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12 mai 2013 7 12 /05 /mai /2013 18:19
Illustration médicaments, le 23 octobre 2009.

Illustration médicaments, le 23 octobre 2009. PureStock/SIPA

SANTE - L'hebdomadaire allemdan Der Spiegel révèle cette information dans son édition de ce dimanche...

Plus de 50.000 personnes de l'ex-Allemagne de l'Est communiste ont servi de cobayes pour les groupes pharmaceutiques occidentaux, souvent à leur insu et certains y laissant la vie, selon un article de l'hebdomadaire allemand Der Spiegel paru dimanche. Au total ce sont plus de 600 études dans 50 cliniques, qui ont été menées jusqu'à la chute du Mur de Berlin en 1989, détaille Der Spiegel, qui se base sur des documents inédits du ministère est-allemand de la Santé, ainsi que de l'Institut allemand des médicaments.

Deux morts à Berlin-est

Ces dossiers font apparaître deux morts à Berlin-est lors d'essais concernant le Trental, un produit améliorant la circulation sanguine développé par le groupe ouest-allemand Hoechst (fusionné depuis avec Sanofi), ou encore deux morts près de Magdebourg lors d'essais d'un médicament contre la tension pour Sandoz, racheté depuis par le groupe suisse Novartis. Bien souvent les patients n'étaient pas en état de donner un consentement éclairé, comme ces trente grands prématurés sur lesquels l'EPO a été testée à la demande d'un groupe ouest-allemand, à l'hôpital berlinois de la Charité, ou les alcooliques en plein delirium tremens à qui on a donné du Nimodipin de Bayer, qui améliore la circulation sanguine cérébrale.

Les laboratoires offraient jusqu'à 800.000 Marks ouest-allemands (environ 400.000 euros) par étude, poursuit Der Spiegel. Interrogés par Der Spiegel, les entreprises concernées ont souligné que ces faits remontaient à fort longtemps et qu'en principe, les tests de médicaments obéissent à des protocoles très stricts. La fédération des chercheurs des industries pharmaceutiques ne voit, quant à elle, «pour le moment aucune raison de suspecter que quoi que ce soit ait été irrégulier», conclut Der Spiegel. La télévision publique régionale allemande MDR avait déjà révélé à l'été 2010 l'existence de ces tests sur des cobayes est-allemands, mais il n'était alors question que de 2.000 patients sur lesquels avait été testé l'antidépresseur Brofaromin, d'une filiale de Novartis.

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11 mai 2013 6 11 /05 /mai /2013 12:11

 

     
 

18 avril 2013

« Le Conseil de l Ordre des médecins sera supprimé.» Cette mesure figurait en 1981 parmi les 110 propositions de François Mitterrand, candidat à l élection présidentielle. Trente-deux ans après, le puissant et secret Conseil national de l Ordre des médecins n a pas disparu, bien au contraire.
À quoi sert cet Ordre ? Qui se cache derrière cette institution, née sous le régime de Vichy ? Pour la première fois, une enquête journalistique s intéresse à la caste très fermée qui règne sur un secteur vital pour les Français : la santé. Elle révèle son incroyable pouvoir sur le quotidien des praticiens (un véritable droit « de vie ou de mort » pour l exercice de leur métier), comme sur les plaintes des citoyens visant le corps médical, traitées par une justice à deux vitesses.
René Chiche relate aussi les scandales qui compromettent l Ordre des médecins. Il dévoile ses méthodes et ses ressources financières, brisant enfin l omerta sur une institution que le grand public connaît très peu.
Et, pour le Conseil de l Ordre, toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire.
   
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11 mai 2013 6 11 /05 /mai /2013 12:08

Qui se cache derrière le Conseil de l'ordre des médecins, né sous le régime de Vichy ? René Chiche enquête sur la caste très fermée qui règne sur le secteur de la santé. Extrait de "Enquête sur les mandarins de la médecine" (1/2).


 

Irène Kahn-Bensaude est fortement embarrassée. Elle refuse de répondre sur un autre dossier qui ternit l’image du Conseil de l’Ordre des médecins depuis plusieurs années : l’affaire Hazout. Vice-présidente du Conseil national de l’Ordre et patronne du conseil départemental de l’Ordre de Paris, Mme Kahn-Bensaude, pédiatre et proche de Michel Legmann, ne souhaite pas s’exprimer sur la récente condamnation du conseil de l’Ordre parisien, intervenue en octobre 2012, par la cour administrative d’appel de la capitale. Dans le cadre du dossier Hazout, nom d’un gynécologue parisien mis en examen pour viols et agressions sexuelles sur six de ses patientes à la fin de l’année 2007, le conseil départemental de l’Ordre n’avait pas transmis au conseil régional de l’Ile-de-France et à sa chambre disciplinaire les lettres et courriers de plaintes dénonçant les agissements de ce docteur, dont certains remontaient à… 1985 ! Spécialiste reconnu de la médecine de reproduction, Hazout comparaîtra finalement lors d’un procès en assises après la décision de la cour d’appel de Paris du 18 octobre 2012, à peu près au moment où la cour administrative d’appel sanctionnait l’Ordre des médecins de Paris. Pour Me Claude Katz, avocat de plusieurs patientes, « le docteur Hazout a contesté la décision du juge de le renvoyer devant les assises. Il estime que ces femmes étaient consentantes et il a bénéficié d’une indulgence coupable. » Et, contrairement aux affirmations un peu trop assurées de Me Francis Szpiner, défenseur d’André Hazout, qui déclarait le 20 novembre 2007 que « cette affaire n’ira jamais aux assises », un procès aura donc bien lieu, courant 2013. Car si la première plainte date de 2005, les graves faits qui lui sont reprochés auraient en réalité débuté beaucoup plus tôt. Si elle ne veut pas communiquer sur la condamnation du conseil départemental de l’Ordre de Paris qu’elle préside, le docteur Irène Kahn-Bensaude a néan- moins reconnu dans le quotidien gratuit 20 Minutes du 18 octobre 2012 : « On a reçu des lettres de doléances en 1985 et 1986. Les patientes parlaient de bisous, de mains aux fesses… On lui a demandé de se tenir à carreau. » Apparem- ment, ces rappels à l’ordre n’auront pas suffi à calmer les ardeurs et les pulsions du gynéco. Et le nombre de ses vic- times ne se limiterait pas aux six patientes : au total, trente- cinq femmes se sont insurgées face au comportement intolérable et aux méthodes d’André Hazout. Mais les pre- miers faits répréhensibles du gynécologue remontant au début des années 1980, il y avait donc prescription pour la plupart d’entre eux. « Pourquoi cette affaire n’avait-elle pas éclaté au grand jour à l’époque ? s’interrogeait notre consœur Jessica Sinnan dans Le Journal des Femmes du 18 octobre 2012. Parce que le Conseil de l’Ordre des médecins semble avoir voulu régler l’affaire en interne. »

 

Rarement une affaire aura autant fragilisé et déstabilisé le corps médical. Avec un mélange de silence, de complaisance, de gênes ou de rumeurs. Pour l’un des policiers qui a participé à l’enquête sur le dossier Hazout, « ce gynécologue est peut-être une référence dans le monde de la médecine et dans sa spécialité, mais pour nous, c’est clair. Il a reconnu trois relations sexuelles, mais consentantes. Le plus incroyable, c’est qu’il ait été laissé aussi longtemps en liberté. » André Hazout, aujourd’hui âgé de soixante-dix-huit ans, a toujours nié farouchement ces viols et agressions tout en clamant son innocence et déclarant : « Je comprends que ces patientes se soient laissées entraîner par mon charme… Je ne pensais pas qu’elles m’idolâtraient à ce point. » Dès la mise en examen du docteur Hazout en novembre 2007, c’est la question du rôle tenu par le Conseil de l’Ordre des médecins qui a été dévoilée et, en particulier, l’inertie de cet ordre professionnel au niveau de ses instances départementales et régionales. Parmi les femmes qui avaient porté plainte contre ce spécialiste des problèmes d’infertilité, plusieurs avaient donc alerté l’Ordre des médecins dès la fin des années 1980 et le début des années 1990. En vain. Il faudra attendre le 19 octobre 2007 et la gravité des accusations pour que la justice interdise l’exercice de sa profession à André Hazout et le place sous contrôle judiciaire. Alors qu’il n’avait fait l’objet d’aucune poursuite disciplinaire de la part des différents conseils de l’Ordre, pas plus que ces derniers n’avaient alerté le parquet de Paris. Le médecin avait bien été auditionné par le conseil départemental de l’Ordre de Paris mais la procédure, vieille de plusieurs années, avait régulièrement mis à mal la volonté de dénonciation des plaignantes. Par ailleurs, au cours d’une perquisition au mois de juin 2007 dans les locaux du conseil de l’Ordre de Paris – dont Mme Kahn-Bensaude était à l’époque la vice-présidente – et ceux du conseil régional de l’Ordre, les enquêteurs avaient récupéré plusieurs plaintes en attente contre André Hazout, ainsi que des lettres le met- tant en cause. Et comme le racontait notre consœur Élise Vincent dans les colonnes du quotidien Le Monde du 22 novembre 2007, « une patiente du docteur Hazout a, elle, déposé plainte avec son conjoint médecin auprès du conseil de l’Ordre de Paris, en avril 2005. Parallèlement à l’examen de son dossier, le couple a déposé plainte au pénal en juillet 2005. Le mari s’est aussi lancé dans un appel à témoins sur des forums via Internet. Le docteur Hazout a alors porté plainte devant l’Ordre pour diffamation. Un an et demi plus tard, en jan- vier 2007, le conseil régional – l’instance décisionnaire – a décidé de surseoir à statuer sur le cas de la femme à cause de la procédure judiciaire en cours et a infligé à l’époux de la plaignante un blâme et 400 euros d’amende. »

Pour Me Claude Katz, l’avocat de plusieurs patientes et victimes d’André Hazout, « est-ce que le silence et l’absence de poursuites depuis de très nombreuses années de la part des instances ordinales médicales ne sont pas à l’origine de nombreuses agressions sexuelles du docteur Hazout ? » Au cours d’une audition en septembre 2007, face aux inspecteurs de la première division de la police judiciaire, le docteur Philippe Biclet, membre du conseil départemental de l’Ordre de Paris à l’époque et ancien membre du Conseil national, avait reconnu : « Il y a eu une mauvaise estimation de la situation dans ce dossier. Je pense que, lorsqu’il y a de nombreux courriers impliquant un médecin, comme c’était le cas pour le docteur Hazout, un suivi particulier doit être effectué. Mais nous sommes inondés par ce genre d’affaires et nous butons très souvent contre le manque de preuves. » C’est pour cette passivité et cette absence de réaction que le conseil départemental de l’Ordre des médecins de Paris a été condamné en octobre 2012. De nombreux toubibs étaient au courant, puisqu’au cours de leur instruction les enquêteurs ont déniché une plainte déposée il y a plus de vingt ans auprès de l’Ordre des médecins. Réponse du secrétaire général du conseil régional des médecins, en date du 18 janvier 1991 : « Cette affaire aura les suites qu’elle doit comporter. » Rien ne s’est passé, le dossier Hazout sera vite oublié tout comme un signalement auprès de la Direction générale de la santé qui aurait dû normalement être effectué. Pour Me Claude Katz, « ce silence est totalement incompréhensible, c’est incroyable ! Mais de quels soutiens, de quels appuis a pu bénéficier André Hazout durant toutes ces années ? » Il est vrai que face aux faits rapportés dans le dossier d’instruction qui a conclu à la tenue d’un procès aux assises en 2013, on ne peut que s’interroger sur l’attitude inexplicable de l’Ordre des médecins ainsi que du comportement ultra-corporatiste de nombreux praticiens, dont certains de très grand renom.

Extrait de "Enquête sur les mandarins de la médecine" (Editions du moment), 2013 .

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3 mai 2013 5 03 /05 /mai /2013 17:57

 

Fausse science et autisme

La science qui prétend qu’il n’existe pas de liens entre les vaccins et l’autisme est fausse. Alors que cette pseudo science continue de prospérer, les taux d’autisme n’arrêtent pas de croître. Les fabricants de vaccins sont protégés de tout risque de poursuite alors que des vies entières sont dévastées… et la fausse science continue de soutenir ce régime !
 
 
Par Jagannath Chatterjee, 28 avril 2013
 
C’est une épidémie mondiale d’autisme qui a véritablement a explosé ! C’est en mars 2013 que les Centres Américains de Contrôle des Maladies (CDC) ont déclaré que l’autisme affecte aujourd’hui 1 enfant sur 50 aux Etats-Unis. Le taux de croissance de l’autisme est terrifiant si on le compare au taux de 1970 dans le Wisconsin où, à l’époque, on relevait 1 cas d’autisme sur 14.857. Un cas d’autisme est actuellement diagnostiqué toutes les 20 minutes, ce qui en fait l’épidémie présentant la plus forte croissance de l’histoire. Comparativement à pareille croissance, celles du SIDA, du cancer et du diabète réunies semblent quasi dérisoires.
 
L’autisme est un handicap complexe qui se manifeste par des lésions cérébrales, des lésions intestinales, des troubles du sommeil, des allergies alimentaires, de l’épilepsie, des dysfonctions immunitaires, des modèles de comportement auto-destructeurs, des problèmes de communication et d’absence de réactions.
 
Les premiers écrits sur l’autisme datent de 1943 quand le Dr Leo Kanner a décrit les cas de 11 enfants atteints de troubles qui n’avaient jamais été observés.
La grande majorité des cas porte le nom d’autisme régressif, ce qui signifie que les enfants semblent petit à petit glisser dans cet état après un stade de développement normal. C’est cette forme d’autisme qui est devenue épidémique.
 
Les médecins et les experts médicaux déroutés par les graves dommages physiques qu’ils voyaient chez ces enfants autistes pensaient qu’ils étaient probablement provoqués par des toxines parce que ces enfants étaient peut-être plus sensibles et n’avaient pas la possibilité d’évacuer ces toxines. Selon eux, les troubles comportementaux de ces enfants devaient être le reflet d’intenses souffrances qui leur faisaient perdre leur aptitude à communiquer, à exprimer leur douleur extrême. Quand ces médecins parlaient d’autisme ils s’en référaient à une maladie de tout le corps.
 
Selon le CDC, l’origine de cette maladie est un mystère. L’Agence multiplie cependant ses efforts et a recours à des études discréditées pour prétendre que l’autisme n’est pas provoqué par les vaccins. Elle soutient également que ces troubles qu’elle qualifie de troubles du comportement auraient une origine génétique.
En examinant ces hypothèses, il est prudent de garder à l’esprit que la mission du CDC est de s’assurer que tous les enfants suivent le calendrier vaccinal. Le CDC se trouve donc dans une situation de conflits d’intérêts quand il évoque quoi que ce soit au sujet des vaccins. Le fait même de reconnaître que les vaccins pourraient être dangereux va à l’encontre de sa mission.
 
Ce sont les parents qui ont d’abord donné l’alarme quand ils ont remarqué que leurs enfants réagissaient violemment après un ou plusieurs vaccins et que peu à peu ils glissaient dans un autre monde, changeant de personnalité, présentant des comportement étranges qu’ils n’avaient jamais connus auparavant. Ne pas remarquer ces changements était pratiquement impossible ; les parents avaient souvent des vidéos pour démontrer que leurs enfants étaient en parfaite santé, jouaient et étaient heureux avant qu’ils ne reçoivent les vaccins. Le débat a commencé quand les chercheurs ont  comparé la maladie avec les symptômes  de l’empoisonnement au mercure. Un composé mercuriel  appelé Thimérosal est utilisé dans les vaccins en tant que conservateur.
Quand les politiciens américains ont porté l’affaire devant le Congrès, l’enquête qui a été mise sur pied  a révélé qu’à 6 mois, les enfants vaccinés recevaient 187,5 µg et qu’à deux ans ils en recevaient 237 µg, doses qui dépassent très largement les limites de sécurité. L’Ethyl mercure peut être toxique à de très faibles doses. Il est également connu que cette forme de mercure traverse la barrière hémato-encéphalique et se maintient dans le cerveau pendant des décennies. Les preuves du parallélisme entre intoxication au mercure et autisme continuent de s’accumuler.
 
Un CDC nerveux, ainsi que l’Académie de Pédiatrie (AAP) stimulés par la loi sur la modernisation de la FDA, a recommandé en 1999 que le mercure soit retiré des vaccins le plus vite possible. Cette recommandation n’a jamais été strictement  suivie. Tant qu’il y a eu des stocks de vaccins avec Thimérosal, on a continué à les distribuer. Le mercure se retrouve toujours comme conservateur dans presque tous les vaccins administrés aux femmes enceintes et nourrissons des pays développés soit comme conservateur, soit comme excipient. Dans les pays en voie de développement la règle n’est jamais appliquée.
 
En fait, le Thimérosal est à ce point toxique que, selon le professeur Boyd Haley, aucune étude ne pourra jamais prouver qu’il est sans danger. En tant que génotoxine, le mercure défie le dicton qui veut que la dose fasse le poison ; même en très faibles doses le mercure reste dangereux.
 
Récemment, dans un grand élan de solidarité, les nombreux organismes internationaux rendant des vaccins obligatoires ont veillé à ce que les enfants continuent de recevoir ce produit toxique et dévastateur dans le cadre du Programme de l’Environnement des Nations Unies (PNUE) qui paradoxalement avait tenté d’éliminer le mercure de tous les produits.
 
Dans une tentative de mettre fin au débat, le CDC a lancé deux études. La première appelée l’étude Vertstraeten a montré qu’en matière de vaccins pour les enfants de un à trois mois, une exposition mensuelle à plus de 25 µg de Thimérosal était susceptible d’augmenter le risque de contracter l’autisme de 7,62 à 11,35 fois. Ces résultats ont été manifestement camouflés et manipulés pour présenter des résultats tout à fait opposés. La deuxième série d’études, appelée les études Danoises a fait l’objet de problèmes quand il est apparu que son auteur principal, Poul Thorsen, avait, au détriment du CDC, détourné des fonds importants à son  avantage. Le Dr Thorsen est maintenant déclaré fugitif par les Etats-Unis après que le grand jury fédéral l’ait inculpé. Il risque de faire face à  une peine à perpétuité s’il est reconnu coupable. Le CDC s’en tient cependant toujours aux résultats de ces études, prétendant toujours que rien ne s’est jamais passé.
 
Au cours d’une dernière tentative en mars, tout juste avant le début du mois d’avril consacré à la sensibilisation aux problèmes de l’autisme, le CDC  s’est référé à une autre étude qui n’a fait que comparer les antigènes des vaccins, alors que le débat portait principalement sur les conservateurs, les adjuvants, excipients et contaminants, et à claironné au monde que les vaccins multiples étaient sans danger.
L’Institut de Médecine (IOM) a également fait état d’une revue des études sponsorisées par l’industrie pour prétendre que les vaccins ne provoquaient pas l’autisme. Alors que la dernière étude du CDC semble avoir été puisée dans de vieilles données utilisées dans une précédente étude manipulée, l’IOM a catégoriquement déclaré son intention de nier tout lien entre l’autisme et les vaccins. Son chef a déclaré en 2001 : «  Nous n’arriverons jamais à conclure que [l’autisme] est un authentique effet secondaire. »
 
Pendant ce temps, la recherche indépendante sur les vaccins comme cause probable de l’autisme s’est étoffée. Un chercheur a compilé une liste impressionnante de plusieurs centaines d’études qui décrivent en détails les graves dommages physiques qui se produisent chez les enfants autistes et apportent une justification aux liens entre les vaccins et ces effets indésirables.
 
Différents vaccins comme le DTaP, le ROR, l’hépatite B et la varicelle ont fait l’objet de controverses quant à leur lien possible avec l’autisme. Les bébés qui reçoivent plusieurs vaccins en une seule journée ont régressé, sont devenus autistes et ont reçu des dédommagements. A ce jour, le NVICP (programme d’indemnisation des victimes d’effets secondaires des vaccinations) a accordé des dédommagements dans 85 cas d’autisme provoqué par les vaccins, y compris 2 cas qui se sont produits en 2012. Un tribunal italien a aussi accordé une indemnité pour un enfant qui est devenu autiste après le vaccin ROR.
Les recherches se multiplient pour pouvoir prouver que l’autisme est génétique. La chose a pu être réalisée grâce au retrait de tous les fonds destinés à la recherche de liens entre vaccinations et autisme tout en les versant à la recherche  qui étudie le problème des gènes. - 27,4 millions de dollars ont été gaspillés pour 127 études sur les gènes de 2006 à mars 2012,  et le gène de l’autisme demeure toujours insaisissable. Et au contraire, l’étude de Joseph Baxbaum ( Avril 2012)  a trouvé des mutations inexpliquées pour 800 – 1000 gènes.
 
Est-ce que les génotoxines sont impliquées ? l’éthyl mercure, de même que l’aluminium, utilisés dans les vaccins sont connus pour être génotoxiques. Ces deux produits peuvent interagir ; cette toxicité synergique les rend infiniment plus toxiques quand ils sont utilisés simultanément. Le formaldéhyde, un cancérigène connu ajoute encore aux effets toxiques des vaccins.
Les vaccins contiennent aussi des contaminants provenant de diverses matières animales ou humaines. Ces matériaux génétiques étrangers introduits par les vaccins sont susceptibles de modifier les gènes humains dans un processus appelé « transcriptase inverse. » Le matériel humain utilisé dans les vaccins est également suspect parce que le corps peut former des anticorps vis-à-vis de ces produits et c’est ainsi que le corps peut s’attaquer lui-même.
 
La plus grande étude génétique menée à ce jour, l’étude Joachim Hallmayer (Juillet 2011)  et portant sur 192 paires de jumeaux a montré clairement que l’autisme relève davantage de facteurs environnementaux (62%) que génétiques (38%). « Nous devons étudier à la fois la génétique et l’environnement » a déclaré Hallmayer. « Si nous n’envisageons qu’une seule de ces pistes, je ne crois pas que cela nous mènera à la bonne réponse. »
Ce constat très important a cependant été ignoré  et l’angle génétique continue à intéresser les scientifiques attirés par le flux des fonds de recherche.
 
Selon le professeur Richard Deth,
 
Perpétuer le mythe de l’autisme comme étant un trouble génétique est un mauvais service rendu à tous ceux qui pourraient bénéficier d’un traitement. Perpétuer ce mythe contribue également à détourner l’attention des causes qui ne sont pas génétiques. »
 
D’autres recherches mal orientées ont attribué l’autisme à l’âge des mères, des grand pères, au mois de la naissance, aux abus dont les mères auraient pu être victimes, à la dépression des mères, autant d’idées qui rappellent  l’âge sombre de l’autisme quand on reprochait aux mères d’être trop « froides » envers leurs enfants.
 
Au lieu de réagir de façon proactive à cette immense tragédie, l’establishment a protégé à la fois l’industrie du vaccin et Eli Lilly, le fabricant du Thimérosal en leur offrant l’immunité par rapport aux poursuites judiciaires. Les faux scientifiques semblent avoir beau jeu alors même que les taux d’autisme ne cessent d’augmenter et de devenir menaçants dans le monde entier.

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2 mai 2013 4 02 /05 /mai /2013 12:24
Prothèses de hanche non conformes, les chirurgiens invités à revoir à leurs patients ©Phovoir

L’Agence nationale du Médicament (ANSM) a mis en évidence la non-conformité de prothèses de hanche chez 650 patients. Ces dernières, après modifications, ne portaient pas de marquage CE.  Pour autant, à ce jour aucun incident n’a été signalé. L’Agence ne dispose en effet d’aucun élément faisant suspecter un risque sanitaire propre à ces dispositifs de la société Ceraver.

Marisol Touraine, ministre de la Santé a demandé à l’ANSM « de prendre toutes les mesures nécessaires pour le retrait des lots de produits en cause et garantir l’information des patients concernés. » Le ministère va par ailleurs veiller à ce qu’une enquête soit immédiatement ouverte.  L’ANSM recommande aux chirurgiens de « revoir leurs patients, afin d’évaluer leur état clinique et radiologique et de leur proposer un suivi individualisé ».

En réalité et selon les éléments dont dispose l’ANSM, ces prothèses ont fait l’objet de modifications. Lesquelles n’étaient pas couvertes par un certificat de marquage CE. Ces constats ont eu lieu au début du mois d’avril 2013 au cours d’une inspection au sein de l’entreprise Ceraver.

Par ailleurs, d’autres prothèses  ont été mises sur le marché, sans bénéficier d’un marquage CE valide. Et pour cause, elles faisaient l’objet d’un essai clinique. Dans la mesure où des infractions ont été observées, l’ANSM a enclenché une mesure de police sanitaire. Cette dernière prévoit entre autres « la suspension de la mise sur le marché, de l’exportation, de la distribution et de l’utilisation des dispositifs médicaux concernés, jusqu’à la mise en conformité ».  L’ANSM  a également exigé le retrait de ces dispositifs de tout lieu où ils se trouvent.

Ecrit par : Emmanuel Ducreuzet

Source : ANSM, ministère de la Santé, 2 mai 2013

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2 mai 2013 4 02 /05 /mai /2013 12:22

Par figaro iconPauline Fréour - le 02/05/201
L'Agence du médicament a ouvert une enquête sur des prothèses orthopédiques commercialisées par le laboratoire français Ceraver sans certification européenne. Il n'y aurait toutefois pas de risque sanitaire pour les patients.

Alors que se tient ces jours-ci le procès de la société PIP qui a commercialisé des centaines de milliers de prothèses mammaires défectueuses, c'est au tour d'un autre fabricant français de prothèses d'être visé par la justice. Le laboratoire Ceraver basé à Roissy-en-France (Val d'Oise) fait l'objet d'une enquête de l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) ayant conduit à la mise sous séquestre d'un millier de prothèses de hanche non certifiées CE. Depuis 2009, quelque 650 patients auraient été opérés en France avec ces dispositifs médicaux. Le parquet a été saisi.

Les autorités se veulent pour le moment rassurantes concernant les dangers encourus par les patients. «Très clairement, il s'agit d'un problème réglementaire. Il n'y a pas de risque sanitaire identifié pour les patients», a déclaré François Hébert, le directeur adjoint de l'ANSM, sur France-Info jeudi matin. Les chirurgiens ayant utilisé ces produits sont néanmoins invités à recevoir les malades individuellement pour un examen clinique et une radio de contrôle. Un millier de prothèses de hanche ont été placées sous séquestre en attendant une décision formelle de la police sanitaire la semaine prochaine, précise François Hébert.

La ministre de la Santé appelle au retrait

L'irrégularité, mise au jour au cours d'une descente inopinée des enquêteurs de l'ANSM chez Ceraver début avril, porterait sur la mention abusive de la certification «CE» sur l'emballage des prothèses. Cette certification, nécessaire depuis 2009 à la commercialisation de dispositifs médicaux en Europe, est délivrée par un des 70 laboratoires agréés par les autorités sanitaires européennes, à la demande du fabricant. Or les dirigeants de Ceraver n'auraient pas refait les démarches après avoir apporté des modifications à leurs produits. «Sur l'emballage (des prothèses ndlr), il y a des choses anormales, je le concède, déclare au Parisien le PDG de Ceraver Daniel Blanquaert. On est en faute mais, pour nous, les modifications apportées aux prothèses étaient mineures et ne justifiaient pas de nouvelle certification, ce qui prend un à deux ans.»

La ministre de la Santé Marisol Touraine a demandé à l'ANSM de «prendre toutes les mesures nécessaires» pour le «retrait» des prothèses orthopédiques non conformes, a indiqué le ministère jeudi dans un communiqué.

Le laboratoire aurait commis d'autres irrégularités. Ceraver a mis au point des tiges métalliques portant un biorevêtement antibactérien qui auraient été implantées expérimentalement sur quatre patients à l'hôpital Ambroise-Paré (Boulogne-Billancourt, Hauts-de-Seine) sans qu'une demande d'essai clinique n'ait été déposée. Sur la question de savoir qui a voulu se passer de l'autorisation, Ceraver et les chirurgiens concernés se renvoient la balle.

Ceraver écoule plus de 3000 prothèses par an, dont 300 à l'hôpital Lariboisière (Paris 10ème), son premier client.

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2 mai 2013 4 02 /05 /mai /2013 12:20

Le Point.fr - Publié le 02/05/2013 

La découverte des prothèses non conformes a eu lieu lors d'inspections "inopinées" effectuées début avril par l'ANSM sur deux sites de production.

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Près d'un millier de prothèses de la hanche non certifiées fabriquées par la société française Ceraver ont d'ores et déjà été placées sous séquestre en attendant une décision formelle de police sanitaire la semaine prochaine, a indiqué jeudi François Hébert, directeur général adjoint de l'Agence du médicament (ANSM).

Interrogé par l'AFP, François Hébert a confirmé l'information du quotidien Le Parisien/Aujourd'hui en France selon laquelle quelque 650 patients étaient porteurs de ces prothèses de la hanche non conformes, mais a souligné qu'"à ce stade rien ne démontre un risque sanitaire" lié à ces dispositifs. Par précaution, l'ANSM a demandé aux chirurgiens orthopédiques ayant implanté ces prothèses de revoir leurs patients afin de faire un bilan clinique et radiologique.

Retrait déjà effectif

La découverte des prothèses non conformes a eu lieu lors d'inspections "inopinées" effectuées début avril par l'ANSM sur deux sites de production de la région parisienne de la société Ceraver, l'un situé à Roissy-en-France (Val-d'Oise) et l'autre à Plailly (Oise). "Nous avons constaté qu'il y avait des prothèses de hanche qui n'avaient pas le marquage CE", a indiqué François Hébert avant de préciser que près d'un millier de prothèses avaient aussitôt été placées sous séquestre. Les procureurs de Pontoise, Senlis et Nanterre, en région parisienne, ont été informés.

"Le retrait des lots concernés est déjà effectif mais la mesure sera confirmée la semaine prochaine par une décision de police sanitaire qui prévoira la suspension de la mise sur le marché, de l'exportation, de la distribution et de l'utilisation des lots non conformes", a-t-il ajouté. La ministre de la Santé, Marisol Touraine, a exigé jeudi matin le "retrait" du marché des prothèses incriminées ainsi que l'ouverture d'une enquête "sur les causes de ces dysfonctionnements, les responsables en cas de fraude avérée et les mesures à prendre afin d'éviter tout risque sanitaire".

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1 mai 2013 3 01 /05 /mai /2013 12:27

Le dépistage du cancer de la prostate par dosage du PSA présente une balance bénéfices-risques défavorable.

Le dosage dans le sang de l'antigène spécifique de la prostate (PSA) est utilisé notamment dans le dépistage des cancers de la prostate. En septembre 2012, l'Agence française des produits de santé a interdit la mise à disposition en France des autotests de dosage du PSA, qui permettent la mesure du taux de PSA dans le sang hors d'un cadre médicalisé, notamment à domicile, à partir d'une goutte de sang capillaire.

Indépendamment des performances de ces autotests, l'intérêt clinique du dépistage du cancer de la prostate par dosage du PSA n'est pas démontré, quel que soit l'âge. Son effet est au mieux minime sur la mortalité par cancer de la prostate, sans effet sur la mortalité globale. Mais ses effets indésirables sont avérés.

Environ 70 % des participants dont le résultat du dosage du PSA est estimé anormal n'ont pas de cancer. Outre l'inquiétude d'avoir peut-être un cancer, ils sont exposés aux effets indésirables des prélèvements de la prostate servant à confirmer le diagnostic, parfois graves, notamment par complication infectieuse.

Souvent, le dépistage conduit à des diagnostics par excès, c'est-à-dire à la découverte de cancers dont l'évolution naturelle n'aurait pas compromis la santé des personnes atteintes. Le traitement de ces cancers expose pourtant à l'incontinence urinaire, à des troubles de l'érection, etc.

Pour les hommes qui envisagent un dépistage du cancer de la prostate, mieux vaut que cette démarche s'accompagne d'une information équilibrée de la part d'un soignant, sur son efficacité incertaine et sur ses conséquences parfois néfastes.

©Prescrire 1er mai 2013

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1 mai 2013 3 01 /05 /mai /2013 12:26

Les cadeaux des firmes aux soignants, notamment les repas, sont très influents, même inconsciemment. Il faut savoir les refuser.

Les sciences humaines expliquent pourquoi les petits cadeaux sont un moyen marketing efficace.

L'efficacité des petits cadeaux est liée au fait que l'on ne se méfie pas d'eux, et que leur influence est inconsciente, ce qui explique pourquoi ils sont tellement utilisés dans tous les domaines du commerce.

Petits cadeaux et repas offerts par les firmes sont d'abord un "prix à payer" pour approcher les soignants et développer avec eux des relations agréables, voire "amicales". Accepter un petit cadeau ou un repas lie ensuite le bénéficiaire au donateur par la politesse, la reconnaissance, un besoin de rendre d'une manière ou d'une autre.

Dans le monde entier, des soignants jurent en toute bonne foi que les firmes « ne les achètent pas avec un stylo ou une bouchée de pain ». Mais le besoin de rendre un cadeau est indépendant du montant du cadeau. Il peut exister même quand le donateur n'est pas particulièrement apprécié. Les cadeaux non sollicités créent aussi ce besoin. Et le cadeau rendu est souvent plus important que celui reçu. Il est démontré aussi qu'après avoir accepté un cadeau une première fois, il est difficile de changer d'attitude, pour rester "cohérent".

Pour les spécialistes de sciences sociales, accepter de la nourriture est tout sauf anodin. Les repas entraînent une sympathie particulièrement forte pour le donateur. Il a été démontré expérimentalement que des messages écrits ou oraux avaient plus d'impact et semblaient plus convaincants aux personnes auxquelles était offert un repas. Les psychologues résument cela en disant que « la nourriture est le moyen le plus utilisé pour perturber la rationalité d'une décision ».

Aux États-Unis d'Amérique, des centres hospitalo-universitaires enseignent ces notions aux étudiants-soignants et interdisent les repas offerts par les firmes dans leurs locaux. À quand en France ?

©Prescrire 1er mai 2013

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27 avril 2013 6 27 /04 /avril /2013 18:30

Le Monde.fr avec AFP | 27.04.2013

L'ex-sénatrice UMP Marie-Thérèse Hermange et le n° 2 des laboratoires Servier, Jean-Philippe Seta, ont été mis en examen, samedi 27 avril, dans le cadre de l'enquête visant le groupe, soupçonnés d'être intervenus dans la rédaction d'un rapport sénatorial sur le Mediator publié en juin 2011, selon une source judiciaire citée par l'AFP.

Lire nos explications : Affaire du Mediator : le point si vous avez raté un épisode

Ces mises en examen, prononcées vendredi soir, interviennent dans le cadre d'une enquête pour trafic d'influence, ouverte fin 2011, visant les laboratoires Servier, soupçonnés d'avoir influencé la rédaction de ce document pour qu'il minimise ses propres fautes et insistent sur celle de l'Agence du médicament, l'ex-Afssaps, devenue ANSM.

 "LE RAPPORT ÉTAIT BOUCLÉ", SELON L'EX-SÉNATRICE

Les soupçons des enquêteurs sont nés d'écoutes téléphoniques relatant une conversation entre le directeur opérationnel du groupe Servier, Jean-Philippe Seta, et Claude Griscelli, professeur de pédiatrie et de génétique qui fut directeur général de l'Inserm.

M. Griscelli indiquait au dirigeant de Servier que Mme Hermange, responsable de la rédaction d'un rapport intitulé "La réforme du système du médicament, enfin !", lui avait "demandé d'aller travailler avec elle pour le Sénat" sur ce document. Il précisait avoir "fait changer pas mal de choses". Mme Hermange, qui n'est plus sénatrice depuis septembre 2011, avait catégoriquement démenti ces affirmations, tout en reconnaissant avoir rencontré M. Griscelli "pour avoir une discussion avec lui".

 

"Le rapport était bouclé" et "aucun élément n'en a été modifié à la demande de M. Griscelli", a insisté Marie-Thérèse Hermange.

 

Mais "le rapport était bouclé" et "aucun élément n'en a été modifié à la demande de M. Griscelli", avait-elle insisté. Le groupe Servier avait lui aussi démenti avoir fait modifier ce rapport critiquant vertement l'Afssaps, qui "semble avoir redécouvert tardivement des travaux publiés pourtant dès les années 1970" sur le Mediator. Samedi, l'avocat de M. Seta, Hervé Temime, n'a pas souhaité faire de commentaire.

Selon un rapport d'expertise judiciaire le 12 avril par le parquet de Paris, entre 220 à 300 morts, et 1 300 et 1 800 à long terme, sont imputables au médicament, suspendu en novembre 2009 et retiré définitivement en juillet 2010. Ce document souligne que la commercialisation du médicament, dont les "propriétés anorexigènes puissantes" sont confirmées, aurait dû être suspendue entre 1998 et 2003 par les laboratoires Servier ou par les autorités.

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