n’en parle pas mais quand on voit que dans ce service les psy ont enfermé pendant un an un garçonnet de 10 ans pour qu’il ne se fasse pas violer par les autres patients, on peut se demander avec juste raison à quoi sert la psychiatrie, vous ne trouvez pas ?

 

Suicide d’une ado en psychiatrie : Taubira écrit au ministre de la Santé

Vendredi après-midi, une adolescente de 16 ans s’est suicidée, à l’hôpital psychiatrique de Cayenne

- Depuis plus d’un an, de multiples voix dénoncent l’hospitalisation d’enfants dans cette unité pour adultes.

Le drame que tout le monde redoutait s’est produit. Vendredi, vers 15 heures, une adolescente de 16 ans, s’est pendue à l’hôpital psychiatrique de Cayenne. Elle avait été admise dans ce service, alors même qu’il n’est pas fait pour accueillir des mineurs. Selon une source à l’hôpital, un autre mineur, âgé de 12 ou 13 ans, y aurait été pris en charge, il y a quelques semaines. Il ne se trouve plus dans ce service.

20 janvier. « On court à la catastrophe »

Depuis plus d’un an, la députée Christiane Taubira tire la sonnette d’alarme et relance les responsables de la politique de santé à ce sujet. Se disant « saisie d’une tristesse sans fond », la députée de la première circonscription a écrit, ce matin, au ministre de la Santé Xavier Bertrand. Elle lui rappelle qu’elle lui a proposé « avec insistance eu égard à l’urgence, deux alternatives qui auraient permis de répondre aux besoins immédiats en attendant les aménagements que vous annonciez pour 2013 » : s’entendre avec les cliniques Saint-Paul et Véronique, dont tous les locaux ne sont pas utilisés, pour installer des lits réservés aux mineurs.

Le 20 janvier, des membres du personnel dénoncent dans France-Guyane l’admission fréquente de mineurs. « On en voit défiler souvent » , disent-ils. Certains restent plusieurs mois. « Le problème, c’est que même s’il existe au sein du service des gens compétents, on n’a pas les moyens de s’occuper sérieusement des jeunes. »
Au même moment, Marie-Rose Gober, de l’UTG, défend la même position : « Un service d’adultes n’est effectivement pas adapté pour les mineurs, et cela crée des problèmes aussi bien pour les patients que pour le personnel. » Le directeur de la Protection judiciaire de la jeunesse, Jean-Michel Boulègue, embraye : « Si on ne fait pas quelque chose maintenant, on court à la catastrophe. » Les solutions ne sont pas arrivées, la catastrophe si.

26 janvier. « C’est ingérable »

Une semaine plus tard, Michel Desvilles, chef du service, admet que la situation devient parfois « ingérable » .
Il regrette que sa spécialité n’ait pas été retenue parmi les priorités du plan régional de santé et dit attendre la création de douze lits d’hospitalisation pour les 12-16 ans pour 2013. La promesse, émanant du ministère de la Santé, date de février 2007 24 mars. « Ces enfants courent un danger »
En mars, c’est Dominique Versini, la Défenseure des enfants, qui met les pieds dans le plat Elle révèle qu’en quatre ans, « près de 120 mineurs » ont été hospitalisés avec des adultes en psychiatrie, à Cayenne. Elle poursuit : « Le dévouement exemplaire des médecins psychiatres et du personnel soignant ne peut pallier le danger que courent ces enfants durant leur hospitalisation. Nul doute que si le jeune B. (un garçon de 10 ans admis dans le service il y a un an) devait être victime d’atteintes sexuelles ou de violences durant son hospitalisation, la responsabilité des pouvoirs publics serait directement engagée. »

1er juin. « Agressions sexuelles »

Ces agressions sexuelles, évoquées sous couvert d’anonymat par des salariés dans nos colonnes, sont confirmées en mai par l’Inspection générale des affaires sociales Les auteurs déplorent « le sort d’un jeune garçon autiste de 11 ans, placé sous contrôle de l’Aide sociale à l’enfance, hospitalisé en unité fermée dans un service de psychiatrie adulte, faute d’autre solution. Ce garçon a été victime de violences, puis d’agressions sexuelles de la part d’autres patients.
Pour le protéger, les personnels l’ont enfermé en chambre sécurisée, en réalité une cage grillagée qui a été construite au milieu de l’unité pour le protéger des autres malades.
Au bout d’un an, une place a été trouvée en pédopsychiatrie dans un autre département et la cage a été détruite. »

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 19:50

C’est fou les excuses que peu trouver la psychiatrie pour excuser son inhumanité. J’enrage. (webmaster)

Pas assez de lits à l’hôpital: l’ado anorexique dort par terre

Cette adolescente de 14 ans a été admise fin janvier au service de psychiatrie juvénile de la Fondation Lenval, un établissement hospitalier de Nice, dans les Alpes-Maritimes.
Une admission pour des problèmes d’anorexie.

Et, durant quatre semaines, l’adolescente a dormi par terre, sur un matelas posé à même le sol, car le service ne disposait pas de lit pour accueillir la jeune fille, selon LCI.
C’est seulement quand un autre malade a quitté le service que la jeune patiente a pu enfin dormir dans un lit.

Le beau-père de l’adolescente a précisé au micro de France Bleu Azur que «lorsque nous nous sommes étonnés de cette situation auprès du personnel, on nous a répondu que le service manquait de lits et qu’il fallait attendre.»

Le directeur de la Fondation Lenval a précisé qu’il ne pouvait «ni confirmer ni infirmer ce cas précis», précise LCI.

Ajoutant toutefois qu’il arrivait «assez régulièrement à l’établissement de manquer de lits au point de devoir trouver des solutions.»

Le directeur semble toutefois étonné par la durée de la situation:

«Quatre semaines me paraît énorme».

Pour Bernard Lucat, il est certain que «s’il faut choisir entre refuser l’admission d’un adolescent en danger et le recevoir dans des conditions hospitalières déficientes, j’assume la seconde solution.»

Le service de pédo-psychiatrie de Lenval est l’unique établissement des Alpes-Maritimes à recevoir des adolescents en urgence.

Et il ne dispose que de vingt lits…

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 19:48

 

 

La psychiatrie une fois de plus nous montre sa manière particulière pour faire de l’argent. Qui paye pour ces gens qui sont interné depuis plus de quatre ans ?
Il y a des places vides alors les psychiatres gardent ces personnes dans leur service pour faire de l’argent. Ainsi l’argent continue a rentrer au dépends des patients qui seraient bien mieux dehors. (Webmaster)

Coincés à l’hôpital depuis quatre ans

Deux patients ont littéralement élu domicile au département de psychiatrie de l’Hôpital Jean-Talon où ils sont hébergés depuis plus de quatre ans. L’un deux a même voté aux élections au moins à deux reprises.

Selon ce que le Journal a appris, les «pensionnaires» vivent à cet endroit depuis plus de 1 530 jours parce qu’on n’a pu leur trouver une place ailleurs. Ils y ont leurs habitudes et sont bien connus du personnel de l’hôpital. L’un d’eux descend régulièrement du huitième étage pour aller fumer à l’extérieur.
Pourtant, le département de psychiatrie de Jean-Talon est prévu pour accueillir des patients en crise et pour les héberger seulement de façon temporaire.
Il faut dire qu’ils sont traités aux petits oignons. Ils ont accès à une salle d’activités, une technicienne en loisirs et ont une chambre bien à eux. Ils peuvent circuler comme bon leur semble dans le département.
«On ne met personne dehors»
Sans vouloir parler directement de ces cas, la direction reconnaît que «la situation s’allonge» pour cinq ou six patients. Alors que la plupart des malades restent quelques semaines, ces derniers sont présents dans l’établissement depuis six mois ou plus.
«On ne met personne dehors. Plus une personne a besoin d’une ressource avec des soins spécialisés, plus le nombre de places est restreint», dit le directeur des programmes à la santé mentale, Gérald Lambert.
Ces patients nécessitent des soins importants et les démarches pour les placer ailleurs n’ont pas été fructueuses jusqu’ici. Il faut dire que le patient peut refuser un transfert d’institution. «On doit tenir compte de sa volonté. Ils ont parfois des réserves ou créent des liens avec le personnel infirmier», dit Gérald Lambert.
Pics à l’urgence
Ces malades occupent toutefois des lits qui pourraient servir à des patients qui arrivent de l’urgence. «Il y a un bon roulement. C’est seulement une minorité. La majorité des trente lits ‘roulent’ bien.»
À quelques reprises dans l’année, il arrive toutefois que des pics d’affluence forcent des patients à séjourner plus longtemps à l’urgence faute de lits à l’étage.
Pour éviter ce genre de situation, le Centre de santé du Coeur-de-l’île développe présentement un programme de soins à domicile pour les patients en santé mentale. «On veut développer des services autres que l’urgence et l’hospitalisation. Les services en CLSC étaient particulièrement dégarnis.»
Pendant les travaux à l’urgence, les patients qui se présentent sont placés dans une salle au troisième étage où il n’y a pas de fenêtre donnant sur l’extérieur.

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 19:46

Effexor en forte dose, mais il faut bien se rendre à l’évidence je n’y arrive pas alors, il faut que j’essaie ce traitement. En même temps, il me dit de consulter une psy super bien, elle est géniale. C’est une femme et pas à l’hosto, alors !

 

Bon, j’oublie un moment toutes mes déceptions, ma révolte, en rejetant la faute sur mon comportement, et en me promettant de faire des efforts pour m’exprimer. 

 

Je prends donc ces pilules, et je prends ce rendez vous chez la super géniale psy dans plus de deux mois, mais bon il n’y a pas de place avant. En même temps cela me laisse du temps pour me calmer.

 

Le premier rendez vous se passe plutôt bien, en effet elle parle, me pose quelques questions, sur le traitement me disant qu’il ne fallait pas que je prenne tant de médocs quand même, elle me dit que le doc y avait été un peu fort, bon ! Il me semble que le courant passe bien, ok 55 Euros, fichtre  mais bon.

 

Deuxième rendez vous, un mois plus tard, 14h je rentre dans le cabinet, bonjours vous allez bien ? sans attendre ma réponse, elle saute sur son agenda pour trouver une date pour le prochain rendez vous, cela me semble compliqué, elle tourne les pages dans tous les sens, dans un bruit de claquement que font les feuilles, comme les battements d’ailes d’un oiseau qui voudrait se sauver d’un piège, elle tourne et retourne les pages, bon enfin au bout d’un long moment elle me trouve enfin une petite place, je me sens gênée, j’ai vraiment l’impression de l’embêter, je me dis non, après tout je ne vais pas me laisser déstabiliser, là je paie alors je ne vais pas me laisser ébranler.

 

14 h 05, bon ça commence, alors comment allez vous ? vous prenez bien votre traitement ? Oui bien sur, que je le prends bien, vous dormez bien ? non pas trop, ah bon elle dit en faisant une grimace pour appuyer son bon !

 

14h10 le traitement ça c’est fait, le prochain client vient de sonner à la porte, bon sinon comment ça va ? elle me demande pour la troisième fois, es ce qu’elle va me laisser le temps de répondre cette fois ci.

 

Elle enchaine direct, alors vos journées se passent comment ?qu’es ce que vous faites ? vous mangez bien ? et bla bla bla , je peux pas en placer une.

 

Bon ce n’est pas la peine, elle est soit énervée, soit fatiguée, mais bon ! Cela fait un  mois que j’attends ce rendez vous, elle me dit de faire mon chèque pendant qu’on parle, et mais moi je parle pas, je vous signale, vous ne me laissez même pas le temps d’en placer une, 44 Euros, le chèque hein, ok, bon on se revoit le mois prochain, et ZUT je n’ai pas tout compris encore.

 

Je continue, je prends sagement mes pilules, le temps passe jusqu’au prochain rendez vous et coucou me revoilou,

 

Elle vient me chercher dans la salle d’attente avec son petit chiot, il est vraiment mignon, elle m’explique qu’elle vient de l’avoir, qu’elle le garde avec elle pour qu’il ne reste pas seul, il me fait la fête, me tourne autour il a envie de jouer elle essaie de le mettre dans son panier, il résiste un moment, c’est marrant, mais bon le temps passe.

 

Il faut qu’on fixe un prochain rendez vous et revoilà l’envol de l’agenda, ça va ? Elle me dit tout en fouillant frénétiquement dans son carnet, un œil sur son chiot, que je préfère ne pas la troubler toute cette frénésie pendant qu’elle cherche car si je lui parle en plus elle ne trouvera pas. Putain elle a une vie stressante quand même, oui super psy, super speed.

 

Et re, ça repart comme l’autre fois, elle me questionne sans attendre les réponses, traitements et tout i quanti, j’en reste bouche bée et c’est le cas de le dire.

Bon 44 Euros, pour trouver le prochain rendez vous cela fait cher quand même, bon j’ai vu un petit bout de chien super mignon et me voilà reparti dans mes pénates.

 

De qui est ce sketch déjà, je vais pas mieux, mais mon psy oui, il se fait construire sa résidence secondaire.  Enfin, quelque chose comme ça.

 

Quatrième rendez vous, le petit chiot à grandit, elle me prend en retard il fallait qu’elle le sorte, bon pas grave, je vais pas en faire une histoire,  juste le temps de faire rentrer le chien dans son panier, lui mettre ses jouets, de choper l’agenda, tout en me disant que je pouvais faire le chèque pendant ce temps, pour gagner du temps, et là, j’ai compris, que le chien était plus important, que le client suivant attendais déjà, question traitement, question sommeil, question repas, et au revoir, comme d’ab j’ai pas pu en placer une, non mais c’est risible quand même je trouve, c’est un bon boulot psy finalement, la pauvre qu’elle vie de stress quand même, je la plaindrai presque.

 

Bon, ben madame la psy, je vous trouve vraiment beaucoup plus stressée que moi, je vois que vous êtes débordée, vraiment je m’en voudrais de vous déranger, bye, il faudrait peut être que vous pensiez à prendre des pilules vous aussi pour vous calmer, enfin je dis ça, je dit rien

 

Bon en attendant encore une histoire de psy en folie.

 

Ah non, au fait j’oublie toujours la tarée c’est moi.

 

Faut quand même ne pas en faire toute une histoire, QUAND MEME

 

Mais bon, une fois de plus, je me retrouve seule, enfin si on peut dire parce que ce n’est pas ce que l’on a partagé qui va me manquer, il ne faut pas être fou.

 

 

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 19:44

 

 

Cet article est étonnant car il montre bien l’incapacité de la psychiatrie à soigner.
On y explique qu’en vingt ans 50 000 lits ont été fermés. Cela veut donc dire qu’il y a vingt ans il y avait 50 000 lits de plus et que malgré cela il n’y avait pas de résultat. Je n’en veux pas aux infirmiers psychiatriques qui essaient de faire leur travail au mieux de leur pauvre formation je pense mais aux psychiatres qui clament haut et fort qu’il faut plus d’argent. La psychiatrie en a et en a toujours eu, donné gracieusement par nous, par l’Etat et malgré ça le seul résultat est de faire augmenter de façon vertigineuse la vente de médicaments psychotropes. Nous pouvons voir actuellement dans l’affaire Servier Médiator dans quelles conditions ces produits sont mis sur le marché. Voila le résultat de la psychiatrie, enrichir les fabricants de produits pharmaceutiques et les psychiatres en même temps.
Et les patients me direz-vous ? Eh bien ceux-ci ne sont visiblement que du matériel qui rapporte de l’argent tout comme Peugeot fabrique des voiture sans s’occuper de ce que pensent les pneus ou l’acier. Voilà ce que sont les patients. Plus d’argent clame les psychiatres, mais ce n’est pas la bonne chose à faire car rien ne changera tant que les méthodes de soins psychiatriques ne seront pas complètement changées, de fond en comble, tant que les fameux diplômes accrochés au-dessus de leur bureau n’auront pas été décrochés et remplacés par un panneau de statistiques montrant combien de patients tel ou tel psychiatre a réellement sauvés. Voilà ce que devrait être un diplôme psychiatrique, des statistiques faites par des organismes indépendants mais allez leur proposer cela et vous les entendrez crier comme si on les égorgeait. Pourtant j’aimerais tellement que notre Président de la République les oblige à afficher leurs résultats car à partir de ce moment-là enfin les choses changeraient !

 

Comme en boomerang, l’affaire réveille toutes les plaies de la psychiatrie. Le meurtre d’un jeune homme en pleine rue, mercredi 12 novembre, par un patient schizophrène échappé de l’hôpital psychiatrique de Grenoble, a secoué les équipes soignantes en santé mentale. Comme après l’affaire du double meurtre de Pau, en 2004, commis par un ancien patient de l’hôpital psychiatrique de la ville, médecins et soignants témoignent de la crise profonde de leur discipline. « On ne parle de la psychiatrie que quand il y a des faits divers, s’alarme Séverine Morio, infirmière à l’hôpital parisien Maison-Blanche. Mais c’est toute l’année que nous sommes en difficulté. On organise les ruptures de soin en faisant sortir trop tôt les patients, et ensuite on s’étonne qu’il y ait des passages à l’acte… »
Le drame de Grenoble intervient dans un contexte de crise latente, les appels à la grève se multipliant dans les services de psychiatrie. A l’hôpital de la Conception à Marseille, une équipe a observé un mois d’arrêt de travail, en octobre, pour refuser l’arrivée d’un patient réputé très violent ; le 6 novembre, une centaine de salariés de l’hôpital Saint-Jean-de-Dieu, à Lyon, ont débrayé pour protester contre l’agression d’une infirmière par un patient qui ne voulait pas sortir de l’hôpital ; mardi 18 novembre, des soignants des hôpitaux parisiens de Sainte-Anne, Esquirol et Maison-Blanche observaient également une grève pour « lancer l’alerte sur la dégradation de la psychiatrie en France ».
De fait, malgré l’effort consenti par l’Etat au titre du plan santé mentale 2005-2008 (plus d’1,5 milliard d’euros consacrés surtout aux rénovations d’établissement), les hôpitaux psychiatriques sont soumis à une forte contrainte financière.
En vingt ans, 50 000 lits d’hospitalisation ont été fermés, sans que les structures alternatives de prises en charge (appartements et centres d’accueil thérapeutiques) aient été ouvertes en compensation. Comme les hôpitaux généraux, les hôpitaux psychiatriques doivent répondre aux impératifs de gestion médico-économique, qui imposent de rentabiliser au maximum les lits disponibles : « Résultat, on pratique de plus en plus une psychiatrie de turnover, de portes tournantes », s’insurge Nadia Missaoui, syndicaliste CGT à Maison-Blanche.
Les soignants souffrent de ne plus pouvoir s’occuper suffisamment de leurs patients. « Le mot d’ordre, c’est des hospitalisations de plus en plus courtes, de quelques jours seulement, alors que les traitements mettent trois semaines à agir, explique Mme Morio. Du coup, on met dans la rue des patients pas encore stabilisés et qui ne savent pas où aller. » Il n’est pas rare que les soignants retrouvent leurs patients sur le trottoir, alcoolisés et délirants… avant qu’ils ne décompensent à nouveau et soient renvoyés à l’hôpital. « Le matin, on est rivés à nos plannings pour savoir quel patient on va pouvoir faire sortir parce qu’il y en a trois qui attendent dans le couloir, dénonce Agnès Cluzel, de l’hôpital Bichat. Et quand ils sortent, ils n’ont souvent que le numéro du SAMU social dans la main. »
En face, les familles ont souvent un sentiment d’abandon. « Beaucoup de malades mentaux sont hors de tout soin, s’alarme Anne Poiré, écrivain, auteur d’Histoire d’une schizophrénie, Jérémy, sa famille, la société (éd. Frison-Roche). Les patients viennent d’eux-mêmes à l’hôpital et on ne les soigne pas. On est dans une situation de déni de soin et de non-assistance à personne en danger. » Mme Poiré relate le cas d’une jeune femme qui avait fait une bouffée délirante. Sortie contre son gré de l’hôpital public, elle s’est présentée dans une clinique privée qui a refusé de la prendre et l’a renvoyée vers l’hôpital d’où elle venait. Sur le chemin, elle s’est suicidée.
Dans ce contexte, l’annonce par Nicolas Sarkozy, au lendemain du drame de Grenoble, d’un durcissement de la loi de 1990 sur l’hospitalisation sans consentement est perçue avec inquiétude par les soignants. Le président de la République veut créer un fichier des personnes hospitalisées d’office et durcir leurs conditions de sortie. « Nous sommes tous favorables à une réforme, mais nous refusons l’exploitation éhontée d’un fait divers pour servir la cause sécuritaire, s’insurge Norbert Skurnik, président du Syndicat des psychiatres de secteur. Qu’une population aussi inoffensive que les schizophrènes soit stigmatisée est inadmissible : ce sont nos patients qui sont en danger par manque de soins, pas l’inverse ! »
Pourtant, la psychiatrie est loin de rester sourde aux injonctions sécuritaires. Confrontées à des patients agressifs du fait d’un défaut de prise en charge, les équipes recourent de plus en plus à la contention et aux chambres d’isolement. A côté des cinq unités pour malades difficiles (UMD), réservées pour des séjours de six à douze mois, se créent aujourd’hui des unités de soins intensifs psychiatriques (USIP) pour de plus courts séjours : l’hôpital recrée en son sein les murs qu’il a tenté d’abolir au début des années 1980.

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 14:04

 

Vous n’êtes pas le ou la seule, à avoir subi des abus psychiatriques. De nombreuses personnes en France sont dans votre cas et se battent pour que cela cesse.

Si vous avez été victime d’un abus ou d’un crime en psychiatrie ou par un psychiatre, voici ce que vous pouvez faire :

Souvent des femmes ou des hommes, parfois des jeunes gens, m’écrivent pour me dire qu’ils, ou elles, ont été abusés, meurtris dans leur chair par la psychiatrie et les psychiatres.
Parfois quelqu’un se plaint avec force que son conjoint est mort à cause d’électrochocs que des psychiatres ont donnés contre l’avis du couple et que le résultat a été la mort de la personne « soignée ».
Quelquefois des jeunes femmes m’écrivent qu’elles on été violées par des psychiatres.

D’autres m’écrivent pour m’expliquer que ces psy… leur ont donné des médicaments qui furent désastreux pour leur santé et qu’ils en font maintenant les frais à cause des effets à retardement.
Une seule question revient sans cesse dans les écrits que je reçois :

« Que puis-je faire pour me faire entendre et pour que cela cesse.»

La psychiatrie est une organisation qui cherche par tous les moyens à contrôler les hommes, les femmes et également les enfants, mais vous devez savoir avant tout que malgré leur assurance, qu’elle ne repose sur aucune science et qu’elle n’est pas reconnue par elle comme telle.
Les psychiatres crient haut et fort qu’ils s’occupent de soigner le mental mais c’est faux car ils ne font que donner des médicaments qui, malgré la publicité intempestive qui est faite, ne guérisssent pas. Si d’un coup de baguette magique on pouvait enlever les maux qui parfois nous taraudent l’âme, cela se saurait

 

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 19:19
    

 

 

MédicamentsArgent, mensonges et psychiatrie : Quand la psychiatrie et les laboratoires s’entendent à nos dépens...

 

La grippe H1N1 un scandale ? A peine une peccadille, une broutille par rapport au gigantesque système mis en place par l’industrie pharmaceutique et la psychiatrie pour extorquer des milliards d’euros chaque année aux gouvernements et aux assurances sociales. Un système bien rodé qui sévit depuis des dizaines d’années mais dont on commence seulement à prendre conscience. Quel est ce système qui permet à l’industrie psychiatrique mondiale d’engranger  330 milliards de dollars chaque année ? 

 

 

 Pour Philippe Even, ancien doyen de la faculté de médecine de l’hôpital Necker, les choses sont claires. Tout d’abord, avant de promouvoir un médicament, il faut le mettre sur le marché, et donc obtenir des autorisations des agences du médicament, comme l’AFSSAPS en France. Les experts qui travaillent pour les laboratoires et les experts qui doivent décider si un produit pourra être mis en vente sont souvent les mêmes.

Aux Etats-Unis, au sein de l’organisme en charge de l’autorisation de mise sur le marché des médicaments, la Food and Drug Administration (FDA), la totalité des experts d’un comité d’évaluation des neuroleptiques, une catégorie de drogues psychiatriques puissantes, était liée à l’industrie pharmaceutique. Est-ce différent en France ? Le Professeur Even n’hésite pas à mettre en cause directement les experts de l’AFSSAPS, l’équivalent français de la  FDA.

 70% des experts reconnaissent explicitement ou implicitement des liens avec l’industrie pharmaceutique. 5% possèdent des actions dans ces entreprises. Comment dès lors s’étonner que des produits qui se révèlent nocifs à l’usage passent facilement les tests d’approbation. En plus de la corruption des experts, les résultats des études réalisées par les laboratoires  afin d’évaluer la dangerosité des médicaments sont souvent faussées.

Une des ces stratégies consiste à tester les médicaments uniquement sur des hommes d’âge moyen en pleine forme physique. Cette catégorie étant peu sensible aux effets secondaires, les résultats apparaissent positifs alors que les mêmes médicaments une fois prescrits vont avoir des effets négatifs importants sur des enfants, des personnes âgées ou des personnes physiquement affaiblies.

 Une autre stratégie consiste à occulter des résultats, les cas d’effets secondaires observés sur des personnes n’ayant pas terminé l’étude.  Ainsi, un ancien employé d’un grand laboratoire affirme que lors d’une étude sur un antidépresseur, près de 30% des personnes testées avaient cessé de prendre leur pilule à cause des effets secondaires ressentis. Dans les conclusions, les effets secondaires officiellement rapportés ne tenaient pas compte des personnes ayant abandonnées, ce qui faussait complètement le résultat.

Enfin, il existe un moyen couramment utilisé pour tromper les agences de médicaments. Cette méthode consiste simplement à occulter complètement les études négatives. Le laboratoire américain Elly Lilly, qui fait parler de lui en ce moment à cause d’une vidéo sulfureuse, a par exemple caché des études montrant la dangerosité de son antidépresseur vedette, le Prozac. Le psychiatre David HEALY directeur du département de médecine et psychologie à l’université de Galles du Nord, a montré que la firme était au courant des risques suicidaires avant que le Prozac ne soit mis sur le marché (1987 aux USA, 1989 en France).

En 2002, David HEALY affirmait que 25.000 personnes s’étaient suicidées à cause du Prozac.

Combien d’autres ont-elles commis l’irréparable depuis, sans compter les nombreux crimes imputés aux effets de ces molécules ?

Ainsi se dessine l’anatomie du pacte du Diable entre les psychiatres et les laboratoires pharmaceutiques : mensonges et corruption, du développement à la commercialisation de produits dangereux. Résultat, 76 .000 morts attribués aux effets secondaires des psychotropes depuis 10 ans d’après une étude statistiques de la Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme réalisée à partir du pourcentage de décès connus par rapport à la totalité des prescriptions effectuées.

Il existe un autre aspect dans ce pacte du Diable, encore bien plus dangereux et inquiétant pour l’avenir de notre société. Cet aspect se résume par une formule bien connue : pour vendre un médicament il faut vendre une maladie. La psychiatrie et l’industrie pharmaceutique ont compris que si chaque comportement pouvait être redéfini comme une maladie mentale, il serait alors possible de vendre des quantités considérables de psychotropes censés modifier les comportements. C’est ainsi que l’on a vu se multiplier le nombre de « troubles mentaux ». Ces derniers sont répertoriés depuis 1952 dans le DSM, Diagnostic Statistical Manual, un ouvrage publié par l’Association Américaine de Psychiatrie, véritable bible mondiale de la psychiatrie.

En 1952, la première version du DSM recensait 112 troubles. En 1968, une nouvelle édition comptait 182 troubles. Aujourd’hui, nous en sommes à la quatrième édition et à 374 troubles mentaux recensés.

Ainsi, par exemple, la timidité est devenue le trouble d’anxiété sociale (SAD) et il existe bien sûr un antidépresseur supposé le traiter. Ce n’est qu’un début. En 2012, va sortir la cinquième édition du DSM. De nouveaux troubles devraient y faire leur apparition. Ainsi, le trouble de l’acheteur compulsif, le syndrome d’aliénation parentale, le trouble explosif intermittent (colère), le trouble d’alimentation excessive et le trouble relationnel devraient tous faire partie des maladies mentales à traiter.

Les laboratoires et les psychiatres s’associent pour promouvoir ces nouvelles « maladies » et proposer un « traitement » psychotrope  lucratif. Un psychiatre américain a touché 1,6 million de dollars de la part d’un grand laboratoire pour avoir promu la diagnostic de trouble bipolaire. Considéré comme très rare dans le DSM3, avec 1 personne touchée sur 1000, il est bizarrement devenu très courant avec désormais 1 personne sur 10 qui en souffrirait. On peut être amené à penser qu’il y a une épidémie de maladie mentale.  Il y a en fait une épidémie de psychiatrie. Les maladies sont inventées, promues, les médicaments sont testés et mis sur le marché dans la corruption et la dissimulation, d’autres psychiatres assurent la promotion de la maladie et de son traitement.

Tel est le pacte du diable au complet qui se traduit par des milliers de morts chaque année pour les plus grands profits des laboratoires et des psychiatres. Un système diabolique qu’il va bien falloir un jour démanteler si on ne veut pas que la vie elle-même devienne un trouble mental et que nous nous retrouvions tous sous camisole chimique. Un cauchemar qui pourrait devenir une réalité.

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 10:41

Une idéologie destructrice s’est imposée dans nos écoles

Dans son roman Le meilleur des mondes, publié en 1932, Aldous Huxley dépeint une société « utopique » mais totalitaire, une société folle et obsédée par le contrôle. C’est une civilisation contrôlée, qui utilise, comme Huxley l’expliquait, la « technique de suggestion par le conditionnement des enfants et, par la suite, à l’aide de drogues. »

En 1967, un groupe de psychiatres et de docteurs de premier plan se sont réunis en congrès à Puerto Rico pour discuter d’un projet qui leur tenait à cœur, à savoir l’utilisation des psychotropes sur les « hommes normaux » à l’horizon des années 2000. Il ne s’agit pas là d’une suite du roman de Huxley, mais bien de la réalité. Ces médecins établirent en fait un plan qui prévoyait la fabrication de « substances grisantes » qui créeraient la même attraction que l’alcool, la marijuana, les opiacés et les amphétamines en créant une « dissociation et une euphorie ». Mais aussi la fabrication de médicaments psychotropes « pour améliorer la capacité d’apprentissage de l’individu, qui modifieraient l’ensemble du processus éducationnel de telle manière que le temps consacré [à l’éducation sur n’importe quel sujet] puisse être largement réduit et le champ éducatif élargi pour y insérer une “éducation du caractère”. »

Le congrès de Puerto Rico concluait que « les psychotropes avaient un point commun avec la nouvelle pensée utopique : ils peuvent tous deux apporter une sensation de stabilité et de certitude, que celle-ci soit réelle ou non. » Le rapport final déclarait également, « Ceux d’entre nous qui travaillent dans ce domaine entrevoient un potentiel croissant pour un contrôle quasi total des émotions humaines, du fonctionnement mental et de la volonté d’agir. Ces phénomènes humains peuvent être suscités, arrêtés et éliminés par l’utilisation de différents types de substances chimiques. Ce que nous pouvons produire avec notre science affectera maintenant la société tout entière. »

Le congrès prédisait également que « le champ actuel d’utilisation des psychotropes est sans doute ridicule comparé au nombre de substances chimiques qui seront disponibles pour le contrôle des différents aspects de la vie humaine en l’an 2000. » [souligné ajouté]. Aujourd’hui, avec plus de 20 millions d’enfants dans le monde sous l’emprise des psychotropes, et l’utilisation presque exclusive de programmes scolaires basés sur la psychologie. Le meilleur des mondes d’Huxley est une réalité.

Cette réalité a été renforcée avec la publication du rapport sur la santé mentale de la Commission américaine Nouvelle liberté sur la santé mentale, qui recommande le « dépistage » systématique des « maladies mentales » chez les 52 millions d’écoliers et d’étudiants américains. Celui-ci prétend que — sans avancer la moindre preuve — « la détection, l’évaluation et le traitement précoces », permettront de « prévenir l’aggravation des problèmes de santé mentale ». « Traitement », au final signifie « psychotropes » — habituellement, les plus onéreux, ceux qui créent des patients chroniques pour l’industrie de la santé mentale — la facture étant payée au final par les agences gouvernementales et les compagnies d’assurances.

Des questionnaires de dépistage basés sur le contrôle comportemental sont déjà utilisés dans de nombreux systèmes éducatifs. Ils comprennent généralement des questions particulièrement intrusives telles que « À quel point pensez-vous que les parties génitales de vos parents sont poilues ? » ou encore « Avez-vous (ou quelqu’un dans votre famille) déjà été violé ou avez-vous subi une agression sexuelle ? ». Les personnes chargées de faire remplir ces questionnaires ont parfois recours à des formes d’ « encouragements », sous forme de bons d’achat, de vidéo gratuites ou de « coupons de nourriture », afin d’obtenir le maximum d’autorisations parentales. La plupart des parents ne sont pas conscients que leur enfant est soumis à une évaluation. Les écoles reçoivent des consignes pour employer des « praticiens agréés » disposant d’une « assurance pour fautes professionnelles ».

Confrontée à ce dépistage psychiatrique généralisé, Vera Sharav, de l’Alliance pour la protection de la recherche humaine (AHRP) a déclaré que « cette initiative douteuse est une violation de la vie privée, qui ne laisse aucune place pour le choix individuel ni liberté pour les parents de refuser que leurs enfants soient placés sous drogues psychotropes. De tels programmes de dépistage obligatoires, approuvés par le gouvernement, sont en contradiction avec les libertés fondamentales existant dans une société démocratique. »

Les enfants à travers le monde font l’objet d’attaques extrêmement dangereuses. Sous prétexte d’améliorer l’état de santé mentale et l’éducation en général, les parents et enseignants sont eux aussi abusés. Les résultats sont accablants :

  • Rien qu’aux États-Unis, 1,5 millions d’enfants et d’adolescents sous antidépresseurs courent un risque inhérent aux effets « secondaires » de ces « médicaments », à savoir la violence ou même le suicide.
  • Le taux de réussite de l’éducation s’est effondré depuis l’introduction des programmes d’éducation à base psychologique.
  • Depuis les années 60, le taux de crimes violents pour les moins de 18 ans aux États-Unis a augmenté de plus de 147 % ; et les infractions pour abus de drogue de plus de 2900 %.
  • Le taux de crimes violents, en Europe, Australie et Canada, a commencé à égaler et à surpasser celui des États-Unis.

Nous sommes convaincus que c'est à travers l'héritage que nous léguons à nos enfants que notre société survivra ou non. Cette publication a été écrite pour informer tous les parents qui cherchent à assurer une éducation de qualité à leurs enfants, afin de leur donner toutes les chances pour réussir dans la vie. Elle est également destinée aux enseignants travaillant dur, motivés par l’amour et le bien-être des enfants. En fait, cette publication concerne tous ceux qui comprennent instinctivement que les enfants ont non seulement besoin d’amour et de protection, mais qu’ils représentent la vie d’aujourd’hui ainsi que celle de demain.

Cette lecture pourra vous sembler difficile ou vous rendre mal à l’aise, mais il faut persister car, en fin de compte, les enfants ont besoin de votre aide et de votre protection, et cela de toute urgence. C’est notre futur qui est en jeu. Votre aide est nécessaire.

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